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 Aucun amour, aucune confiance

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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeLun 3 Oct 2011 - 22:14

Rob,

Pensez-vous que votre mère n'eu aucune influence ? Là sans être là ! Un soutien que vous n'avez pas eu, une balance qui ne pouvait avoir de contre-poids. Je ne veux pas vous poser d'autres chappe sur vos épaules, mais un tout est à considérer, et il se peut que vous ayez souffert de deux non considérations. L'une et l'autre etant à responsabilités inégales.

Allez vers ce qui vous ressemble le plus, vers ce qui pourrait le plus vous apportez de plaisir de satistactions, allez vers ce qui vous fera du bien. Vous avez besoin de trouver ce qui prendra soin de vous, de votre image, afin de vous réconcilier avec vous-même.

Poupeeratatouille
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rob



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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeLun 3 Oct 2011 - 22:24

poupeeratatouille a écrit:
Rob,

Pensez-vous que votre mère n'eu aucune influence ? Là sans être là ! Un soutien que vous n'avez pas eu, une balance qui ne pouvait avoir de contre-poids. Je ne veux pas vous poser d'autres chappe sur vos épaules, mais un tout est à considérer, et il se peut que vous ayez souffert de deux non considérations. L'une et l'autre etant à responsabilités inégales.

Allez vers ce qui vous ressemble le plus, vers ce qui pourrait le plus vous apportez de plaisir de satistactions, allez vers ce qui vous fera du bien. Vous avez besoin de trouver ce qui prendra soin de vous, de votre image, afin de vous réconcilier avec vous-même.

Poupeeratatouille

On s'est mal compris alors. On parlait, me semble-t-il, du poids du regard, du jugement, qu'on imagine toujours au quotidien.

Or si je dois m'en défaire pour mon père, ce n'est pas le cas pour ma mère, qui exerce toujours une influence néfaste sur moi, mais ailleurs, d'une autre façon. Difficulté d'attachement, peur de l'abandon, notamment. Elle est aussi la raison principale de ma passivité en certaines occasions, de ma procrastination. Elle n'est pas une image qui juge, qui condamne.

La mère, en tout cas à mon avis, c'est l'incarnation même de l'amour normalement. Or, si on n'a pas été aimé par sa mère, difficile de définir l'amour ensuite, voir impossible. On peut l'imaginer, y croire, mais ce ne sera jamais clair.

Ce qui ferait "du bien", c'est justement ce que j'ai du mal à définir.
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeLun 3 Oct 2011 - 22:45

Citation :
À mon avis le bonheur authentique est le privilège des idiots, des égocentrés chroniques et des gens particulièrement chanceux. Je fais peut-être partie des premiers, mais je suis convaincu d'être étranger aux deux autres.
Ai je dis cela?
Citation :
Mon chemin, je le cherche. Je progresse lentement, mais je crois que je progresse. J'ai une certaine lucidité sur moi-même, je crois que c'est déjà un bon début.
Juste une chose l'oeil ne peut pas se voir lui même, j'ai repris cette citation mais je ne sais plus de qui elle est..Il faut se faire aider d'une manière ou d'une autre, il est rare d'y arriver seul...

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rob



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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeLun 3 Oct 2011 - 22:49

Citation :
Ai je dis cela?

Pure réflexion de ma part, rassure-toi, je ne te faisais rien dire.

Citation :
Juste une chose l'oeil ne peut pas se voir lui même, j'ai repris cette citation mais je ne sais plus de qui elle est..Il faut se faire aider d'une manière ou d'une autre, il est rare d'y arriver seul...

Je vais sans doute le faire, comme je l'ai dit, c'est une évidence. Mais il faut que je trouve une aide financièrement à ma portée et d'un minimum de qualité.
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 13:32

Rob,

Je vous avais bien compris hier soir. D'une part, il y a le jugement de votre père et son regard posé contunellement sur vous, de l'autre le rapport à l'amour de votre mère qui vous ramène à votre toute petite enfance celle du bon sein et du mauvais sein. Oui, il est plus facile d'aimer lorsque l'on a été bien aimé, lorsque l'on a été considéré comme une individualité à part entière, lorsque notre MOI a été reconnu et respecté. Votre acception doit se faire à partir de votre passé, même si vous considérez qu'il vous a été donné dans votre berceau avec beaucoup d'injustices, il va falloir apprendre à l'accepter car il fait partie de votre histoire et cela vous ne pourrez le changer. Il va falloir apprendre à vous voir autrement et même si l'amour d'une mère est essentiel à la bonne construction d'un enfant, encore faut-il qu'il soit bon, il n'est pas impossible d'apprendre à aimer quelque soit l'âge que l'on peut avoir. Apprenez avant tout à vous aimez, c'est là qu'un accompagnement vous aidera puisque de bon accompagnement vous avez manqué.

Poupéératatouille
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 19:48

Rob,

Avez-vous pensé à faire du théatre ? Cela peut vous aider je crois en plus d'un accompagnement si vous en envisagiez un malgrè votre réticence première. Au théatre, on apprend beaucoup sur soi ; on joue un rôle mais pour le jouer il y a une part de nous même à donner. On est également avec d'autres, avec qui on échange, on partage afin de jouer ensemble. L'échange est obligatoire, alors que dans d'autres lieux, vous pouvez être entouré d'une multitude de gens et ne pas communiquer avec eux , ne pas échanger avec eux si vous désirez vous mettre en retrait. Au théatre, cela n'est pas possible, l'échange est indispensable à toute représentation devant un public ou même lors des répétitions.
Une piste peut-être................

Poupéeratatouille
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeMer 5 Oct 2011 - 18:09

Citation :
La mère, en tout cas à mon avis, c'est l'incarnation même de l'amour normalement. Or, si on n'a pas été aimé par sa mère, difficile de définir l'amour ensuite, voir impossible

Je rejoins à l'instant la discussion. J'ai relevé cette phrase qui me paraît essentielle. En effet, l'amour des parents est primordiale, l'image paternelle et maternelle que nous avons reçu, structure notre personnalité, notre estime et notre confiance.

Lorsque vous dites, Rob, que vous n'avez pas été aimé par votre mère, en êtes-vous certain ?
Ayant eu un père alcoolique, je pensais qu'il ne m'aimait pas, mais j'ai compris en thérapie, que ce sentiment de haine que j'avais contre lui était erroné et donc infondé.
Votre mère a sombré dans l'alcoolisme pour des raisons qui vous sont toujours obscures, vous supposez que... Oui, voir et entendre un parent alcoolique, c'est voir la déchéance, le mépris devant soi et le vide en soi. Il n'y a pas de "beau" miroir pour nous renvoyer une image de l'être qui nous est le plus précieux à nos yeux.

Il serait intéressant que vous arriviez à pardonner à votre mère, pour cela il faut comprendre pourquoi elle a pu agir de la sorte, accepter sa faiblesse quant à l'alcool (une personne aurait pu faire sans, une autre aura besoin d'une drogue pour parvenir à combler un manque, ne l'avez-vous pas fait d'ailleurs en mangeant et en prenant du poids durant votre enfance et votre adolescence ? Une similitude, non ?)
N'effacez pas le visage de votre mère ! Essayez de comprendre le regard qu'elle vous donnait, souvenez-vous des traits de son visage, il devait parler de douleur et d'incompréhension.

Quant à votre père, vous êtes-vous demandé qui est (était) cet homme, pourquoi a-t-il agi de la sorte ? Quel enfant a-t-il été avant qu'il ne devienne adulte ? (même question quant à votre mère). Parfois derrière une confiance débordante, une grande distance se cachent des peurs...
Il faut souvent creuser bien profondément dans les fondations de son passé et du passé de ses propres parents pour connaitre et comprendre le fonctionnement de ceux-ci et ensuite de nous-mêmes.

Viviez-vous seul ou avez-vous des frères et soeurs, vous n'en parlez pas, il me semble ?
Avez-vous encore des liens avec votre père ?

La normalité du bonheur.... C'est de s'aimer et d'aimer ce que qui nous est donné.
On peut vivre sans argent mais on ne peut vivre sans amour, sans échanger entre nous.
Le SDF est parfois plus heureux même dans le froid (car il n'est pas seul et il vit souvent en groupe ou avec un compagnon) que le plus riche homme d'affaire seul dans son grand appartement de standing. Le premier pourra être retrouvé décédé par le froid sans avoir eu aucun regard, tout comme le second qui pourra se tirer une balle dans la tête parce qu'il se sent seul et mal aimé malgré son argent qui coule à flot. La finalité est la même. Delà, il faut donc trouver un juste équilibre et c'est dans l'estime et la confiance en soi que vous les trouverez.

Ne pensez pas surtout pas trouver une mère dans une femme, vous irez à la perte de votre couple et vous ne rendrez jamais cette femme heureuse comme elle le souhaiterait.
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rob



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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeJeu 6 Oct 2011 - 3:21

poupeeratatouille a écrit:
Rob,

Avez-vous pensé à faire du théatre ? Cela peut vous aider je crois en plus d'un accompagnement si vous en envisagiez un malgrè votre réticence première. Au théatre, on apprend beaucoup sur soi ; on joue un rôle mais pour le jouer il y a une part de nous même à donner. On est également avec d'autres, avec qui on échange, on partage afin de jouer ensemble. L'échange est obligatoire, alors que dans d'autres lieux, vous pouvez être entouré d'une multitude de gens et ne pas communiquer avec eux , ne pas échanger avec eux si vous désirez vous mettre en retrait. Au théatre, cela n'est pas possible, l'échange est indispensable à toute représentation devant un public ou même lors des répétitions.
Une piste peut-être................

Poupéeratatouille

C'est amusant car j'y ai pensé oui, mais c'est trop brutal pour moi. Comme je le disais, je ne tolère que péniblement la présence de plusieurs personne autour de moi, imaginez un auditoire tout entier...

Mais si je parlais de cours / ateliers de cuisine c'est justement car il y a également une interaction. L'objectif reste le même, mais plus en douceur.
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rob



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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeJeu 6 Oct 2011 - 4:02

Clair de lune a écrit:
Citation :
La mère, en tout cas à mon avis, c'est l'incarnation même de l'amour normalement. Or, si on n'a pas été aimé par sa mère, difficile de définir l'amour ensuite, voir impossible

Je rejoins à l'instant la discussion. J'ai relevé cette phrase qui me paraît essentielle. En effet, l'amour des parents est primordiale, l'image paternelle et maternelle que nous avons reçu, structure notre personnalité, notre estime et notre confiance.

Lorsque vous dites, Rob, que vous n'avez pas été aimé par votre mère, en êtes-vous certain ?

D'un point de vue strictement pratique/démonstratif oui, j'en suis certain. Sinon, je pense qu'elle avait une certaine forme d'amour théorique/ressenti, et même encore là, le peu qu'il y avait était noyé par l'alcool.

Un enfant ne peut envisager les choses sous un angle aussi complexe, le mal est fait. Même pour un adulte, ce ne sera pas donné à tout le monde de pouvoir le faire.

Clair de lune a écrit:

Ayant eu un père alcoolique, je pensais qu'il ne m'aimait pas, mais j'ai compris en thérapie, que ce sentiment de haine que j'avais contre lui était erroné et donc infondé.
Votre mère a sombré dans l'alcoolisme pour des raisons qui vous sont toujours obscures, vous supposez que... Oui, voir et entendre un parent alcoolique, c'est voir la déchéance, le mépris devant soi et le vide en soi. Il n'y a pas de "beau" miroir pour nous renvoyer une image de l'être qui nous est le plus précieux à nos yeux.

Il serait intéressant que vous arriviez à pardonner à votre mère, pour cela il faut comprendre pourquoi elle a pu agir de la sorte, accepter sa faiblesse quant à l'alcool (une personne aurait pu faire sans, une autre aura besoin d'une drogue pour parvenir à combler un manque, ne l'avez-vous pas fait d'ailleurs en mangeant et en prenant du poids durant votre enfance et votre adolescence ? Une similitude, non ?)

C'est précisément parce qu'à une époque j'ai reproduit un mécanisme de compensation similaire au sien que je ne peux lui pardonner. Un enfant n'a pas de libre arbitre, pas encore en tout cas, il agit de façon mimétique, reproduit ce qu'il voit. J'ai vu, j'ai reproduit.

Puis un jour j'ai compris que c'était entièrement de sa faute. Combiné à un objectif sexuel (on s'accroche à ce qu'on a) j'ai su me reprendre en main, seul, comme d'habitude.

Plus important encore, je n'ai entraîné personne dans ma chute, contrairement à elle.

Si j'ai pu me reprendre en main au moins sur ce plan là, c'est justement parce que je refuse de lui pardonner et qu'il restera toujours quelque part la crainte de finir comme elle m'a programmé pour que je finisse. Son empreinte est une bombe à retardement inconsciente dont je dois perpétuellement me méfier.

Clair de lune a écrit:

N'effacez pas le visage de votre mère ! Essayez de comprendre le regard qu'elle vous donnait, souvenez-vous des traits de son visage, il devait parler de douleur et d'incompréhension.

De la douleur oui, sans aucun doute.

Clair de lune a écrit:

Quant à votre père, vous êtes-vous demandé qui est (était) cet homme, pourquoi a-t-il agi de la sorte ? Quel enfant a-t-il été avant qu'il ne devienne adulte ? (même question quant à votre mère). Parfois derrière une confiance débordante, une grande distance se cachent des peurs...
Il faut souvent creuser bien profondément dans les fondations de son passé et du passé de ses propres parents pour connaitre et comprendre le fonctionnement de ceux-ci et ensuite de nous-mêmes.

Je l'ai fait oui, je me le suis demandé.

Mon père a été élevé dans l'idée que c'est à la femme/mère d'assurer l'essentiel du travail concernant les enfants. Mais pas tout le travail, mon grand-père était d'ailleurs un père bien plus présent que lui, très humain. Mon père a reçu un bien meilleur exemple que lui-même, vraiment meilleur.

Clair de lune a écrit:

Viviez-vous seul ou avez-vous des frères et soeurs, vous n'en parlez pas, il me semble ?
Avez-vous encore des liens avec votre père ?

Oui et les liens avec mon père sont actuellement vivables, mais guère plus. Je vis d'ailleurs dans une maison qui lui appartient.

Mon histoire est compliquée. Pour faire court, je suis revenu à Lyon il y a un peu plus d'un an après 8 ans à l'étranger. Je redémarre une vie professionnelle à mon compte et sans grand moyen, autant dire que la route est longue.

Il réside à Paris mais dispose d'une maison à Lyon pour le week-end, il n'a jamais abandonné le schéma Lyon > Paris / Paris > Lyon. Alors je lui garde la maison en y vivant, ce qui l'arrange et m'évite un loyer (je préfère louer un bureau). On ne se voit pratiquement pas, lui n'étant pas là la semaine et moi disparaissant le week-end.

Je dirais qu'en étant optimiste on se voit quelques minutes par mois. Au mieux.

Deux fois j'ai tenté une approche. La première, il lisait et s'est mis à soupirer. La deuxième, il regardait la télévision et m'a répondu d'un seul mot: "chut".

Terminé en ce qui me concerne.

Sinon, oui, j'ai un frère cadet, deux ans de moins. Disons qu'il est plus à l'aise que moi en société, ça n'est pas tellement un problème pour lui, mais professionnellement c'est une autre histoire.

Clair de lune a écrit:

La normalité du bonheur.... C'est de s'aimer et d'aimer ce que qui nous est donné.
On peut vivre sans argent mais on ne peut vivre sans amour, sans échanger entre nous.
Le SDF est parfois plus heureux même dans le froid (car il n'est pas seul et il vit souvent en groupe ou avec un compagnon) que le plus riche homme d'affaire seul dans son grand appartement de standing. Le premier pourra être retrouvé décédé par le froid sans avoir eu aucun regard, tout comme le second qui pourra se tirer une balle dans la tête parce qu'il se sent seul et mal aimé malgré son argent qui coule à flot. La finalité est la même. Delà, il faut donc trouver un juste équilibre et c'est dans l'estime et la confiance en soi que vous les trouverez.

Je suis d'accord avec ça. Quand je parlais d'argent, je parlais juste d'un minimum. Je n'ai jamais souhaité devenir riche, très loin de là même, mes intérêts sont ailleurs.

Clair de lune a écrit:

Ne pensez pas surtout pas trouver une mère dans une femme, vous irez à la perte de votre couple et vous ne rendrez jamais cette femme heureuse comme elle le souhaiterait.

Non je ne le pense plus depuis longtemps. Ce fut vrai à une époque, mais ça, rassurez-vous, c'est un problème résolu.
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitimeJeu 6 Oct 2011 - 12:40

Rob,

Peut-être arrive t-on à pardonner, à moins que comprendre ce soit, déjà, pardonner !
Vos parents sont eux-mêmes prisonniers de leur propre histoire sans nul doute, eux aussi ont érigés des murs qui bien loin de les protéger, les éloignaient d'autrui, chacun dans leurs souffrances. Et ne sachant faire autrement, ils ont âbimé l'Etre de leur chair, la leur étant trop âbimée. Et l'autre est et devient le miroir d'eux-mêmes. L'autre n'existe pas en tant que tel, et leur horizon est en butte avec les murs de leur propre enfermement.
Cela est bon je crois de devoir le comprendre pour l'accepter et pouvoir vous réparer.

Poupéeratatouille
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MessageSujet: Re: Aucun amour, aucune confiance   Aucun amour, aucune confiance - Page 2 Icon_minitime

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