bonjour,

1- je suis tres déçue par ma vie de couple car je suis très souvent seule et me sens seule moralement, et je n'ai plus envie de rentrer à la maison, je n'ai plus envie de parler à mon compagnon, de faire des projets, rien.
Il le sait car je lui ai dit plusieurs fois. Il ne comprend pas.
je ne veux pas l'accabler, mais c'est qq 'un qui ne se confie pas, qui est solitaire, autoritaire, personnel. au début, je pensais qu'il était timide. je me suis trompée complètement.

2 - j'ai rencontré qq'un qui m'a redonné confiance pour qui j'éprouve un sentiment d'amour, mais il se fait de plus en plus rare. et j'en suis malade.

j'étouffe de souffrance et pleure à chaque instant, j'ai du mal à me concentrer au travail, par moment, j'ai envie de ne plus exister.
je prends des anti-dépresseurs, qu'est-ce-qui pourrait me soulager et m'aider à prendre des décisions ?
vers quel médecin me tourner pour que tous ces mauvais sentiments s'effacent et que je prenne de la joie à vivre ?
aidez-moi svp
j'ai envie de partir, mais n'arrive pas à le dire, pourtant je cherche un logement, etc...
je vais à des conférences, pour essayer de trouver des conseils, je sors beaucoup pour ne pas me trouver à la maison.
pouvez-vous m'aider ? svp que dois-je faire ?
si je vivais seule, le poids de cette mésentente serait levé, mais j'ai peur de me lancer.
merci à vous déjà, de prendre connaissance de ma demande

Bonjour Samsig,

A ton âge, je pense que tu as déjà fait le bilan de ta vie personnelle, de tes attendes, de tes frustrations, du moins je le crois.....
Partir, est faire face à l'inconnu et à ses difficultés....
Rester c'est savoir que l'on se condamne parfois....
Ce n'est pas à nous de te dire ce que tu dois faire de ta vie.... La réponse est en toi, seulement en toi....

Pourquoi prends-tu des anti-dépresseurs ? Est-ce l'accumulation des souffrances de ta vie insatisfaisante de couple, ou est-ce un évènement extérieur à celui-ci ?
Partir demande courage et force, partir sous anti-dépresseurs est-il le bon moment ? Il ne faudrait pas que cela te fasses mettre un deuxième genou à terre !

Quelques questions alors:

Dans quoi es-tu déçue de toi?

Quand t'es-tu abandonnée, toi, personnellement!

Quand as-tu commencé à demander aux autres de prendre ta vie en main ou en charge?

Tu sais, ailleurs c'est ici tout le temps?

Bonne réflexion! Tu peux nous les partager ça nous aidera à mieux te comprendre!

je prends des anti dépresseurs parceque j'ai eu des moments très difficiles,
dans mon enfance, j'ai perdu mon père quand j'avais 6 ans (et 2 Soeurs de 4 et 1 ans) puis des ennuis avec un membre de la famill, qui sont ressortis à partir de 20 ans, puis un mari absent pour sa famille, pour moi, alors que je m'étais mariée pour fonder une vraie famille.
j'ai idéalisé ce que je n'ai pas eu. et puis ... c'est difficile de résumer.

quand on se sent aimé, tout va mieux, quand on est écouté, on existe, quand on donne son temps, sa vie et qu'on n'a pas de retour, que devient-on ?
mes enfants (que j'aime énormément) vivent leur vie, et je ne veux pas les ennuyer avec mes réflexions tristes. Je ne veux pas qu'ils se fassent de souci pour moi, j'ai tout fait pour qu'ils soient le plus heureux possible tant qu'ils étaient à la maison, (lorsque les parents comptent trop sur leurs enfants, leur en demandent trop, les enfants ne peuvent pas s'épanouir, aimer la vie. ma mère, très complexe, n'a jamais refait sa vie et elle est aigrie.

je ne veux pas devenir comme elle (je ne lui jette pas la pierre car elle n'a pas su faire autrement), mais son attitude nous perturbe tous.

Dernièrement, j'ai repris le sport, je rencontre des gens de différents horizons et je m'aperçois que je suis passée à coté d'une richesse de diversité, mon univers s'était rétréci.

Dès mon mariage, j'ai eu l'impression que mon mari "était casé". j'ai eu envie de partir, et qq'une m'a découragée en me disant qu'il était sérieu, travailleur, etc... et je me suis dit : quand on aura un enfant, ça ira mieux, et voilà, c'était tjs pareil ; j'ai souvent eu envie de partir, mais j'avais peur de faire du mal aux enfants, c'est là que j'ai eu mes premiers médicaments.
mais là, ils vivent de leurs propres ailes...

je sais que vivre seule n'est pas toujours facile. mais je pourrais décider de ce que je veux faire.
Actuellement, je reviens à la maison en me forçant. et ça dure depuis plus d'un an. voilà où j'en suis.

pour Joeline,

que veux-tu dire : quand est-ce que je me suis abandonnée?

si c'est le fait de prendre des médic., moi je le voyais comme une aide à ma souffrance qui était lourde, pour arriver à vivre mieux, conseillé par le médecin de famille.

Je me demande maintenant si se n'est pas tout simplement ma vie qui ne me convenait pas,?

La question est quand as-tu remis ta vie entre les mains autre que les tiennes? Prendre des médicaments, est une alternative pour soulager nos souffrances mais ça ne fait qu'atténuer les symptômes. Ça ne change rien à ce qui cause ces souffrances. Mais ça tu l'as compris.

Tu sais à nos âges le chemin de notre retour à soi est déjà bien commencé. Il faut en écouter les signes et suivrais les voies qui s'offrent à nous. Mais pour ça il faut être très attentive à notre soi le plus profond. Pas notre petit moi agité, et peureux et changeant pour un oui ou pour un non. Sinon crains pas la vie va se charger de te le rappeler et douloureusement en plus de ça!

Et toi Samsig depuis quand ne t'écoutes-tu pas, n'existes plus pour toi et ne te préoccupe plus de toi? Que t'es-tu donné au cours de ta vie comme intérêt, comme passion et qu'as-tu fait des dons que tu as reçus? Commence par récupérer ça. Ne regarde pas ce que ton mari ne fait pas pour toi. Constate ce que toi tu ne fais pas pour toi. Commençons par ça d'accord?

Hier il était trop tôt…. Demain il sera trop tard.

Laisse les regrets de côté. Tu as fait ce qui te semblait le mieux. Mais aujourd'hui que veux-tu faire de ta vie? Commence par ça maintenant. Explore qui tu es, souviens-toi des dons que tu as reçus . Qu'aimais-tu le plus faire lorsque tu avais une dizaine d'années et dans lesquelles tu étais bonne où c'était facile et simple pour toi? Cherche ça en toi… C'est ça qui t'appelle.

Commence par aller à ta rencontre. Ensuite le reste se placera dans ta vie comme ça le devra! Mais commence par toi ne fuis rien. Cherche en toi c'est tout là déjà présent qui n'attend que TOI. T'as le goût d'entreprendre ce voyage intérieur?

joeline, oui je sais que j'aime faire plein de choses. à un moment, c'était le bricolage,
je me suis remis au bad, j'aime la musique, les rando (j'ai fait des raquettes pour la 1ère fois cette année) boire un thé dans un café, ... je sors pour moi depuis qq temps. et là je me rends compte de ce que j'ai laissé de côté depuis tant de temps.
mais, ça ne me donne pas la paix, car quand je rentre, je retrouve le "vide" (je n'ai plus envie de parler, etc...)
tu vois, je m'affirme plus, mais je n'en suis pas heureuse chez moi. à plus si tu vx bien ?

pour obtenir la paix faut être accordé "en soi" dans toute son intégrité et dans toute sa pleine responsabilité! La paix ça n'existe pas en dehors de soi, ni la paix ni la joie! Le vide extérieur représente toujours le "vide intérieur" .... ! Tu saisis la "nuance" ?

ok, je suis d'accord avec toi, mais ce que je vis ne veux pas dire : quand je fais des choses qui me plaisent : je suis moi
et quand je rentre chez moi et que je ne suis pas pressée de rentrer, que j'ai la boule au ventre, et que je m'isole ds la maison pour ne pas rester vers mon mari, n'est-ce pas que je suis moi aussi, mais dans un mauvais contexte? tout simplement et que la solution est de m'éloigner pour aller mieux ?

qu'en penses-tu? qq fois la solution est peut-^tre de fuir ce qui nous rend malheureux ?

Tu sais il y a toujours trois options dans n'importe quelle situation de la vie. Retiens les elles sont bien importantes à envisager lorsqu'on ne sais pas quoi faire à certains moments donnés.

1. Changer la situation si on peut et si on veut....
2. Se retirer de la situation si on peut et si on veut...
3. Si aucune des deux n'est possible ou envisageable: l'accepter inconditionnellement.

Si tu en es là dans ta situation en acceptant 100% les responsabilités qui en découlent alors fais le mais fais-le pour les bonnes raisons. Tu ne dois pas projeter ton insatisfaction sur l'autre car pour l'autre la situation n'a pas changée. Fais-le pour tes raisons à toi pour ton cheminement à toi, pour ton bien être à toi! Dans le calme dans la paix. Si c'est ta solution tu le fais. Tu n'es pas une enfant et personne ne peut t'obliger à vivre une situation que tu ne désires pas. Tu sembles indépendante alors tu es autonome! Ne recherche pas la confiance que tu as en toi dans le regard d'un autre. Tu t'y perdras à coup sûr! L'autre peut être un prétexte il n'en sera jamais la cause. Sois assurée de ça!

Ah oui les peurs sont toujours des parties pesantes du passé. Laisse les où elles doivent être... Dans le passé! Il est normal d'être ambivalente vers l'inconnu et la vie où tu veux aller mais cette vie-là est déjà la tienne. Il n'en tiens qu'à toi de l'actualiser.... Mais pour les bonnes raisons ne l'oublie pas en cours de route! Bonne chance! XXXX

merci pour ton aide. il y a d'un coté ce que je ressens : envie de sortir, rencontrer des gens, vivre, parler,
et de l'autre : envie de fuir cette vie qui n'est plus une vie à 2. je ne me suis pas mariée pour cela.
mais, il faut franchir le pas, m'affirmer devant mon m. et je mq de courage.

je crains aussi le mal que je ferai à mes enfants et qu'ils m'en veuillent. jusqu'à présent, j'ai tjs agit de manière à ne pas compliquer les choses, mais, aujourd'hui, je n'ose plus m'affirmer quant à mes choix (d'importance).
comment trouver la force ?

Lorsque tu as pris la décision de te marier avec ton conjoint, quelles en étaient les raisons? Qu'est-ce qui a changé en cours de route?

Je me suis mariée parceque je souhaitais vivre avec lui, fonder une famille. Or, on aurait dit qu'une fois marié, soit je l'ai vu différemment, soit, il s'est considéré "casé". pas d'attentions, il continuait de vivre pour lui. il a acheté une voiture sans m'en parler. il ne parlait pas beaucoup. au début, je croyais que c'était de la timidité, mais, en fait, il n'en éprouve pas le besoin. Il s'est révélé, plutôt morose, gai avec les autres, mais renfermé avec moi. à un certain moment, je me souviens m'être décidée (résignée) à faire tout pour les enfants, moi-même, sans demander d'aide, parcequ'il n'était jamais là (travail et loisir) et qu'il rouspétait facilement lorsqu'il fallait s'occuper d'eux. Il ne s'inquiètait de rien, semblait ne s'intéresser à rien.
par contre, quand le bulletin arrivait avec qq mauvaises notes, il criait après mon fils. Chose que je n'appréciais pas car en dehors de ça, il ne regardait jamais les cahiers, ni parlait de l'école avec les enfts. S'il était de mauvaise humeur, on n'osait pas lui parler.
Donc, petit à petit, le besoin de l'autre s'estompe. j'en ai beaucoup souffert, moi qui ai perdu mon père à l'âge de 6 ans. Lui, a eu une vie de famille, travailleuse, sérieuse, certes, mais une famille.
d'autres épisodes m'ont fait bcp de peine : la vie se déroulait, tant bien que mal, il semblait content de se qui se passait, puis, sans prévenir, il assénait un reproche cinglant à propos d'un sujet, d'un seul coup, sans prévenir. On savait alors seulement, qu'il n'était pas d'accord sur qq chose qui s'était fait ou autre. D'où ma perte de "confiance" dans ses réponses. Je lui demandais s'il était d'accord pour qq chose, il disait oui, mais j'éprouvais tjs une inquiétude sur la suite. je lui disais : tu es sùr que tu veux bien ceci ou cela ?
Il semble correspondre au profil passif agressif. je le retrouve dans cette description.
je me suis bcp remise en question à x moments de notre vie de couple.
j'ai eu une nouvelle prise de conscience à l'occasion d'un voyage de 2 jours il y a presque 2 ans. j'avais tout organisé réservations. il ne parlait pas, ni au restaurant, ni avec les gens qu'on cotoyait, il était pressé de rentrer. ... Alors je suis rentrée en disant : plus jamais ça. Et depuis, on n'est pas repartis en vacances.
je lui ai dit de faire ce qu'il aimait. Mais je n'ai plus du tout envie de faire des projets avec lui. j'ai cessé de faire des efforts, plus d'invitation, plus rien.
Voilà, je suis désolée d'étaler ainsi ma situation, ce n'est pas mon habitude. mais, je n'ai pas envie de vivoter ainsi jusqu'à la fin de mes jours.
on a tout pour être bien, mais il manque, la complicité, l'affection, et maintenant je suis complètement bloquée au niveau du dialogue.
chaque nuit, je me réveille, et je me dis : demain, je vais lui parler, mais, devant lui, je ne lance pas la conversation. ça se bloque.
Une exception : à la suite de la perte de notre chien, (accident arrivé en action de chasse) j'ai craqué et je lui ai dit ce que j'avais sur le coeur en pleurant et criant, que j'allais partir, que je ne voulais plus de cette vie. ce n'était pas la bonne formule, mais je n'ai pas "calculé", donc il sait ce que je pense.
Un autre aspect me pose question : il n'essaie pas de reparler, de venir à moi. il vit comme si de rien n'était, alors que moi, je ne peux pas être "normale" avec tout celà sur le coeur.
voilà la situation. si vous pouvez m'aider à prendre une décision....

Bien entendu je ne peux pas t'aider à prendre une décision. Par contre c'est vraiment à toi de la prendre. Trois options:

la changer si tu le peux ou le veux
t'en aller si tu le peux ou le veux
si aucune des deux ne peut s'appliquer l'accepter inconditionnellement.

Il me semble que tu as essayé la première. Il reste la deuxième et ou la troisième. De toute manière n'attend rien de lui il ne semble pas porté à faire les choses pour toi. Alors traite -toi comme tu espérerais qu'on te traite toi! Tu ne penses pas qu'ainsi tu aurais plus de chance d'obtenir ce que tu désires????

La seule chose que j'ai envie de te rappeler c'est que lorsqu'on fait quelque chose et qu'on obtient toujours le même résultat il ne faut pas penser à faire la même chose si on veut un résultat différent! Tu saisies?

Bonnes réflexions!

depuis que j'ai craqué, (pleuré et tout, en disant ce que j'avais sur le coeur) il n'a pas répondu, il recevait l'avalanche, il était abattu. depuis, Il n'a pas reparlé de quoique ce soit, effectivement. ne m'a pas posé de questions, ou essayé de me comprendre.
aujourd'hui, depuis cette scène (une semaine) il vit normalement.
et moi je ne peux pas lui parler. Personne vu d'extérieur ne peut supposer ce qui se passe dans notre couple.

une fois que je lui ai demandé des excuses pour avoir utilisé un mot qui dépassait ma pensée à son encontre, dans une discussion, il m'a repoussée en me disant que "ce n'est pas la peine de venir pleurer". cette réponse m'a rendue hyper malheureuse car j'étais sincère, et c'est humiliant d'être repoussée par la personne avec j'étais sensé "partager le bon et le mauvais". Je ne comprends pas qu'un homme qui dit m'aimer puisse me juger ainsi, et cela sans appel, d'un ton coupant, catégorique, qui n'accepte aucune réplique. je me revois encore, plantée devant lui, abasourdie. n'y comprenant rien et ravalant ma peine.
Après cette scène, j'ai fait attention en permanence à ce que je disais. mais la conséquence : Petit à petit, l'univers se ressert et l'intérêt diminue.

je sais que les hommes ont du mal à expliquer ce qu'ils ressentent mais de là à ne RIEN dire du tout....

changer la situation : si je veux, si je peux.
s'en aller : si ...
accepter inconditionnellement.

J'ai essayé de changer les choses avant, mais je n'ai pas réussi effectivement. il faut le dire.
m'en aller : je suis partie 15 jrs il y a qq temps chez une amie car j'étais très crispée, fatiguée, et je n'avais pas envie de revenir. suis revenue à cause des fêtes
à ce jour, je n'ai plus envie de faire d'efforts, ni d'accepter cette situation.

il me faut encore un peu de tps pour conclure. j'envie les gens qui décident vite. mais ds ces situations, peut-on décider vite.?

à plus tard, si vous avez encore qq pistes de réflexion, ... ET merci de m'aider.

Ton conjoint semble agir comme il a toujours agi. Donc pour lui c'est la même situation et il s'en satisfait ou vit avec telle qu'elle est. Pour lui c'est toujours la même affaire. Ça change pas. Il a peu et se contente de peu. A-t-il seulement des attentes envers toi? A-t-il seulement envie que quelque chose change? Comme tu peux le constater ta situation est loin d'être la sienne et vice-versa!

Tu es toi insatisfaite de l'attitude qu'il a "toujours". C'est toi qui voit pour toi, on ne voit pas pour les autres, on ne change pas pour les autres. On le fait si on désire le faire mais on le fait pour soi. Méfiez vous toujours d'une personne qui dit faire quelque chose pour vous autres! La facture va arriver et ça sera pas long! Et croyez moi elle sera lourde, longue et très très très coûteuse pour vos vies.

Peu importe le temps que tu prends pour décider de quoi que ce soit. C'est pas un mois ou une année de plus ou de moins qui fera un ben grand changement dans ta vie! Des prétextes pour partir tu vas en trouver mille. Des prétextes pour rester tu vas en trouver mille.

C'est quand tu seras vraiment tannée que tu changeras de niveau de réflexion et que tu passeras dans une action... quelconque. Mais tant que tu restes au même endroit tu obtiens le même résultat!

je réfléchis à ce que tu me dis,
chaque nuit je me réveille et rumine cette situation. la nuit, c'est plus facile de partir dans mon esprit, tout est clair et logique.
Le matin, j'ai un instant de bien-être en me réveillant et derrière tout s'assombri quand je réalise ma sigutation : je vais devoir cotoyer mon m. et alors, mon angoisse revient. c'est plus fort que moi. heureusement, je pars travailler.
je voudrais aborder le sujet avec lui calmement, mais ça se bloque quand je suis en sa présence.
voilà où j'en suis.