Ouais je voulais savoir si je n'était pas la seule a avoir peur d'aller chez le psychologue!

Parce que plusieur personne de mon entourage me conseille d'aller en voir un mais sa me fait peur un peu

oh non, tu n'es pas la seule à avoir peur d'aller voir 1 psy, je te rassure ! se dévoiler, se confier à un inconnu n'est pas chose aisée mais parfois c nécessaire

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ah ? anonyme ? peut être n'es tu pas prête ou peut être n'en ressens tu pas le besoin maintenant ? après, on peut s'en sortir sans, c'est vraiment du cas par cas..moi, j'ai été obligé d'en voir une et franchement, ça m'a vraiment aidé, mais chacun est différent

Ok merci! Je suis contente de voir que je ne suis pas la seule !

mais oui c'est vrai que c'est peut etre nécessaire et que sa pourrait aider..Je sais pas encore la

alors laisse toi un peu de temps, mais en même temps, parfois c'est réellement un passage obligé, quand rien ne bouge par ex malgré nos efforts et les efforts de notre entourage ou même le fait de se confier sur un fofo ne ns aide plus et que l'on pense sans cesse à ce qui ns fait souffrir, rumination anxieuse, pourquoi pas idn, ids là, bon, faut essayer de franchir le pas. C'est pas facile, juste pr te rassure, j'ai été obligé d'en voir 5 et la sixième fut la bonne

oui je comprend! Je vais me laisser du temps, jy pense et jattend que sa vienne de moi d'en avoir vraiment de besoin.

Ten a vu 5 avant que sa soit la bonne! Je me demande comment ta faite.. Mais sa te faisait tu du bien un peu pareil même si ce nétait pas le psy qui te fallasi?!

bah vu que j'avais vraiment un sale caractère à cette époque et que j'avais une grande goule, non, ça ne me faisait pas du bien et dès que l'une d'entre elle me disait quelque chose qui ne me plaisait pas, je l'envoyais grave bouler et je barrais en claquant la porte

la dernière a vraiment su bien me prendre, elle me convenait parfaitemetn

ouin je comprend! xD
au moins sa la marché avec la derniere

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Un article de Sasha Rosat qui résume ce sujet et qui peut certainement vous aider et vous éclairer sur la démarche d'aller consulter un psy.

"Que la démarche soit volontaire ou conseillée, aller voir un psychologue réveille en nous des peurs, comme celle d’être évalué, jugé. Dépasser ces craintes, c’est devenir coauteur de son devenir.


Face au psychologue, en général par ignorance de sa science et de son éthique, on a peur. On craint de dévoiler ses jardins secrets ou ses fantasmes. On imagine aussi, à tort, être en face de quelqu'un qui va juger ou déterminer ce qui est bien ou mal en nous et décider de ce qui doit changer dans nos comportements pour que notre vie en soit améliorée. Bref, on a peur du pouvoir que le psychologue exerce sur nous.

L’une des composantes de la peur est souvent la méconnaissance de l’objet de la crainte. C’est aussi l’impossibilité de maîtriser quelque chose ou quelqu'un, ou encore celle de faire face à une situation précise. Et la peur, c’est le contraire de l’espoir. Ces deux notions sont en rapport avec l’avenir, même si la peur plonge ses racines dans le passé. Car chaque satisfaction obtenue, chaque acquisition bénéfique contient aussi le germe d’une perte et engendre la peur.

La peur, c’est également cette énergie que l’on utilise pour occulter notre élan de vie, nos espoirs, notre faculté de rêver et de nous approcher d’autrui. Autrement dit, la peur nous empêche de prendre des risques. Et même si, quelquefois, ce sentiment salutaire nous préserve de fausses manœuvres, il paralyse nos pensées, nos actions, bref, notre potentiel de vie (d’être).

Une psychothérapie s’inscrit dans une relation qui se veut authentique. Elle comprend donc, de la part du psychologue, la chaleur humaine, le tact et l’empathie. De manière à effectuer un travail non pas pour son patient, mais avec lui, en le rendant en quelque sorte, coauteur de son propre destin.

L’essentiel du travail d’un psychologue est d’aider la personne à se sortir de son enclos qualificatif, élargir son espace psychique afin de pouvoir développer ses autres potentialités. Il s’agit d’épauler le patient qui souffre, déchiré par ses conflits internes, son entourage ou des crises événementielles, à mieux se comprendre et à supporter les événements tragiques de la vie, avec les questions qu’ils posent. Tout cela va dans un sens contraire au « catalogage ».

Par son travail, le psychologue permet à la personne de ne plus être fixée sur une position qui rend difficile, voir impossible, son monde relationnel. D’autant que la souffrance, l’ancienneté des conflits, leur nature sont aussi des éléments déterminants dans l’indication d’une thérapie et qu’un test ne peut les prendre en compte.

La consultation psychologique s’inscrit dans une relation de confiance entre le thérapeute et le patient. Celui-ci a d’ailleurs le droit le plus absolu de changer de praticien si ce noyau indispensable de confiance ne peut être établi. Car, lorsque le patient est débarrassé de la peur, la confiance est la base de l’action thérapeutique qui s’exprime dans une relation très privilégiée.

Une fois débarrassé de la crainte née de l’incompréhension, il lui est possible, en osant la rencontre avec un thérapeute, d’aborder le chemin de l’espoir, c’est-à-dire la réconciliation avec soi-même, conduisant à une meilleure qualité de vie."

Wow mercii c'est vraiment vrai ce que tu dit et je pense que sa viens déclaicir quelque chose.

Je suis déja suivi par une psychiatre et meme si je la vois au 3 ou 6 mois.. Je déteste sa.
Je suis consciente que ses pour mon bien,mais quand je vais la voir jme rappele de toute mon passé et c comme pour me rappeler que je suis pas libre. En faite jme sens pas libre.
Et je suis encore en guerre intérieurement contre lemprise et le controle quavais les psychiatre et infirmier quand jtai interné en psychiatrie.
Et chaque fois jai mon rendez-vous sa me retombe dans lesprit.

Donc aller voir un psy, jai peur que sa fasse la meme chose .. Mais en lisant le texte, je réalise que peut etre sa peu maider aller consulter de moi meme..

Non, tu n'est pas la seule. Le premier pas est le plus difficile. Peut-être tu peut envisager une consultation en ligne avec un psychologue qui le fait. Puis ensuite continuer en cabinet.