Comment expliquer ça "logiquement"?
j'ai eu une rupture affective, avec un ami qui est "possédé" par sa mère (un schizo, mais sa mère lui interdit les contact affectifs, il semble, par peur profonde de concurrence).
La mère nous a alors interdit tout contact (y compris par écrit ou par personnes interposés.
La séparation nous a fait beaucoup de peine. Crises de tétanies pour le shizo et 15 jours de chagrin pour moi.
Il semble que cette interdiction vaille également pour la "téléphatie", ça se passe mal si je pense à lui, ça fait conflit entre "mon esprit" et "le sien copie de sa mère" ou sa mère, et là je l'ai fait par ce que je passais devant son lieu de vie où il serait si il n'était pas "chez sa maman".

Une tentative de construire une amitié avec cet ami lors de soins mutuels (je l'ai guéri de certains trucs lui m'avait guéri d'autres trucs, je suis autiste asperger, par des décharges d'affection) m'a rendu très attaché à lui, étant donne le partage de l'expérience d'êtres des handicapés mentaux isolés affectivement (on a de plus vécu les mêmes choses). Nous avions de l'amour d'adolescent (bien que plus âgés que 30 ans), une amitié avec une grande affection et des liens énergétiques qui nous relient à distance, semble t'il (douleurs synchrones dans le dos)... Nos angoisses ont souvent aussi été synchrone, quand on s'envoyait des mails on le constatatais après coups.
Un soir où sans doute nous nous sommes "pensé à nous" (lui par ce que c'est la st-jean, moi par ce que je suis passé près de chez lui)
Je me trouve pris le soir dans une crise de blocage mental (blocage du flux verbal et autisme, je devient muet), et en plus plein de douleur (difficile de marcher en me tenant droit)
ça dure toute une nuit.
Ma mère essaie de me donner de l'affection, je pleure un peu, sans plus sur certains points de massage (vers le plexus)
Puis vient un ami avec qui j'ai de l'affection (on a gagné plusieurs fois des championnats de france en Barque ensemble).
je chiale très fort, mais ça en reste là.

Puis s'amène un jeune pour qui j'avais remarqué il fut quelque temps une sorte de fluide qui fait "se sentir bien" en sa présence (de l'affection en fait, ou de "l'amour universel", il passe son temps à aller aider des gens). Avec lui, je commence à chialer puis ça se précipite, j'ai une crise comme si je vomissait, ça fait très mal, et puis...
guéri! en quelques minutes. Plus rien!, plus de chagrin.
Mais mieux encore, il semble que le deuil de l'ami perdu se soit fait en ces quelques instants. Je n'ai plus de peine en pensant à lui alors que ça devait durer plus longtemps.

j'ai eu d'autres
occasion de chialer dans des bras d'homme ou de femme mais le chagrin restait encore, le soulagement fut temporaire.
là, ça s'est arrêté après cet "exorcisme"... d'ailleurs, ça y ressemble, j'ai eu l'impression d'expulser un mal.

le délire mystique dit que c'est la mère qui a peur de moi et qui fait "de la magie noire" pour l'écarter de son fils (sans en être consciente, en mentalisant). j'ai constaté le pouvoir accidentogène de la mère en passant chez elle une fois, seul. après pendant 30km de vélo j'avais l'impression de risquer un accident à chaque tournant. Ma seour, à distance fut angoissée durant cette plage horaire.
Le "mal" est passé d'un coup, en quelques secondes. Des états mentaux "ordinaires" ne changent pas si vite.
Je serais curieux de la version "psy".

l'évolution normale, ça aurait été prise d'anxioytique et lente remontée sous antidépresseur. ça va plus vite comme ça. Si c'est "un deuil" d'une grande amitié, comment expliquer le fantastique gain de temps de cet "exorcisme"?.

le délire est ici
http://thevenet.jean.free.fr/notes/2010/guerisseurs.html#20100625

mais j'aimerais avoir une idée de version "non délirante". présentable à un psy.
ça donnerait quoi?!

je précise que la discussion sur le sujet a démarrer sur
http://www.psychanalyse-en-mouvement.net/forum/read.php?3,6168

on peut prendre l'histoire depuis le début ici
http://velorizontal.bbfr.net/le-bar-f6/teste-pour-vous-l-exorcisme-t11741.htm

j'ai eu enfin des réponses ici
http://www.transe-hypnose.com/forum/hypnose-pnl-et-autisme-vt3194-30.html#36468

ce que j'ai vécu est une carthasis
catharsis: Phénomène de libération à caractère émotionnel résultant de l'extériorisation d'affects refoulés dans le subconscient.
Finalement c'est... à chialer (page faite exprès)
http://ocean.de.bonheur.free.fr/regression-en-chialant-dans-les-bras.html
qui mène à faire des régression en conscience holotropique... miracle de guérison pour moi (traumatismes affectifs)
je parle d'un espoir de guérir un cas particulier de schizophrénie qui est bien un traumatisme affectif, bien sur en précisant que

Citation :

Te guérir... On avait presque trouvé le truc... maintenant... comment on fait? Pas faire ça comme ça sauvagement... nous n'avons plus le droit, si encore on renouait, et alors, avec DES SOIGNANTS? ça existe?

Le "schizo" avait fait de la conscience holotropique au son d'un bol tibétain, compris des tas de trucs et avait ensuite perdu "sa débilité" (bégaillements, phrases en boucle, confusion des direction), et il n'y avait plus de phrase à double sens (mélange de séduction/rejet affectif, durant 15 jours dans ses mails. puis il a basculé dans le déni, n'ayant pas pu "convaincre sa mère" et rompu avec moi (alors je ne sais pas la suite, si c'est normal ou pas, puisque normallement, il perd ses amis de cette façon)

ça y'est...bientôt le bout...

"l'envoyé des anges" a représenté pour moi mon jumeau que j'avais perdu à 10 mois de grossesse... jumeau ensuite transféré au père quand il fut "mon copain", mais avec une dette de "blottit contre", qui me frustrait... (tentative de faire du judo avec papa pour retrouver ce contact).
Puis père est mort et le jumeau perdu fut retrouvé dans un coéquipier d'aviron... l'envoyé des anges qui semble bien être schizo... relation fusionelle en miroir pour m'ABANDONNER ensuite et réveiller l'abandon du jumeau perdu mais aussi un grave traumatisme, revenu d'un coma et réveil dans l'abandon.

Après avoir "chialé ma vie" en la refaisant en "régression holotropique"... avec mon jumeau hantant un étudiant en psycho qui l'a incarné malgré lui, après transfert du schizo sur lui... je me suis... heu pas d'autre mots... mystifié!!! dans ses bras, puis revenu d'un état fusionné et intemporel avec tout dans l'émotion de l'Amour "divin" (oui les mots des expériences mystique...), j'était en conscience unitaire puis redécouvert l'entrée dans la vie, toujours en totale fusion avec mon jumeau jusqu'à la conscience ordinaire où je me trouvais toujours dans ses bras (pour lui 30 secondes, je me suis juste détendu un peu et paru inerte)... Et cela m'a guéri de cette affreuse sensation d'être abandonné dans la vie...

"Jésus"... si tu savais... MYSTIFIÉ!!! dans tes bras...

Et maintenant que mon jumeau m'a accueilli puis accompagné toute "ma vie revécue" en hantant ce jeune homme, je me prépare à faire son deuil... et désensorcler "mon jésus"!

Ça va encore chialer...

avec quand même une question

C'ÉTAIT BIEN UNE PSYCHANALYSE?

j'ai fait une pyschanalyse "inversée?"

Un autiste (asperger) a paraît t'il une inversion des processus mentaux de la pensée... un autre asperger dit que nous sommes plus connectés entre cerveau gauche et droit et "en mode débugage", ce qui signifie que la psychanalyse par ce qui est accessible au langage est faite...

Aussi je signale aussi de mon coté ce qui je pense être une dissociation émotionnelle. Je m'analyse froidement en m'aidant des souvenirs d'émotions et de sensations comme indices... je charge aussi les émotions subis dans le présent sans les éprouver, et j'ai un stock de vécu et de "à vivre" qui se constitue, puis, je vais choisir des conditions spéciales pour aller éprouver mes émotions et remettre en phase les émotions avec mon vécu analysé.


je décharge les émotions accompagné par un ami qui par le contact physique et l'intuition m'a accompagné (en m'entourant et en posant les mains où il faut) et puis entre temps, je faisait l'analyse, presque tout seul (que j'ai mise en ligne) et puis d'autres symboles "chargeaient" des émotions à aller décharger.

il semble que normalement, les psychanalyses ça consiste à analyser par le langage chez l'analyste qui dit peu de chose mais guide... et puis à aller chialer tout seul dans son coin les émotions qui sont libérées par la conscientisation, alors que moi, je le constate, vais décharger d'abord les émotions et puis conscientise après!

cela pose question. les deux, moi "l'autiste" (asperger est une forme d'autisme dans le fonctionnement mental), et mon "jésus" (le psychanalyste), nous étions... "trompé de cerveau"... on a bien fait ce qu'il faut, mais avec le coté droit... ensemble, tous les deux.
Mon soignant a la désagréable impression de ne rien avoir fait..., il m'a juste tenu dans ses bras et j'ai pleuré ma vie mais si, il a fait, mais avec son inconscient, l'autre cerveau, il a accompagné les émotions... et il posait exactement ses mains où il faut, entourait comme il faut et montrait parfois les yeux d'anges (pas toujours réussi, car ça faisait rire alors que là, il vaut mieux en pleurer qu'en rire...). C'est un de type 2a, http://www.enneagramme.com
(moi je suis un 5 avec une aile de 4).