Bonjour,

Je ne connais pas encore ce site, mais je compte le découvrir avec vous.

La raison pour laquelle je suis à la recherche d'une aide c'est parce que depuis quelques mois rien ne va plus.
On essaie depuis des années d'avoir un enfant et on n'y arrive pas. J'ai fait 4 fausses couches jusqu'à présent. Physiquement tout va bien et les médecins ne savent pas pourquoi je fais ces fausses couches.
Après la première fausse couche j'ai consulté un psychologue, mais je faisais de la relaxation avec lui. Je pense que je n'arrivais pas à me confier à lui.
Ensuite j'ai été bien pendant quelques années et depuis le mois de novembre 2011 rien ne va plus. On a eu pas mal de problèmes suite à un licenciement économique et le fait qu'on a du déménager pour retrouver du travail. Mais juste avant de déménager j'ai fait encore une insémination intra utérine qui n'a pas marché. Et depuis le mois d'avril je vais très mal. Si de juillet à novembre j'avais perdu 16 kg avec un régime, j'ai tout repris et ça aussi je le vis très mal.
Tous les traitement hormonaux que j'ai subit depuis 2008 jusqu'en mars de cette année m'ont fait prendre une trentaine de kg. Je me sens mal dans ma peau, je n'arrive pas à me faire des amis et je n'arrive pas à trouver un travail pour me sentir épanouie.
J'ai du renoncer hier à un autre travail que j'avais entamé, parce que ça se passait vraiment très mal. J'ai été un mois la bas, mais je rentrais tous les soirs à la maison en pleurant. Je n'en pouvais plus, j'ai donc décidé d’arrêter. La culpabilité va se faire sentir dans pas longtemps.
Mon médecin traitant à vu comme je suis mal et m'a proposé un traitement avec des anxiolytiques que je dois prendre quand j'ai des crises d'angoisse. Et elle m'a dit aussi que je devrais aller voir un spécialiste pour m'aider à dépasser cette étape. Mais le rendez-vous est que fin juillet et en attendant j'ai besoin d'un soutient.
J'ai mon mari, mais je ne veux pas détruire ma vie de couple juste parce que moi je vais mal. Donc voila pour la petite histoire.
J'ai besoin d'un conseil. Et je ne sais pas comment ça se passe ici.

Merci d'avoir pris le temps de le lire!

Pourquoi je fais semblant d'aller bien?
Tout simplement pour ne pas faire souffrir les autres autour de moi, pour ne pas les ennuyer avec mes problèmes et les faire s'en aller et me laisser seule de nouveau.

Je lis un peu les autres postes en essayait de voir une ressemblance avec moi. Mais je ne trouve pas.
Certes je ne suis un cas hors du commun, mais pourtant je souffre.
J'ai arrêté les traitements iac parce que je vois bien que ça aussi me rend malade. Je préfère ne pas avoir d'enfant, mais au moins pouvoir sourire. Mais c'est si dur de dire ça aussi. Et quand je pense qu'il y a en qui ne sont pas contentes d'avoir une fille et un garçon, car la fille est toute seule. Grrr, ça me met en colère!
Je ne sais pas ce que je veux. Je ne sais pas vraiment quel est mon but ici et pourquoi je suis encore en vie et pourtant j'ai 34 ans, l'age quand on est censés d’être murs et accomplis?!
Je n'ai que mon mari et je suis vraiment trop lâche d'en finir, parce que je ne veux pas le laisser seul. Mais le souci c'est que lui aussi il souffre quand moi je vais mal. Alors que faire? Je suis triste. Seule ma vie n'a aucun sens. Quand je suis avec lui ça va bien, mais je n'ai que lui et c'est tout. La famille est loin, pas d'amis à qui je peux parler ... juste l'internet.
J'aurais voulu réussir dans ma vie professionnelle, mais j'ai tout raté et je suis même incapable de trouver un job pour m'y faire et aller tous les jours juste pour que le salaire tombe à la fin du mois.
J'aurais voulu être mère. Une mère qui aime ses enfants, qui les valorise, qui est près d'eux, mais qui les laisse aussi VIVRE.
J'aurais voulu aussi être plus maigre. Mais plus ça va mal, plus je prend du poids.
A qui je peux dire tout cela? A mon mari j'en ai déjà dit. Mais je ne veux vraiment pas foirer ma relation avec lui en l’embêtant avec tout ces idées noires que j'ai.
Oui, je vais mieux qu'il y a deux semaines. Je pense que ça ira de mieux en mieux, mais les problèmes restent les mêmes.
Pourquoi je n'arrive pas à avoir ce que je veux dans ma vie?

Bonjour Besoin d'air

Tu m'as l'air perdue ! Avec l'envie de te comprendre, à fleur de peau..... Tu voudrais être...... Quoi de plus normal ! Mais, j'ai une question qui me vient à l'esprit !
Sais-tu qui tu Es ?
Pourquoi cette absence que je ressens dans tes écrits ?

Peux-tu nous parler de Toi, de ton enfance, du regard que l'on t'a porté ?
Tu Es, mais tu ne le sais pas semble-t-il......
Décris-toi, au delà de ce que tu nous a déjà confié !

Mais, justement c'est la le problème. Je ne suis plus qui je suis et ce que je veux.
On a du déménager il y a peu de temps et c'est la que j'ai pété grave un câble. En fait au début j’étais occupée à chercher un logement, à régler x ou y chose (elec, eau etc), mais des que je me suis retrouvée seule et sans identité tout s'est écroulé. Comme si je ne sais même pas qui je suis et ce que je fais ici. Eh bah ça a fait mal parce que je ne sais pas m'occuper de moi même. Je sais m'occuper des autres et soutenir les autres, mais pas moi même.
Je ne sais pas parler de moi. Je demande toujours aux gens avec lesquels je me comprends au fil du temps ce qu'ils en pensent de moi et comment je suis devant eux. Comment eux ils me voient .. comme si je voudrais me construire à travers ce qu'ils me disent sur moi ou à me retrouver dans ce qu'ils disent sur moi.
Et ça me surprend énormément quand ils me disent que je suis qq'un de bien, de bosseur, qui aime les gens et que je suis très sociable, que je suis courageuse et que je vais au delà de mes limites.
Mais moi pour me décrire je dirai juste que je suis nulle, que je n'ai rien réalisé dans ma vie et que je ne sais même pas ce que je vaux. Que je suis dans une lutte continue contre les moulins à vents.

Oui, je suis perdue! Oui, je veux trouver mon identité. Qui suis-je?!

Parler de moi? Quoi dire sur moi? Je ne sais pas. Enfin! Je suis une femme de 34 ans, mariée, sans emploi qui vient de quitter un emploi parce que ça allait mal avec les collègues de travail (de formation) et aussi la formation qui me semblait trop dure.

Quand j’étais petite j'adorais jouer avec les poupées, j'aimais bien être leur maman. J'ai joué avec les poupées jusque tard ... jusqu’au jour où ma mère s'est moquée de moi devant ses collègues de travail à elle. Ça m'a fait si mal. Elle ne comprenait donc pas que mes poupées étaient mon refuge? Que seules mes poupées me comprenaient sans me juger?
J'ai donc continué de jouer avec les poupées mais en cachette, quand elle n’était pas à la maison. J'aimais bien les changer, les coiffer, les laver, leur faire des vêtements. Bref, des jeux de fille quoi! J'ai encore une de mes poupée que j'ai réussi à sauver. Les autres ma mère et ma grand-mère paternelle ont préféré de les donner à des enfants pauvres qui en avaient besoin. Mais c'est comme si elles ont donné une partie de mon âme, mon vécu, mes secrets! Et ça personne ne l'a compris!
Wow, ça fait très mal de se rappeler de tout ça!

Mon enfance? Qu'est-ce que je devrais dire par rapport à mon enfance?
Il y a plein de choses à dire, mais la seule qui me travaille depuis qq'es moi c'est le rejet. Mon père m'a souvent dit avant de mourir que m'a mère ne m'a pas voulu et qu'elle ne voulait même pas s'occuper de moi quand je suis née et que c'est lui qui me donnait à manger et qui me changeait. Qu'elle aurait voulu un garçon et qu'elle a été déçue que je suis une fille. D'ailleurs toute ma famille voulait que je sois un garçon pour leur porter le nom.
Ma grand-mère paternelle prenait ma sœur et partaient rendre visite à des gens dans le village et me laissait toute seule enfermée à la maison, parce que dit-ils j’étais très sage et je ne pleurais pas même si j'avais la couche sale.
A la maison je jouais souvent seule, parce que ma sœur aimait faire de choses "intelligentes" et pas des jeux de "bébé". Elle aimait bien peindre ou lire. Et moi jouer tout le temps. Donc je jouais seule et je culpabilisais devant mes parents que je ne sais pas faire comme ma sœur, mais en même temps c'est comme ça que je me sentais bien.
J'aimais jouer avec les enfants de l'immeuble, mais ma mère ne voulait pas trop me laisser dehors pour jouer avec eux. Je ne sais pas pourquoi.
Puis en grandissant, vers 10 ans, ma mère a eu une relation avec un autre homme. Et elle ne me disait RIEN par peur que j'allais tout dire à mon père. Mais je n’étais pas comme ça. moi aussi je savais garder un secret. Donc elle le disait à ma sœur et à chaque fois que j'entrais dans la pièce elles se taisaient toutes les deux.
J'ai vécu des "tais-toi, tu ne sais rien" assez souvent .. pour ne pas dire tout le temps.
Aujourd'hui les relations avec ma sœur est ma mère sont assez tendues parce que j'ai l'impression que je n'ai toujours pas le droit à dire quoique ce soit. On me demande l'avis et tout de suite après on me dit que non, ça va pas ça, même si c'est une bonne idée. Ça va 5 minutes quand on est ensemble, parce que je prends bcp sur moi. Mais des que je n'en peux plus eh bien on se dispute.
En 2009 quand me mère est venue chez nous on s'est disputé de nouveau et la elle m'a dit: même si je sais que t'as raison, je ne veux pas faire comme tu veux. Super! Quelle maturité de la part d'une mère!
Mais le pire c'est quand on a appris que mon père est malade et on m'a accusé qu'il est malade à cause de moi Et c’était à l’époque où j'avais décidé de vivre avec mon ex dans une autre ville. Elle m'a "ordonné" de rentrer immédiatement à la maison et je lui ai dit que je ne peux pas .. et la elle m'a dit qu'à partir de maintenant tu n'est plus ma fille. Je te déshérite. Un déshéritage parental, de sang, de cœur eh bien depuis je ne peux plus serrer ma mère dans mes bras, malgré les années qui se sont écoulés.

Et avec tout ce que tu viens d'écrire, tu ne comprends pas d'où te viens ce vide de Toi !
Tu as été niée, non reconnue, tu n'as pas pu investir tout ton Etre, tout cela parce qu'il t'a été interdit de le faire....... Alors, peu à peu tu t'es mise en "sourdine".... Tu t'es oubliée......
Et à l'heure actuelle, tu pleures ton Etre que tu as laissé sur le "bord de ton chemin" et que tu ne sais retrouver ! C'est comme si tu étais coupée en deux ! Il est normal, dans de telles conditions, que tu sois souffrante de Toi !

Ces poupées sont une représentation de chacune des parts de Toi dont tu t'occupais enfant : les donner comme les ont donné ta mère et ta grand-mère ne pouvait qu'être déchirement, car t'occuper d'elles te maintenait vivante et réelle. Tu t'en occupais et tu les aimais comme tu aurais aimé que l'on s'occupe de Toi et comme tu étais en droit d'être aimée....
Te rappeler cela de Toi te fait mal en l'écrivant, je comprends......

Tu sais bien parler de Toi ! Tu as su par ses lignes nous expliquer toute ta souffrance passée qui est la Source de tes souffrances actuelles......

Quand tu demandes aux gens qui te connaissent ce qu'ils pensent de Toi, leur réponse est sincère ! Il me sembles que tu sais choisir les bonnes personnes à qui poser ces questions essentielles....
Tu as du mal à les croire, car ce n'est pas ainsi que tu te vois, que tu t'appréhendes.... Comment pourrais-tu te voir autrement qu'en fonction du regard que l'on a posé sur Toi durant ton enfance ! A force, tu l'as fait tien......

Pour que cesses tes souffrances actuelles, il va te falloir apprendre à te regarder autrement, à ne plus te juger au travers des regards de ton enfance..... Il va falloir que tu apprenne à avoir de l'estime pour Toi, qui t'amènera peu à peu à t'aimer.....

As-tu déjà lu des livres de psycho relatif à l'estime de Soi ?

Aie! Touché en plein dans le mille! Ça m'a coupé le souffle tout ce que vous venez de me dire!

Eh effet je n'ai aucune estime de moi, je ne sais pas du tout m'aimer, m’apprécier.
Non, je n'ai pas lu ce livre. En revanche j'ai lu d'autres: Les 5 blessures qui nous empêchent d’être soi-même, Écoute ton corps, ton plus grand amis sur terre et Écoute et mange Stop au contrôle. Les deux dernières je les lis en parallèle en fait.

Ce que j'ai du mal à comprendre ce n'est pas d'où viennent les problèmes (parce que depuis peu je suis bien consciente d'où elles viennent ... de mon enfance et des relations avec ma famille), mais comment je peux changer à mes 34 ans du moment que pendant 34 ans j'ai pris l'habitude de m’exécuter devant tout le monde?
Comment est-ce qu'on peut arriver à changer? Est-ce que je peux avoir de la patience à lire et à faire tout ce travail sur moi qui risque d’être écrasé lors de la prochaine visite chez ma mère?

Ma mère a su tout contrôler par rapport à moi. Mon école, mes études, quel métier je dois faire.
Du coup je ne sais même pas quel métier j'aimerais faire. J'ai 34 ans et je ne suis pas capable de savoir qu'est-ce que J'AIMERAIS faire.
J'ai fait plein de choses. J'ai commencé par être professeur de langues, ensuite traductrice-interprète, ensuite ... femme de ménage, contrôleur de qualité dans un garage renommé, hôtesse d'accueil, baby-sitter et dernièrement conseillère client.
Mais ma mère ne sais même pas tous ce que j'ai fait. Je n'ai pas eu le courage de lui dire parce qu'elle aurait tout de suite la réplique à tout.
Et aujourd'hui j'ai l'impression que tout ce que je n'ai pas pu lui dire me revient dessus et ça pèse énormément Peut être d'où le fait que moi aussi je pèse bcp

Mon ex copain avait 3 ans de moins que moi. Je n'ai jamais pu le dire à ma mère à cause de ses préjugés par rapport à l'age et que l'homme doit forcement être plus âge que la femme. Mais ce sont ses préjugés à elle qui m'ont pourri la vie.

Il y a trois choses que je voudrais tant réaliser:
1. Avoir un travail où j'aime bien me réveiller le matin et y aller (comme celui que j'ai eu en 2010 - conseillère client chez PE)
2. Avoir des enfants. J'ai fait 4 FC dont une à 10 semaines de grossesse. Un enfant tant attendu qui a décidé de ne pas rester avec nous. Pourquoi je n'arrive pas à avoir des enfants du moment que du point de vue santé tout va bien?
3.Peser au moins 30 kg de moins et arriver au moins au poids que j'avais quand j'ai connu mon mari.
Mais comment arriver à obtenir tout ça? Qu'est-ce que je dois faire et comment?

Pour les insémination intra utérines ça me faire rire, mais pas de façon drôle.
En fait j'ai fait bcp de pause entre chacune parce que j'avais déjà du mal à accepter le fait que ça n'a pas tenu. Et ma mère revient de nouveau la dessus en me disant qu'il faut continuer. Qu'elle connait du monde qui a continué et qu'ils ont enfin un enfant. J'ai donc continué parce que peut être que ma mère a raison. Les dernières je les ai fait une en décembre et une en mars de cette année. Et après la dernière (dont ma mère l'a appris deux mois après) elle m'a dit: mais je t'avais dit d’arrêter! Mais quel faux-cul! Mais c'est vraiment comme ça qu'elle pense m'aider?
Ça m'a fait encore plus mal et la chute a été bien plus dure qu’après toutes les autres. Il y a eu trop de choses qui sont arrivées en même temps auxquelles je n'ai pas su faire face et puis boum bada-boum écroulé et en dépression sous anxiolytiques ... et pendant la même période j'ai du commencer le nouveau travail, la formation et supporter les méchancetés des nouveaux collègues.

On avait envisagé aussi l'adoption. Mais ça me semble si impersonnel d'adopter un enfant. Ça me fait peur. Je sais qu'à force de vivre avec on s'attache. Je pense que si on n'y arrive pas on va adopter à un moment. Mais j'aurais tant voulu en enfant à moi, de moi!
Et la aussi on me dit souvent "avez-vous pensé à l'adoption"? Mais franchement personne ne me comprends ou quoi? C'est si compliqué ce que je demande? Je demande un enfant de moi, de nous deux!

Je suis désolée, mais j'ai l'impression que je déraille du sujet comme à chaque fois

Non ! Tu te livres Besoin d'air ! Et, tu en as besoin ! Tu as besoin d'être reconnue et non jugée !
Tu ne dérailles pas du sujet comme tu le dis..... Tes souffrances ne sont pas hors-sujet : elles t'empêchent de vivre ta Vie ! Tu es à la bonne place, la tienne, inconfortable certes depuis pas mal de temps, mais qui ne demande qu'à évoluer et à changer......
Pour cela, il va falloir changer le regard que tu te poses sur Toi-même car il ne t'appartient pas, tu te l'ais fait tien au fil des années...... Il va falloir que tu apprennes à avoir de l'estime pour Toi et à t'aimer......
Peut-être que la raison de tes échecs en procréation artificielle vient du fait que tu ne t'aimes pas du tout et que tu ne crois pas mériter le fait d'être mère et inconsciemment tu te l'interdit, histoire de donner raison à toutes les attitudes de ta mère envers Toi....
Au lieu de te dire inconsciemment que tu vaux et que tu valais bien le regard qu'elle a toujours posé sur Toi, pourquoi ne pas te persuader du contraire en te disant que tu ne vaux pas et valais pas ce regard posé sur Toi.....

Tu valais et vaux beaucoup plus ! Tu n'as pas de prix ! Tu es d'une grande valeur !

Tu sais, l'Amour accepte, reconnaît, sécurise et réconforte : il est inconditionnel !
A partir de maintenant, tu vas essayer d'Etre une inconditionnelle de Toi-même !

En t'acceptant, te reconnaissant, te sécurisant et te réconfortant...... Dans le seul but de t' Aimer..........

Le temps de faire une recherche te concernant dans des posts anciens que j'ai déjà écrits sur le forum et qui seront le début de ta prise en charge...... Je reviens

Avoir une bonne estime de Soi, c'est avoir une image de Soi suffisamment solide pour assumer les échecs lorsqu'ils se présentent dans notre vie et pouvoir redémarrer sans en être démoli, mais c'est aussi être capable d'accepter les refus, les rejets ou les déceptions sans en être cassé. Donc, il va aussi falloir apprendre que l'on ne peut pas être aimé par tout le monde, que tout le monde peut ne pas être d'accord avec nous-mêmes sans que pour autant cela fasse de nous une personne sans intérêt, nulle et fade, que nous n'avons pas à nous comparer aux autres car les autres ne sont pas mieux que nous...... Les autres sont comme nous, les autres comme nous ont des doutes, des peurs, ce qu'ils font n'est pas mieux ni moins d'ailleurs....... Nous voyons des autres ce que nous voulons voir, et si nous nous dévalorisons en permanence, nous ne pouvons voir chez l'Autre que ce que nous nous croyons incapables de pouvoir réaliser, l'Autre le peut lui ! La réalité n'est pas là !
La réalité n'est pas dans cette auto-évaluation par rapport aux autres, ce jugement négatif que nous nous portons systématiquement...... La réalité est que nous sommes capables comme tout autre personne...... Et pour cela, abandonnons l'idée que nous puissions être "une merde", de nous juger anormal, capable de rien, sauf subir.......

Quittons ces jugements absurdes sur Soi et ces questionnements qui n'ont pas de sens ! Donnons-nous la chance de nous voir autrement en nous fixant des buts et des objectifs concrets par étapes clairement définies..... Ceci nous permettra de prendre confiance en nous en prenant goût à comptabiliser nos succès dans un "journal de bord" au fur et à mesure que nous les accomplirons...... Et, nous serons surpris de nous voir Autre !

Fixe-toi des petits objectifs journaliers et n'oublies pas de te féliciter de les avoir entrepris, qu'ils aboutissent ou pas, le fait d'avoir osé est déjà une victoire !
Ne penses pas pouvoir faire l'Everest si tu n'es pas adepte de treecking et d'alpinisme le premier jour ! Pour, un jour pouvoir accéder à son sommet, il y a des heures d'entraînements progressifs...... Au fur et à mesure, la confiance montera et les progrès aussi, et l'estime croît........

Pour cela, ne pas oublier des règles simples :

- Refuser toute critique qui tend à dévaluer (nous ne sommes pas ce que les autres pensent de nous)
- Dans nos relations, se souvenir qu'une personne qui nous aime est beaucoup plus sensible à nos qualités qu'à nos défauts.
- Nous entourer (surtout dans notre cercle intime) en priorité que de gens sincères.
- Se répéter que nous avons le droit d'être heureux et d'être aimé.

Et capital, ne jamais oublier :

- Accepter de n'être pas toujours compris...

- Ne plus se sentir obligés de nous justifier auprès d'un partenaire lorsque celui-ci tente de nous culpabiliser.

- Décider que nous ne sommes en aucune façon obligés de justifier de notre comportement auprès de qui que ce soit.

- Refuser les critiques de ceux qui ne tendent manifestement qu'à nous rabaisser.

- Décider d'agir pour nous-mêmes dans notre intérêt et non pour plaire à tout prix.

Autre chose très importante à une bonne estime de Soi !
Se débarrasser de toute culpabilité !

La culpabilité est un fardeau entravant nos responsabilités, de plus elle entrave notre réflexion et n'amène aucune eau au moulin si ce n'est de nous fixer dans l'inertie et elle est un reflet d'un jugement négatif de nous-même qui nous empêche d'aller de l'avant.

Un dernier point très important !

Accepter de ne pas être parfait, la perfection n'existe pas ! Etre tolérant pour nos erreurs passées, comprendre que l'on ne peut toujours réussir et que les échecs ne sont pas la traduction de nos incapacités mais sont la possibilité de pouvoir être perfectibles et de nous améliorer en comprenant pourquoi nous n'avons pas réussi afin de pouvoir changer ultérieurement la motivation de nos choix. Que notre valeur ne doit pas être remise en cause par nos échecs.....
Reconnaître que l'on fait toujours de notre mieux et que tout apprentissage se fait par essais, donc ne rien dramatiser..... Un essai non transformé un jour, peut, un autre jour être transformé car le moment plus adéquat pour le transformer se présente et notre façon de l'aborder différente également. Il n'y a pas un seul chemin à la réussite, mais divers chemins...... Il suffit de trouver le bon chemin, au bon moment, le tout le plus important est d'y arriver.....
Ne pas laisser les autres décider ce qui est bien pour Soi ! C'est à Soi de décider !

Ceci peut être un début de réflexion pour Toi, tu vas certainement t'y retrouver....... Ne mets pas la barre trop haute au début, fixes-toi des objectifs réalisables que tu pourras atteindre et qui te valoriseront et si tu échoues ne leur accordent d'importance que pour la leçon que tu en tires et qui te servira à te corriger à l'avenir........

Rien qu'en lisant ça me semble très difficile et presque irréalisable. Je ne sais pas comment m'y prendre et quoi faire.

J'étais sur un bon chemin de juillet à novembre l'année dernière, puisque j’étais bien dans ma peau et j'ai réussi à perdre 16 kg. Je me sentais belle et j'aimais bien ce que je voyais dans la glace.
Mais pour que la vie me prouve encore une fois que tout était si frais et si fragile, m'a donné encore un coup à travers les beaux-parents qui ont lâchement foutu dehors mon mari (et moi et le chat avec, évidemment) et ça parce qu'il a "osé" de leur dire en face tout ce qu'il avait sur le cœur et tout le mal qu'ils nous ont fait ces derniers années.
Depuis je reprends du poids. Je ne dis pas que c'est seulement à cause de ça. Les traitement hormonaux sont venu en ajouter des kg la dessus, mais je pense que ça a été le sujet qui a fait tout déclencher!

J'ai "assisté" et j'ai contribué en quelque sorte à mon auto-destruction. Depuis le mois de janvier à chaque cycle je pleure et je déprime. Et le mois dernier ça a été le pompon, parce que je sentais que je ne m'en sort plus.
Je suis qq'un de gai, qui aime sourire, qui aime se sentir bien et faire les autre se sentir bien.
On m'a toujours dit que "tu rigoles tout le temps", "tu arrives à me changer l’état d'esprit". Oui, mais à moi personne n'arrivait plus à changer mon état d'esprit et à me faire retrouver mon sourire et mon envie de vivre, de RESPIRER.

Je vais essayer de suivre ces exemple, même si à ce moment me semble insurmontable. MAIS je veux aller mieux. Je le dois à mon mari qui a la patience de me soutenir à chaque fois que je tombe. Et je crois que je me le dois un peu à moi aussi pour me sentir vivante.

Aujourd'hui cela te semble irréalisable, parce que aujourd'hui tu te sens au fond....... Mais, si ton caractère est d'être au plus profond de Toi quelqu'un de gai, qui aime sourire, qui aime la vie, tu sauras trouver la force qui te permettra de ne pas trouver cela si infranchissable et impossible.
Si, je t'ai fait ce copié/collé de mes écrits passés, c'est que je te sens par ailleurs capable d'y arriver bien que je ne te connaisse pas. Sans te connaître, je crois en tes capacités, à Toi d'y croire aussi.......

A la première lecture, cela te sembles dur, trop dur........ Lis et relis tout cela, et tu verras que ce n'est pas impossible.......

Veux-tu que l'on parle de cette altercation avec tes beaux-parents qui a fait vaciller tous tes efforts qui ont t'ont fait basculer....... ?

Oui, bien sur! Volontiers! J'ai besoin de parler de tout façon!

Ça a commencé en début de l'année dernière.
Donc l'année dernière en février je suis rentré d'un rdv avec une copine et j'ai écouté les messages sur le répondeur. Ma belle-mère avait laissé un message dans lequel elle disait: tu dois être à la maison parce que ton mari est au travail. Ah, t'es avec ton amant? Tu ne réponds pas parce que t'es avec lui? T'es sortie avec lui ... et le message a duré environ 5 minutes peut être dans le même style.
J'ai été franchement choquée. Je n'en revenais pas et j'ai pensé que mon mari a du lui dire qq'e chose qui l'a fait penser à sa. J'ai pris mon mal en patience et le soir quand mon mari est rentré du travail je l'ai fait écouter le message. Il était tout aussi choqué que moi. On n'a pas compris ce qui a pu la faire nous laisser un tel message.
Mais mon mari n'a jamais eu le courage de demander à sa mère des détails concernant le message.
Le mois de mars 2011 on ne se retrouvais plus du tout tous les deux. On ne se parlait presque plus. Jusqu'à un moment quand je lui ai envoyé un sms en lui disant qu'on doit prendre un moment et parler de ce qui a pu nous amener ici.
On a décidé de partir qq'es jours loin de chez nous, avec les téléphones sur silencieux pour ne pas être dérangés. On en a parlé et on est revenu ressourcés. Ça nous a fait du bien!
Mais le mal continuait à être présent du moment que personne n'avait pas parlé aux beaux-parents.
Le mois de mai ils sont venu chez nous et ça c'est assez mal passé, parce que je ne pouvais pas regarder ma belle-mère sans que son message ne me revienne pas dans la tête. Donc je lui répondait un peu méchamment. Mais elle n'a jamais demandé ce que j'ai ... comme elle faisait quand elle me sentait pas bien.
On a évité d'aller les voir pendant tout l'été. Facile d'ailleurs quand 350 km nous séparaient (maintenant 550 km nous séparent. Encore mieux , car comme ça je ne suis pas obligée de faire semblant ...). Ils se parlaient qu'au téléphone avec mon mari. Moi j’évitais de répondre.
Le mois de novembre arrive. Mon mari avait un entretien d'embauche dans une autre ville, ou on vit actuellement d'ailleurs. Et vu qu'à chaque fois on devait laisser le chat chez eux pour pouvoir bouger on a fait la même chose cette fois ci. On est allés. Moi ça commençait tout juste d'aller mieux vis à vis d'eux. Je me disait que tien, ça se passe et sans avoir discuté. Donc tant mieux. Ils sont vieux, donc on va pas les infliger encore ça. Tant pis s'ils n'ont pas réfléchi. Et puis basta!
Mais manque de bol, à table, à midi, ma belle mère recommence ... je ne sais plus sur quel sujet d'ailleurs (je crois que la copine d'un arrière cousin l'avait trompé avec qq'un d'autre chez eux .. chez le cousin) ... donc elle recommence de dire que je ne sais pas ce que je vous fais si vous vous trompez entre vous ou que j'entends que vous avez un amant. ALORS LA c’était la goutte qui a fait déborder le vase. Et j'ai éclaté. Je n'en pouvais plus. Et je lui ai dit, mais est-ce que vous vous rendre compte que ça a failli nous séparer le mois de février le message que vous nous avez laisse sur le répondeur?
Alors la une polémique et une rage et une déformation des mots que j'ai sorti et plus personne ne m’écoutait. Donc si c'est comme ça, moi je pars, je ne reste plus 1 minutes de plus dans cette maison où je ne suis pas bienvenue.
Et je suis partie à faire les bagages. Et j'attendais de voir si mon mari allait me suivre ou s'il allait être de leur côté. Et les minutes dans des situations pareils sont interminables.
Après un certain moment il est monté. J'avais qu'une peur, qu'il allait me dire, bah, tu t'en va!
Il s'est mis à côté de moi et il a juste pu me dire mon père m'a foutu dehors! QUOI? Pourquoi? Eh fait il est reste avec eux et il a déballée tout ce qu'il avait sur le cœur et contre eux depuis tas d'années (et même bien avant de me connaitre).
Donc dire tout ça tout d'un coup ça doit faire très mal des deux côtés (et mon mari et ses parents).
Donc on a du faire les bagages, rentrer chez nous et voir quelle solution on trouve pour le chat. J'avais peut que mon mari allait être trop déséquilibre après cette dispute pour passer l'entretien. D'ailleurs il ne voulait plus du tout partir. J'ai réussi à le convaincre qu'il fait ça pour lui et pas pour eux.
Donc on a pris notre chat et on est partis.

Mais comme j'ai fait le régime de juillet à novembre et que j'avais perdu 16 kg et que je me sentais belle et bien dans ma peau et puis fière d'aller chez mes beau-parents pour leur montrer tout ce travail sur moi et mon mari aussi (lui aussi avait maigri un peu), voila que j'ai eu l'impression que tout le travail que j'ai fait ça n'a servi à rien. Et qu'il ne faut qu'un mot, un geste, une parole pour tout détruire. J'ai commencé à reprendre des kg ... petit à petit jusqu'à ce que j'ai tout repris.
Et depuis le mois de novembre il y a plein de choses qui vont mal parmi lesquels le plan sexuel. Vous allez me dire que c'est normal vu les circonstances, mais le souci c'est que je ne sais plus comment faire pour que tout soit de nouveau comme avant?!

J'aime mon mari et lui aussi m'aime et on est bien ensemble et très complice d'ailleurs. Mais certains points de notre vie on n'arrive pas à les régler. Je sais qu'on a tous les deux besoin d'aide pour franchir ce cap. Mais de la à passer à l'acte et voir un sexologue ou je ne sais pas qui, qui pourras nous aider à dépasser cette étape, je crois qu'on est un peu lâches tous les deux

Erick, j'ai parlé un peu plus haut par rapport à l'adoption. Je sens que c'est un acte assez impersonnel en fait!
Avoir un enfant de SOI est bcp plus important pour moi!
Mais en effet on a déjà pensé à l'adoption. On a eu même la réunion après laquelle il ne reste plus qu'à déposer le dossier.
Mais entre temps on a déménagé. On a encore notre maison dans l'autre ville et ici on habite à louer vu que c'est une mission d'intérim pour mon mari. Donc je pense que la situation est un peu instable pour nous pour qu'on ait un avis favorable de la part des assistantes sociales qui sont apparemment très critiques par rapport au parcours qu'on a à faire (travail, logement etc).
On attends juste de voir ce que la vie nous réserve. Si on reste définitivement ici ou on est actuellement ou si on rentre chez nous déjà pour savoir où est-ce qu'on va déposer le dossier d'adoption.
Disons que la situation est un peu plus compliqué qu'elle en a l'air par rapport à l'adoption.
Ensuite c'est le fait qu'en France c'est quasi impossible d'adopter. Donc il faut se diriger vers l’étranger. Et on ne veut pas ni moi, ni mon mari d'adopter un enfant d'une culture, des origines et d'une couleur complètement différentes.
Je ne suis pas du tout raciste, mais chacun ses principes. Je me vois mal expliquer à mon enfant d'où il vient et pourquoi il est différent de nous. Oui, tout s'apprend, c'est clair, mais je me sens assez mal à l'aise à l'idée.
Quand on voit que l’histoire d'un enfant vient bien avant sa naissance et qu'il nait déjà avec certaines blessures. A sa ajouter la différence d'origine et de culture... Disons que je ne serai pas capable de m'infliger ça et ni de l'infliger à cet enfant qui n'a rien demandé!

Oui, en effet, je crois aussi que c'est le sujet qui me fruste le plus. Être maman pour moi c'est être femme. Et j'ai l'impression que je ne peux pas être femme si je ne suis pas maman. Eh oui, le cercle vicieux!
J'ai pris du poids en essayant d'avoir des enfants. C'est bête, hein? Tous les traitement hormonaux m'ont fait prendre presque 8 kg à chaque fois.
Je me suis "amusée" avec mon mari de faire un graphique de mon poids en corrélation avec les insémination (donc traitements). Après chaque fois que je faisais une fausse couche mon poids montait en flèche. J'arrivais me reprendre en main, perdre un peu jusqu'au traitement suivant. Et ça recommençait.

C'est ce qu'on appelle la quadrature du cercle !
Si au "jeu" tu te prêtes, tu verras que tout est lié ! C'est intrinsèque visiblement......
Toi-même, tu parles de cercle vicieux....

Je crois, au contraire de Toi, que vous êtes bien courageux Toi et ton mari, et non pas lâches !
Il en faut du courage pour affronter toutes ces situations. Parfois, en les affrontant, souvent même, des choix s'imposent comme de laisser derrière soi ses parents et de faire le deuil d'une relation avec eux, qui était du reste toxique...... Ce n'est pas un échec Besoin d'air mais une victoire dans l'affirmation de Soi ! Ton mari vient en se positionnant de la sorte envers ses parents, de te donner une application des conseils que je te donnais dans mon post précédent.
Certes, il a été mis à la porte, mais qu'a-t-il gagné en retour ? Une estime de Soi ! Car, il en faut du courage pour affronter ses parents ! Parler, se positionner en livrant ce dont nous ne voulons plus être victime, c'est refuser ce qui n'est pas juste pour Soi, c'est s'affirmer ! Personne ne peut juger pour l'Autre de ce qui est bon ou pas pour lui. Ton mari doit se trouver grandi de cette affirmation de Soi, et non puni par cette "pseudo sanction" qui est significative de l'ascendant que ses parents ont voulu maintenir à son égard...

L'un et l'Autre vous vous êtes soumis à la loi de vos parents, à leurs dictats..... L'éloignement est bon, mais pas seulement, votre liberté c'est dans votre Etre qu'il vous faut la gagner !

Bonjour,

Mon mari vit la séparation de ses parents assez zen. Des fois je le jalouse qu'il peut être comme ça! J'aimerais des fois pouvoir dire à ma mère tout ce que j'ai sur le cœur. Mais je ne peux pas, parce que je n'aime pas lui faire du mal. Je lui trouve toujours une excuse. Le décès de mon père, le fait qu'elle a été très mal pendant une période, une opération, ensuite qu'elle a des examens à passer parce qu'elle a voulu faire la fac à son age. Je ne critique pas, parce que je connais bien les raisons qui l'ont poussé à faire ça. Mais voila, je trouve que je suis moins égoïste qu'elle et je tiens compte de tous les événements dans sa vie malgré le fait qu'elle n'a pas fait pareil avec moi.
Elle a toujours su se moquer de moi, de mes ex et me faire du mal comme ça.
Mais bon, c'est du passé tout ça. Il faut bien que je pense à l'avenir, non?!

C'est drôle, parce que hier soir je suis restée à la télé toute seule à regarder un film romantique et à un moment je me suis retrouvée. Comment dire? J'ai réalisé que c'est moi et que je fais ce qui me plait. Je me suis surprise à être moi même
Je pense que le fait d'avoir parlé de tout mon mal être ici ça a remué qq'e chose dans mon cerveau.
En tout cas ça faisait qq'e temps que je n'avais plus ressenti ça, que je suis moi-même! Ça fait plaisir de se retrouver! Mais bon c'est juste une petite étincelle. Il en faut plusieurs pour faire un bon feu

Dans des temps très reculés, il a suffit d'une étincelle, un soir d'orage, pour que l'homme apprenne à ne plus jamais laisser le feu s'éteindre.... Depuis, l'homme n'a jamais cessé d'évoluer.....

Et c'est tellement vrai
Reste plus qu'à trouver les moyens modernes pour faire tenir allumé le feu

Merci de m'aider à réapprendre à sourire

Sourire à l'Autre...... C'est partager une part d'étincelle Besoin d'air...... Une impulsion qui suffit à ne plus se sentir seule.......

Ma sœur m'a dit il y a qq'es années que si on n'a pas envie de sourire il faut juste faire la mimique de celui qui sourit parce que ainsi grace aux muscles tendu au niveau du visage, on transmet au cerveau le message qu'on est heureux et on se sent mieux.
Je vais commencer à le tester

Tu m'en dira des nouvelles

J'y manquerai pas !
La je file faire une ballade au bord de la mer. Ça va faire du bien à la tête
En attendant un très bon weekend et à bientôt!
Et merci encore pour fois pour l’écoute

Bon week-end à Toi aussi et profites pleinement de ta promenade

Pourquoi on ne peut pas guérir d'amour et de culpabilité?
J'ai aimé mon ex, on a été ensemble 5 ans, il m'a quitté pour une autre. Il a refait sa vie, moi la mienne, on est chacun à l'autre bout de monde et pourtant à chaque fois quand je pense a lui ça fait mal et j'ai comme une impression que je l'aime encore. Et ce qui me fait encore plus de mal c'est que je suis mariée et j'aime mon mari, on est vraiment bien tous les deux, le couple que j'ai toujours voulu. Donc je culpabilise parce que des fois j'ai l'impression de trahir mon mari à travers mes pensées.
es-ce humain et naturel? Ça peut arriver à tout le monde ou c'(est de nouveau un signe de faiblesse de ma part?
Mon ex a eu deux enfants. Deux garçons. Moi aussi j'aurais aimé avoir un garçon. Peut être ça a qq'e chose a voir avec ça??