Il y a maintenant 6 jours, un très bon ami à moi et décédé à seulement 15 ans. Après un grâve accident de cyclomoteur, 6 jours dans le coma, il est mort à cause d'un seignement au cerveau...
Je trouve ça tellement injuste, à seulement 15 ans. Il était tellement heureux de vivre et tellement joyeux. Je n'arrive toujours pas à l'imaginier. Je n'ai pas eu le temps de lui dire au revoir ni de lui dire une dernière fois combien je l'aimais ...
Quelqu'un sait il comment combattre cette douleur que j'ai en permanence dans mon coeur ? Ces regrets qui hantent mes pensées ? L'image de son petit cercueil que je ne peut effacer ?

Le décès de cet ami si jeune, qui avait encore toute la vie devant lui, est survenu si brutalement que tu es attérrée par cet évènement si dramatique et innatendu. Il te renvoie, peut-être pour la première fois, devant l'effroi et la réalité de la mort qui nous atteindra tous un jour.
Je comprends que tu sois attristée car on ne peut imaginer de perdre un ami surtout si jeune et que l'on a aimé. Tu refuses cette mort, ce qui est tout à fait normal, tu es sous le choc et ta présence aux funérailles, t'a laissée des images et des sentiments de peines indescriptibles. Tu es en colère car tu ne t'expliques toujours pas pourquoi sa vie lui a été enlevée et, dans le même temps, tu culpabilises peut-être d'être en vie...?

Je ne sais quels étaient les liens qui vous rapprochaient tous les deux, mais il te manque beaucoup. Si tu pouvais encore lui parler, qu'aimerais-tu lui dire ? Te sens-tu préoccupée par des faits antérieurs avant son décès, des sentiments à son égard qui n'auraient pu être dits. Le meilleur moyen de calmer ta peine est d'écrire ce que tu n'as pas eu le temps de lui confier.

Est-ce la première fois que tu es confrontée à la mort d'une personne si proche de toi ?

Courage
Bisous
Clair de lune

Théo était un très bon ami, on s'était rencontré en maternelle et on ne s'était plus quittés. En fait, je ne me suis jamais vraiment disputée avec lui, il était comme un frère.
Il me manque tellement, c'était à lui que je racontais mes chagrins, mes petites anecdotes, ... A l'école on était souvent assis côté à côte et on se faisait souvent changer de place pour cause de bavardage. Tout ça va me manquer.
Je n'avais rien de spécial à lui dire et en même temps tellement de choses. Lui raconter mes journées et lui les siennes, ...

J'ai déjà été confronté à la mort de mon grand-père il y a deux ans. Mais ce n'était pas la même chose. Mon grand-père, lui était bien plus âgé. C'était dans la "logique des choses".