Bonjour,

je me doute que c'est une question qui reviens souvent, mais elle est essentielle aux personnes qui sont dans une démarche de soins . Pour ma part, je ne vois que les psychologues, qui nous aident à extérioriser ce qui nous tourmente et le psychiatre qui régule la perception des synapses . Les deux sont très liés, mais ont des rôles qui divergent et dont certain m'échappent .

S'il-vous-plait, pourriez-vous éclairer ma lanterne, j'ai l'impression de trop attendre de ma psychologue (projection?) .

Merci .

Un psychiatre à une formation de médecin qui s'est spécialisé dans la psychiatrie c'est pourquoi il a la capacité de prescrire des médicaments. Un psychologue a une conception bien plus théorique et subjective, c'est pour cette raison que parfois le travail d'un psychologue n'est pas toujours reconnu parce que pas toujours très visible. Si vous avez cette impression d'inutilité alors essayez de changer de psychologue, tous les psychologues ne conviennent pas à tous les individus et à toutes les attentes, chaque psychologue à ses idées, ses conceptions de la psychologie et ses méthodes.

"pas toujours très visible" , personnellement c'est le psychologue qui me fais entrevoir une lueur d'espoir et avec qui les pensées et l'affectif retrouve un peu d'ordre . Le psychiatre m'aide aussi, mais dans une autre façon . Je voulais vous demander, au sujet des projections sujet-analyste, sont elles bénéfiques ? l'analyste doit-il les "gérées" (freinées) ? Dans quelles meusures peuvent-elles influencées l'inconscient dans la psychanalyse ?

Ces études doivent être passionnantes, j'espère que vous réussirez et que vous vous épanouissiez dans ce métier . Si j'avais pas suivi le cursus marijuana option shilum avec mention ('') , je crois que je serais allé en psycho

Pour ma part, bien que je n'ai encore que survolé le sujet je pense que le transfert et contre transfert peuvent être bénéfiques pour le patient si l'analyste réussit à les maîtriser. Je pense que la relation affective qui peut s'établir entre un patient et son analyste ne peut qu'aider l'analyste à approfondir son analyse et aider le patient à s'approprier un nouveau point de vue, bien plus objectif que le sien: celui de son analyste. En revanche, il faut que cette relation soit totalement maîtrisée pour que les dérives qu'elle peut entraîner (sentiments amoureux par exemple) ne faussent pas toute l'analyse avec trop de subjectivité.

merci je sais à présent mieux qui fait quoi