Je me suis dejà posé la question "dans quel rubrique vais-je rédigé mon lama de connerie ( pour dire les choses comme elles sont)"

Je vais mettre mon mal étre sur le dos de l'adolescence.

Mais voila... quoi dire de plus...?

Ma situation familiale:

1 petite sœur ( peut être handicapé mental)
2 petits frére ( dont un hyperactif )

Mes 2 parents vivent ensemble, il ne s'aime plus et s'engueule parfois, mais c'est comme beaucoup de vieu couple, leur sujet principal: LE BOULOT.

Moi, 17 ans, dyslexique, dysorthographie, dyscalculie (rien de bien méchant: j'ai du mal a lire, orthographié les mots, et a avoir un raisonement logique)

(j'ai envi de dire: tout le monde a sa petite vie, avec ces probléme)
certe, mais pourquoi moi, je n'arrive pas a trouvé en moi la force de continué ?

Je vais consulté un psy, suite a de nombreux appel au secoure de ma part au pret d'un ami, qui a avertie ma mére, qui elle a pris rendez-vous dans une institution (que je fréquente toute les semaines depuis le mois de février, mais ma mère ne voulais pas en entendre parlé), Ce psychologe a décidé de me mettre sous médicament afin de calmé mes angoisses.

Pourquoi je suis triste ? tout le temps triste ?
Pourquoi je pense toujours a mourrir, ou a fumer, ou a foutre ma vie en l'air ?
Pourquoi, ma mére, ne vois rien ?
Pourquoi, je suis seule ?
Pourquoi je ne comprend rien ?

Est-ce l'adoléscence ? quand je parle avec les autres, il me disent "mais il faut que tu arréte de te mutilé, c'est juste une maitrise de sois" ou encore " mais je ne vois pas pourquoi tu es comme sa. tu na pas de raison d'étre triste" et le meilleur "MAIS BORDEL pense au africain qui meurent de faim, pense a la misére du monde, toi, tu te prend la tête pour RIEN DE TOUT"....

Aujourd'hui, samedi 19 juin, je suis seule..... je n'ai plus personne, j'ai des ami(e), mais c'est pour passé des bon moment. c'est tout !

JE me sens d'un ridicule en relisant... Je veux en finir, j'attent les résultat du bac de français... tout se joura le 13 juillet. Personne n'a sue m'aidé, ni l'infirmière de l'institution, ni le psy et ses médoc, ni mes amis, ni ma mére. Je ne sais plus vers quoi/ qui me tourné.

bonne soirée.

Merci

Chère petite étoile,

Je t'appelle ainsi car ton pseudo ne m'attire pas beaucoup
Effectivement, c'est d'une part l'adolescence qui te rend mélancolique, déprimée comme tu l'expliques et, d'autre part tu te cherches avec tes propres problèmes et ceux de ta famille.

Il y a une chose très importante, c'est que tu essaies de mettre des mots sur ton malaise et c'est très bien. Continue, également ta psychothérapie.

Je ne suis pas ado mais maman d'une fille qui a 16 ans et demi, elle ne parle pas beaucoup de ses angoisses et elle en a... moins maintenant car elle, aussi, prend des antidépresseurs pour cette raison. Maintenant elle dort mieux et réduit ses médicaments.
Est-ce que ton traitement est adapté ? Parles en tu avec ta maman ? Je sais que ce n'est pas nécessairement facile de parler directement avec une personne de sa famille, parfois il vaut mieux s'adresser à une amie ou un ami.

Tu dis que tu es dyslexique, dyscalculique, tiens donc pareil que ma fille, et pourtant je trouve que tu te débrouilles très bien en t'exprimant par écrit. Alors pourquoi te sous-estimer de la sorte ?

As tu des ami(e)s au sein de ton lycée, près de chez toi ? Sors-tu un peu, as-tu des loisirs ?
As-tu un projet d'études pour l'avenir, une profession (je sais pas très facile à l'heure actuelle) ?

Selon quel critère peux tu affirmer que ta petite soeur est handicapée ? Si ton frère est effectivement hyperactif, l'atmosphère familiale ne doit pas toujours être sereine et tes parents peuvent aussi être fatigués et plus ou moins démunis devant ce problème, ce qui peut conduire à des disputes.

Je sais que les disputes des parents sont très difficiles à vivre car j'ai connu ce genre de situation en étant enfant et ado, mais j'avais des activités sportives et autres qui me permettaient de m'évader. C'est bien pour cela que je t'ai posé les questions juste un peu plus haut.

Ta mère voit très certainement que tu n'es pas bien dans ta peau, déjà elle a pris rendez-vous pour toi chez un spécialiste, c'est donc bien parce qu'elle veuille t'aider, ne crois-tu pas ? Maintenant, elle n'arrive peut-être pas non plus à te parler ou elle n'ose peut-être pas, c'est parfois ce que je ressens vis-à-vis de ma fille.

As-tu de gros problème à l'école ? Peut-être es-tu incertaine quant à tes études et de ce fait, tu as l'impression de perdre pied ?

Pourquoi les autes te disent d'arrêter de te mutiler ??? Qu'entends-tu par ces mots ?
Tu dis que tu as des ami(e)s pour passer de bon moments alors que tu dis juste avant que tu es seule ? C'est un peu contradictoire ou alors tu ne te sens pas bien avec eux. Sont-ils réellement à ton écoute et te comprennent-ils vraiment ?

Tu sais entre jeunes, ce n'est pas toujours facile d'écouter et de saisir au bon moment les peines et les angoisses, d'où le fait de te répondre qu'il n'y a pas de raison pour que tu sois ainsi... Vous êtes tous jeunes et vous ne pouvez pas toujours assimiler ce genre de demande et trouver les réponses adéquates, déjà qu'entre adultes c'est parfois aussi difficile !

S'il n'y a personne de ton entourage qui puisse t'aider pour l'instant, tu as très bien fait de t'inscrire ici pour que moi ou une autre personne, puissions te comprendre et te redonner un peu de "gaieté" et de vitalité.

Tu es jeune, sans doute entrain de te chercher et tu as encore de belles années devant toi, il est vrai que la vie n'est et ne sera pas toujours calme et sereine, car elle est semée malheureusement de peines pour tout à chacun, mais ne t'inquiètes pas, tu connaîtras beaucoup de moment de joies dans ta vie.

Il faut apprendre à surmonter tes craintes et te dire que tu es aussi intéressante et aussi "importante" que tout autre jeune fille de ton âge et que tu deviendras une adulte responsable.

Enfin, tu n'as pas du tout était ridicule en écrivant ces lignes qui j'en suis certaine, t'ont plus ou moins ôté un poids qui te serrait le coeur. C'est une très bonne démarche qui tu as fait là.

Je te souhaite une bonne nuit et un bon dimanche et surtout n'hésite pas à venir discuter.

Amicalement
Clair de lune

Je n'ai plus envi de parler aujourd'hui... C'est très bête, mais il y a des jour où je me léve, déjeune, m'habille, et je retourne m'alongué, je ne dort pas, je regard mon plafond. Et je pense. aujourd'hui, j'ai pensé a mon épreuve de bac de demain...

Merci d'avoir accordé un peu de votre temps.

Pour répondre a vos question

Citation :

Est-ce que ton traitement est adapté ? Parles en tu avec ta maman ?

Sa fait 2 semaines que je suis le traitement, je ne vois pas trop de difference, je dort mieu... oui, mais j'ai toujours mes angoisse.

Je ne veux pas que ma mére s'occupe de mes "problème". Quand en février, je suis aller a l'institution, les psy/ infirmier ont envoyé a ma mére une lettre comme quoi j'étais suivie chez eux et qu'ils étaient a sa disposition. Elle m'a juste dit "mais c'est quoi ces connerie ? C'est parce qu'Aline (une amie) y va, que tu dois faire pareil. Tu fait se que tu veux, mais je ne veux pas en entendre parlé."

Puis, il y a deux semaines, un ami a appelé ma mère pour l'alerte que je n'aller pas bien. Elle ma parlé.... puis a pris contact avec cette institution.

Mais, moi, moi, je ne veux pas qu'elle s'en mêle ! JE NE VEUX PAS. Dés qu'elle m'en parle, je lui répond de façon comique avec le sourire, et je lui dit deux trois "blague", je fait comme-si-j'allais-bien.

Je ne veux pas.

Citation :

As tu des ami(e)s au sein de ton lycée, près de chez toi ? Sors-tu un peu, as-tu des loisirs ?
As-tu un projet d'études pour l'avenir, une profession (je sais pas très facile à l'heure actuelle) ?

J'ai des ami(e)s, oui, je les aimes bien, mais ils ne peuvent pas m'aidé, j'ai essayer de leurs parlé... mais c'est un langage de sourd.

Alros, je sort avec eux, je fait la fête, j'amuse la galerie, c'est pour sa qu'il m'aime bien. Mais, moi, je joue un role, physiquement je suis avec eux et "heureuse". Mais psychologiquement, je suis loin d'eux et de leurs délire, et je ne suis pas si heureuse.

Juste un seul ami a réagir (par peur), je lui avais fait des aveux. Il a appelé ma mére. Mais depuis se soir, il ne me parle pas plus que sa.

Avent je dessinais et peignais, mais aujourd'hui, je ne produit plus rien.

Je n'ai pas d'avenir. Je fait un bac L option art plastique. D'après la prof, je ne suis pas dans "la branche qui me convienne"...

L'école n'est pas une partie de plaisir, mais plutôt une pièce de théâtre où j'incarne le rôle de délégué de classe extravertie, souriante, pleine de gaité, ouverte, rigolote...
Mais je doit avoué que cette année, je n'ai pas joué mon rôle jusqu'au bout.

Citation :

Pourquoi les autes te disent d'arrêter de te mutiler ??? Qu'entends-tu par ces mots ?

Je me mutile au cuter, ou ciseau parfois. Et voila qu'en fin d'année, les beau jour revienne, et je ne peux plus gardé mes vêtement manche longues.
En sport surtout. Une camarade ma hurlé dessus en voyant sa...

En se qui concerne ma petite sœur.
Elle a 15 ans, a développé des probléme au oreilles, au pied, au dents, au dos (elle a un corset), une dysgraphie (probléme d'écriture).

Mais voila en plus de tout ça, elle est immature, depuis qu'elle a 10 ans elle n'a pas évolué mentalement, elle joue au poupée, au carte pokémon, regarde des dessins animée, boude quand on lui refuse qqchose, et en extase devant un simple yaourt ou une glace..etc.

Un médecin, a conseiller a ma mère de faire des tests pour voir si elle n'avais pas le syndrome de Cohen (elle présente e symptome physique, visage allongé, lèvre épaisses, doigt long..etc), ma mére a fait les deux premier tests, le QI de ma soeur a a des point de "la débilité". Sachant sa, ma mére a stopé les test, de peur surement de savoir la réalité.

De plus, mes frére et moi, ne savons pas plus de chose sur cet "éventuel" handicape. Le sujet a la maison est CLOS: la sœur est une gamine "normal" avec des retard.... c'est tout.

Pour mon petit frère hyperactif, rien d'aussi exceptionnel. Il est turbulent, est aller consulté un psy. Mais d'après ma mère il va mieux.


Voila pour aujourd'hui, se fait une heure que j'écrie. Je ne sais pas si sa me fait du bien... Mais, je n'ai pas d'autre solution...

Merci a vous deux de bien vouloir lire mon baratin.

Salut,

Je ne sais pas si je vais pouvoir t'aider, je n'ai que 21 ans. Moi je ne suis pas dyslexique, ni dysorthographique et je n'ai pas non plus de dyscalculie. Pourtant je trouve que j'écris mille fois moins bien que toi. J'ai une orthographe déplorable lol.
Alors que je trouve aussi comme claire de lune que tu écris trés bien. Tu t'exprime bien.

Mon frère par contre lui est comme toi de ce point de vue et il est a l'université en psychologie. Si lui a pu le faire toi aussi t'en fait pas.

Pour le reste je ne sais pas vraiment trop quoi te dire mais je voulais te transmettre mes encouragement car tes messages m'on toucher. moi aussi je suis dans une grosse peridode d'incertitude et j'ai pas une grande estime de moi même. J'en ai un peu marre de tout.

Courrage ça ira, il faut bien que ça aille n'est ce pas? On ne peut pas être malheureux toute sa vie. en tout cas je l'espère.

Merci, mais disons que je n'ai pas d'embition pour l'avenir.

J'ai une méséstime de moi même, et ma même ne fait rien pour arangé les choses..

enfin merci

Bonjour,

J'ai lu avec attention tout vos messages. Je ne trouve pas du tout que c'est du baratin ce que vous écrivez, bien au contraire à mon avis. J'espère juste qu'à force d'écrire, cela vous permettra de vous sentir mieux, ne serait-ce qu'un peu.

Concernant votre traitement, comme c'est encore récent, à mon avis, il faut encore attendre un peu avant de bien constater les réels effets qu'il aura sur vous.

Je ne sais pas trop quoi vous conseillez en fait; vous avez des soucis bien difficile à garder pour vous-même, et à mon avis, il faudrait que vous puissiez trouver un exutoire dans quelque chose, comme le sport, la peinture, le dessin, l'écrit... Ce serait juste pour que vous vous sentiez plus libre à l'intérieur de vous afin d'alléger vos souffrances. Bon, ce n'est pas évident, mais avec tout ce que vous avez vécu et vous vivez encore, vous pouvez y arriver.

Bon courage.

voila, me revoilà...

avec biensur des changement, je ne sais pas si c'est mieux, si c'est pire, je m'oblige a penser que je ne tombe pas aussi bas que l'année dernière, mais bien sur, si je viens ici, ce n'ai pas parce que je vois la vie en rose, j'aurai bien aimer dire "tout va bien, j'ai un copain, des bonnes notes, des ami(e)....etc).

Mais j'y ai vraiment crus a un moment, vraiment, j'avais un copain, que j'aimais au fur et a mesure des notre relation, et du jour au lendemain, sans me donner des explications m'a dit: "c'est fini, je ne t'aime plus je suis désolé, j'en ai marre de me forcé a esayer de t'aimer". Au font je me disais bien pour une fois j'allais un peu trop bien, et que j'étais enfin qqun qui rentrai dans la norme du "avoir-copain-a-17-ans"... Oui, vraiment c'était trop beau! Comme si ça ne pouvais pas continuer....

Donc suite a cette ruptur j'ai pleurer, et (c'est trés bête, j'avoue) mais sa m'a fait vraiment du bien de voir, que je pouvais pleurer a cause d'une rupture ! et les filles de ma classe étaient là pour me comprendre, et me soutenir, oui, je crois qu'au font je me sentais bien.

Puis j'ai revue le gars en question, sa a tenu un mois, et là, nous avons officelement cassé il y a 2 semaines.


BREF, la rupture amoureuse, c'est une chose.



La crise d'ado (ou de je ne sais quoi) c'est autre chose.


je ne suis pas triste qu'il m'ai quitté, je suis triste d’être seule. Et de revenir au point de dépare, avec les même angoisse, les même peur, les même idée noir, comme si rien avait évolué. Mais vraiment, je me force a aller bien, a ne PAS PLEURER, a ne pas recommencé, je ne veux plus étre aussi mal qu’avant !!!!

je prend tout les élément de ma vie négatifs, et je les même de cotés, je fais comme si je ne les avait jamais vu (les mauvaises notes, les réflexions déplacé des gens, des mes parents...etc). Ainsi au lycée tout le monde m'aime bien, je suis la bonne copine a qui on se confie, on demande des conseil...etc

Vraiment je suis trés aimer des "mes" ami(e).

Mais comment leure dire qu'en se moment, j'aimerai bien avoir UNE ami(e), comme au primaire, ou même au collége, "une-meilleur-amie-a-la-vie-a-la-mort", a qui je pourrai tout dire, enfin lui confier mes penne...etc.

"Ma meilleur amie", c'est ma psy, mais bon, voila 1h toute les semaines, et je ne peux pas vraiment l'appelé quand sa va mal a 21h par exemple...

Je ne sais pas vraiment pourquoi, ni comment en cette aprés midi de février je vous raconte ça peut étre pour me vide l'esprit et enfin bien dormir, sans faire de rêve étrange.

bien sur, je ne vais pas deballer non plus tout mes probléme cette aprés midi, je n'en ai pas franchement envie....


Je suis vraiment bien dégouter de retombé, mais cette fois, je ne me laisserai plus jamais aller mal comme l'année derniere.

Je ne veux vraiment plus !!

Je ne sais pas non plus se que j'attend de vous, si ce n'ai du reconford, des conseils... je ne sais pas....


plustot banal mes propos.

il y'a un instant dans ton 1er message tu dis "pourquoi ma mere ne vois rien ?"
puis plus loin tu dis " je ne veux pas que ma mere s'occupe de mes problemes"

peux tu expliquer ca ?
c'est tres contradictoire ducou

ca laisse entendre "ma mere ne vois rien , mais quand elle essai de m'aider je refuse son aide"

parce que je pensais qu'elle pouvais m'aider, mais au final elle m'enfonce encore plus et sa lui fait qu mal de savoir que je vais mal.

Noir, une maman qui voit que son enfant ne va pas bien, va mal est normal. La raison, c'est que le rôle premier des parents est censé d'aimer leur enfant, je ne dis pas que ta mère ne t'aime pas, mais il faut savoir qu'il y a des famille ou l'amour que les uns et les autres qui se portent entre eux ne s'expriment pas, sans doute parce que, ce n'est pas facile d'exprimer nos sentiments. Elle voit que tu vas mal, donc, quelque part, elle culpabilise, se demande qu'est-ce qu'elle a fait ou pas fait, mal fait pour que tu en arrives à ce point.
Pleurer... Ce ne sont que des des larmes composés de sels et d'eau. N'hésite pas. Certes, c'est épuisant, mais si ça te fait du bien, alors pleure!
Ta rupture, c'était il y a deux semaines. Laisse toi du temps. Autorise toi à ne pas toujours aller bien. Ca fait partie des choses qu'on apprends et qu'on découvre dans la vie.