[b]Bonjour,
Je viens de devenir membre de votre forum car je recherche une aide, je n'arrive pas à me "guérir" seule.
Pour cela, je vais vous décrire mon problème de A a Z, désoler d'avance pour la longueur de message.
Tout d'abord, lorsque je suis née, mes parents attendaient un petit garçon, malheureusement, je suis une fille. J'ai donc passée mes 14 première années habillée comme un garçon, même comportement, mais très solitaire, je n'avais pas d'amis car je voyais la pitiés des gens face à moi, je préférais donc rester seul dans mon coin. Je me comportais comme un garçon pour faire plaisir à mon père au début, car il ne fallait pas le contredire, j'en avais peur. Il était alcoolique et me battait ma sœur et moi. Vers mes 13 ans, je n'avais qu'une chose en tête, devenir un vrais garçon, mon but de la vie étais de me faire opéré, plus pour mon père, mais car je le voulais vraiment. Dans ma tête, il y avait comme une deuxième moi, que me disait " regarder tes mains, elle sont dégoutantes, tes seins, écrase les, brûle-les" , toutes les partie de mon corps me dégoutait et était sale pour moi.
Ne pouvant rien faire à 13 ans et devant attendre plusieurs années pour devenir un garçon, j'ai voulu essayé de devenir plus féminine par curiosités pour voir la réaction de gens face à moi.
A 14 ans, j'ai réussi à convaincre ma mère de m'acheter un pantalon féminin. Je l'ai mis le jour de ma rentrée en 4 éme et lorsque mon père ma vue, il ma insultée, disant que j'étais habillée comme une prostituée.
J'avais pourtant juste un pantalon de fille, caché par un manteau pour garçon et d'un pull lui aussi pour garçon..
Mon père arrêtait pas de crier que j'allais coucher avec tout le monde, que j'étais une fille comme sa, sauf que non, loin de là et depuis sexuellement je suis comme bloquée, impression d'être une prostituée lorsque je tente quelque chose.
Maintenant, j'ai un nouveau copain avec qui sa commence à aller mieux, c'est déjà sa
Le fait d'être plus féminine ma permis de me socialisée, j'ai réussi à me faire quelque amis, mais seulement des garçon.
J'ai réussi à me convaincre petit à petit que d'être un fille sa pouvait être bien, mais j'ai mis beaucoup de temps, et je suis passée par un stade ou je fessais tout pour être belle, que l'on me regarde, c'étais un besoin, je voulais attirée l'attention sur moi, j'ai réussit à devenir la fille populaire du lycée.
Pendant cette période, je suis sortit avec beaucoup de petit copain, sans allée plus loin que le flirt bisou, texto.
Tout les copains que j'ai eu me reprochait de ne pas allée plus loin, et ne comprenais pas car j'avais une réputation de fille comme sa car je sortait avec beaucoup de garçon.
En voyant que mes copain ne recherchai que sa, qu'il ne voulais pas être avec moi pour moi, je me suis sentir encore plus nul et dégoutante.
La voix me disait que je servais à rien, que jamais je n'y arriverais.
Chez moi personne ne fessais attention à moi, on me disait rarement lorsque l'on mangeai et quand j'arrivais à table, mes sœurs me disait "trop tard" .
Je n'avais pas de lumière dans ma chambre et dormais à même le sol, ma sœur ayant cassée mon lit.
Je m'étais fait un matelas avec des vieux vêtements et comme lumière, j'avais pris la guirlande électrique du sapin de noël.
Pour prendre une douche, je m'étais une bouteille la nuis sous l'arrivée d'eau de l'évier car il y avais une fuite d'eau, je remplissais la bouteille en une nuit et le lendemain, je me douchai avec pour pas me faire engueulée du fait d'utilisée de l'eau.
J'ai fuguée, personne ne sens est rendu compte, je suis revenue 2 jours après.
J'ai donc voulu arrêter de vivre car c'était trop dure.
J'ai pris des médicaments, des xanax aussi, en grande quantités, et je me suis coupée les bras, mais les coupures n'étaient pas profondes, je n'osais pas y aller fort, mais sa saignait beaucoup et c'était impressionnant, je pensait que enfin, j'allais y arrivée.
Seulement non. Je me suis sentit nul, je me le répétait toute les secondes le matin quand j'ai ouvert les yeux.
Je suis partie au lycée sans nettoyé mon bras, sans me préparée et je suis allée voir un copain avec qui sa venais de ce terminer car je ne voulais pas allé plus loin pour le moment, je lui est montrée mon bras et j'ai acceptée qu'il m'amène dans le bureau de la directrice du lycée.
J'étais comme un zombie, j'avançai sens envie, j'étais vide. J'ai acceptée de me faire aidée, je savais que j'allais pas bien, j'en pouvais plus.
On ma orientée en hôpital psychiatrique, ou j'ai passée les deux pire semaine de ma vie.
Je voyais les patients avec des problèmes totalement différent que le mien, je me répétait "je ne suis pas comme eux" mais les infirmière me disait que si.
Je restait enfermée dans ma chambre car ce monde me fessais peur.
Ma mère ma appelée 1 fois pour me dire de pas dire à mon père qu'elle est un peu en faute dans l'histoire et qu'elle m'achèterai un blouson en contre partie, n'ayant plus eu de blouson pour l'hiver depuis mon envie de commencée à être fille.
Ma mère me répétait souvent quelle nous avait fait pour les allocations, quelle comprenais les mères qui tuais leur enfants, que ce quelle voulais elle, c'est un garçon.
J'ai donc rien dit. J'ai fait semblant que tout allais bien pour sortir, que c'était passager , que mes parent me manquais, la vie aussi, c'était dur de dire sa a contre cœur, mais j'ai réussie à sortir.
Bien sur, mon manteau, je ne l'ai pas eue.
Et ma mère m'engueulais de toujours tombée malade..
Revenue au lycée, le secret professionnel qui devait être gardée, à fait le tour de tout les professeurs, et donc des élèves par la suite.
Mon retour n'a pas été très drôle.
" Alors, elle est passée ta période noir?" Ma professeur d'anglais devant la classe.
Elle ma demander ensuite un devoir que j'étais censée faire, mais n'ayant pas le droit à de la visite ou même une feuille à l'hôpital, je ne savait pas.
Elle sais moquée de moi, et m'a mis un zéro en souriant alors quelle savait tout...
Et j'ai dit pour la première fois de ma vie, quelque chose de méchant, enfin plutôt arrogant,
"Aller-y je vous en pris, je m'en fous complètement."
C'était la personne méchante en moi qui à surgit, normalement, je me serais mise à pleurée.
Le rapport avec mes amis allais de plus en plus mal car ayant pris beaucoup de médicaments, j'ai comme oublier le nom des gens, même qui ils étaient...
Ma mémoire est d'ailleurs défaillante depuis ce jour.
Par la suite, j'ai réussit à trouvée un copain, j'ai trouvée quelqu'un de timide, c'était parfais pour moi.
J'ai enfin réussit à sauté le pas avec lui, ayant peur qu'il me laisse après, mais il ne la pas fait, je suis restée 3 ans et demis avec, mais j'étaie mal.
La voix me répétais que j'étais un prostituée dès que je fessais quelque chose, je n'avais donc aucun plaisir, et pleurais presque tout le temps.
A cette époque, mes parents c'était enfin séparés, et ma mère en a profité pour avoir une deuxième jeunesse et c'est prostituée, je la prenais en photo déshabillé sans rien dire, et elle pensait que je la comprenais, elle c'est donc mise à plus m'aimer, pourtant, je détestait ce quelle était devenue.
Elle ne s'occupait plus de ses enfants, moi je me débrouillait seul, depuis longtemps, mais elle à eue 6 enfants et les derniers, des triplées qui avait 10 ans.
Je m'occupais donc d'eux après mes cours, je fessais à manger, aidait pour leur devoir et les couchait.
Ma mère gardait à manger dans sa chambre, dans le frigo il n'y avais presque rien, c'était pâte tout les soirs et interdiction de ce servir 2 fois.
Petit à petit je restais cher mon copain , avec ses parents, qui ont été comme des vrais parents. Il ne tapais pas sur leur enfants car ils avais pas fait la vaisselle correctement , il était normaux mais pas pour moi.
Dans ma tête des qu'une des petites sœur fessait un caprice, je comprenais pas, moi mon père m'aurais limite jeté par la fenêtre si un jour j'avais osée faire un caprice.
Il y avait encore cette voix "pourquoi il la tape pas? et si il la balance de la chaise, qu'es ce que sa ferais?"
Tout les jours cette voix était présente, et pourtant je ne suis pas méchante, pour rien au monde je voudrais faire du mal
Ayant le droits de mangée dans ma belle famille, j'ai pris 20 Kg en 2 ans..
Je ne pensais qu'à manger.
Un été je me suis prise en main, et je me suis dit stop.
J'ai tout perdu en 3 mois et je suis revenu sur mon poids normal.
Mon copain ne voulais pas que je m'aigrisse, pour lui c'était comme une assurance couple, il m'avait connu en fille populaire et n'acceptait pas que quelqu'un me regarde.
Il fessai la tête dès que je me maquillait, je restait donc cheveux attachée, démaquillée et habillée en large.
Mon copain a pas accepter, et notre histoire c'est terminée, j'avais un appartement avec lui, ma mère me répétant tout les jour " c'est quand que tu t'en vas?"
Je n'avais pas d'argent, c'était ses parent qui payais le loyée.
Malgré sa, j'ai voulu continuée mes cours, j'étais la première du lycée, étant donnée que je ne pouvais jamais sortir, pour moi le lycée, c'était le paradis.
Les professeur me prenais en exemple pour les nouveau élèves, j'étais bien..
Sauf qu'à un moment, il faillais bien que je travaille à côté, je ne pouvait pas vire indéfiniment avec mon ex qui me menaçait tout les jour de me mètre à la porte.
J'ai donc commencer à faire de la couture pour une jeune créatrice, 2€ par heure.
Parfois je travaillait la nuits et j'allais en cour sans avoir dormis.
Sa n'a pu durée que quelque semaine, je me suis rendu compte que avec 2€ par heure, j'arriverais à rien, j'ai donc arrêter les cours et fait plus d'heure.
Je me suis trouvée un nouveau copain, qui ma fait devenir fumeuse, je buvait presque tout les soirs et fumais des joints.
Sa me permétait de m'évader un petit moment.
Mais je devenais pas ce que je voulais devenir, je me suis déçu encore et toujours.
La nuits du 31 décembre, j'ai organisée une soirée dans l'appartement,mon ex n'était pas là.
A 1h, je me suis enfermée, et coupée cette fois ci, profond pour après m'enfuir.
Le lendemain, je suis allée à l'hôpital car mes bras saignait toujours et c'était très moche.
On ma recousu ce qui était encore possible, mes parents n'ont rien su je ne voulais pas.
J'ai changée et rechangée de copain tout les 3 mois, à chaque fois j'allais vivre chez eux, n'ayant aucun endroit ou allée.
J'étais serviable, je disait oui à tout, mais il en fallait toujours plus et a la fin ils voulais me frappée.
Je pense que c'est le fait de vouloir être parfaite, de dire oui tout le temps qui les ont rendu comme sa.
Alors qu'au fond de moi, j'aurais aimée dire non à certaine chose, sauf que dire non pour moi c'est méchant, c'est comme si je laissait sortir la deuxième moi.
Pour évacuer mes souffrances, j'ai commencer à me noyer dans l'alcool.
Mais pas tout les jours, juste pendant des soirées, même si seul, j'en avait envie mais pour moi je serais devenue alcoolique, comme mon père.
Sous l'alcool, je ne suis plus moi.
Il y a le stade jusqu'à trois verre ou je suis bien, j'arrive à parler à tout le monde, même à sourire volontairement.
Puis le 4ème verre, ou tout commence à plus allée.
Mes fantômes du passé qui remonte, mes petits copains qui me dise de me calmée et moi je les insultes.. Pourtant il sont pas méchant mais je devient hystérique, je pousse tout le monde et a chaque fois, je termine en m'enfuillant peur que l'on veuille me frappée.
Mon copain actuelle est pour moi la personne qui faillais que je trouve, sauf que je détruit tout involontairement.
Il avait remarqué mon comportement avec l'alcool et il y a 6 mois, il m'a dit que si sa ce repassait, sa serait terminée.
Depuis j'ai donc décidée de boire 3 verres et stoppée.
Sa ce passait mieux, pas à merveille mais mieux, je ne devenais pas hystérique, mais je pleurais dans mon coin a vouloir que personne ne m'approche, croyant comme toujours, qu'il voulais me faire du mal.
Ce week end, je suis allée en soirée. On sort maximum 1 fois par moi par ma faute.
J'ai bu mes 3 verres. Et quelqu'un est venu me proposée un exta.
J'ai toujours réussit à dire non, mais la je me suis laissée influencée, je voulais en profité, je ne sort pas la semaine, je travaille à mon compte , cher moi, je ne peu pas bougée, il faut faire le ménage et mon copain et ma colocataire travaille à l'extérieur donc ne peuvent rien faire.
Je suis obligée entre autre, de toujours rangée, nettoyée faire a mangée tout les soirs, ... J'ai pas de vie.
J'ai donc accepter l'exta sans même prendre la peine de regarder le personne qui me la donnée.
1 cachet était sensé rien me faire, et pourtant..
La deuxième moi est sortie, j'ai insulté mon copain devant tout le monde, je l'ai ridiculisée en criant ses problèmes en me moquant, pour ensuite m'enfuir.
Mon copain me suivait , c'était comme un film d'horreur j'étais effrayé, je l'entendait crier, me menacer.
Je courait de toute mes force dans la boue, je me suis écorché les jambes un peu partout, pour moi j'étais face à un danger et sa me rappelait quand mon père me courait après pour me frappée.
Mon copain ma filmée cette fois ci et m'a montrée hier les vidéos.
Il me suivait en me disant calmement des choses gentille, rien de méchant.
Je ne comprend pas comment j'ai pu tout inventée..
Mon copain a acceptée de rester, mais je sais très bien que si cela ce repasse, je l'aurai perdu, et moi avec.
Lorsque j'ai bu, une remarque suffit pour que je devienne hystérique. On peu rien me dire je le prend comme un affront, et je ne comprend pas pourquoi d'un coup, je ne suis plus moi et que je crois que tout les gens autour de moi me veulent du mal.
Je sais que si j'arrête totalement l'alcool, un jour je vais craquée. Le fait de savoir que je n'ai pas le droit de boire même 1 verre alors que tout le monde si, je ne pourrais pas le supportée.
Je voudrais qu'on est confiance en moi, a chaque fois on me surveille, je peu même pas allée au toilette sans être accompagné car mon copain a peur que je le trompe.
Je pense que si on me donne entière confiance, j'arriverais à me restreindre, mais on me répète "boit pas trop" "tétait où" "t'en est à combien de verres"
Et la deuxième moi me dit de profiter de pas les écoutées, et je devient elle.
Et j'ai peur de cette fille, je la sens en moi.
Je voudrait pour rien au monde devenir comme mon père était et comme ma mère es, mais l'autre moi est comme sa...
Si je laisse parler un peu l'autre moi peut être quelle me laissera tranquille?
C'est peut être une partie de moi que je n'assume pas?
Ma grande sœur est méchante et nous frappais tout le temps, mais au moins, elle est qu'une personne.
J'ai essayé d'en parler à mon copain et à ma colocataire, leur réaction était "mais non tes bête" "je savais que tétait bizarre comme fille"
Aider moi c'est mon dernier recourt ...