Une nuit d’été
Une brise de liberté
Gentiment
Et venu lui chatouiller la pointe de ses pieds
La main levé
Les yeux rêveurs
Scrutant les étoiles
Tel un penseur
Ce plafond infini
On dirait une toile
Un chef d’œuvre
Une sensation
Mais qui nous sommes ?
Le reflet d’une étoile
L’amène à cette question
La raison, vif tel un papillon
Nous retiens cadenassée dans notre propre prison
Ces chaînes, qui nous lies
Ces empreintes, qui nous blesses
Il veut renouer des liens
Avec ce mot
l’Allégresse
Assis sur un rocher
Qui a du vivre des milliers d’années
L’érosion de la mer La façonné
Lui donnant cette impression de murmurer
Il laisse allé ces sens, et
Traversé de frissons
Un petit pull n’était pas de saison
Il se lève
Gonfle ses poumons
De cet air sans poisons
Ouvre ses bras
Les tends avec passions
Au Devant cette horizon
Tant de mot, tant de phrases
Tant de vers faisant allusions au large
Les réponses dans la brume
Sont aussi visibles que l’espoir enfouie sous les dunes
A cette enfant, que la peur enivre
Lui qui aimerait simplement vivre
Il est grand temps que la colombe qu'il convoite Arrive
Surplomber le K.O dans son cœur
Y mettre de grand battement de bonheur
Y repousser les plus horribles horreurs
Effacer, tout ce malheur
Redonner souffle et envie
Voila qu’il se retourne dans son lit
Sueur, sur le front
Il attend une révélation
Un vent froid s’abat
Il mélange ces cauchemars à ces rêves brisés
Tout devient flou
Tout devient Noir
Le réveil indiquait sur le reflet du miroir
Quatre heure moins le quart !