Bonjour à tous !

Depuis maintenant quelques mois (4-5), j'ai l'impression d'être mal... Je sais pas comment expliquer, c'est assez difficile de l'exprimer...
J'ai l'impression que toute joie de vivre m'a quitté, mon humeur est en dents de scie, un coup ça va, et l'autre d'après, jme sens mal, très mal, c'est-à-dire que je me sens inutile, j'ai l'impression d'être unepauvre petite fille gâtée qui ne cesse de se plaindre et de rechercher l'attention de quelqu'un...
Je me sentais tellement perdue que j'ai commencé à consulter une psychologue (fort sympathique ^^), j'arrive à parler de ce qui ne va pas,mais en superficiel...
Je n'arrive pas à parler de moi...
Je sais c'est bizare... mais quand j'arrive devant elle, je n'ai plus grand chose à lui dire, j'ai l'impression que tout va bien en fait et que c'est moi qui pour une quelconque raison me monte le chou...

En fait, j'ai des maux de tête, pas des migraines, mais des douleurs ponctuelles, ou comme des fourmis, j'ai fait des examens, RAS...
L'année dernière, je meplaignais de douleurs dans la poitrine, j'ai fait une batterie d'exam RAS mise à part, un important stress...

Cela fait 2 ans maintenant que je suis revenue chez moi. J'ai fait 7 ans d'internat, je ne rentrais que le WE, ou même pas du tout. J'ai adorémes années d'internat, jem'entendais bien avec tout le monde, je n'ai jamais eu de problèmes particuliers... C'est moi qui ai choisi d'ailleurs de rester en internat jusqu'à lafin du premier cycle (terminale quoi!). Puis je suis revenue chez moi, où il y a d'importantes tensions, j'entretiens une relations trèèèèès tendue avec ma mère (60 ans) qui est très dureà vivre, elle ne cesse de crier, d'insulter mon père, elle se compare à moi ('fin pour résumer, elle doit se faire soigner !) et avecmon père, c'est tranquille, il est dans sa bulle, ne m'écoute pas trop, ou plutôt m'écoute pour s'écouter lui-même après... C'est un peu incompréhensible,je sais :/

Bref, je me retrouve chez moi, toute seule (je n'aiplus mes amis avecmoi comme avant, nous sommes tous éclatés en île de france !), j'ai des amis de la fac, mais je me sens à part, ce n'est pas les mêmes relations que j'avais avec ceux de l'internat (c'est normal, je sais aussi )
Je n'ai pas de petit ami, je crois que cela me pèse énormément aussi, pourtant j'ai des possibilités, mais je n'arrive pas à me laisser aller... Peut être un manque de confiance en moi, je ne sais pas... Je me demande plutôt si je n'ai pas un blocage...

Tout ça commence à m'énerver et m'épuiser, je ne sais plus quoi penser... Je fais tout pour aller mieux, je travaille et ai de bonnes notes cette année (fac de bio), je vais passer des concours paramédicaux, j'ai un p'tit job, j'ai pu me payer mon code, j'ai des amis... et pourtant, j'ai toujours ce malaise, et ces maux de tête... Jme sens perdue, c'est horrible...

Le cor émet souvent des douleurs physique pour exprimer les douleurs interne, apret es-que c'est ton cas je ne sais pas je suis pas médecin, c'est une hypotése on va dire.
Et pour t'es parent je pence que peut-être ci tu essailler de te rapprocher de ton père qui a l'aire de se foutre de tout sofe de lui ( j'ai crue comprendre ) mais tu es quand même sa fille et sa irée un peu mieux cher toi, ou bien tu pète un gros câble pire que t'as mère en lui disen c 4 vairités, ou tu apprend a ignoré la situation que tu vie a la maison, ce qui sauré difficile je le pence bien.
Pour se qui concerne tes amie c'est vrai que la distance peux poser problème, mais avec la technologie d'aujourd'hui il t'es possible de communiquer un peux quand tu le souhaite avec eux.
Et pourquoi ne pas essayer de recrée des lien un peux plus fort avec se de t'as fac? je pence bien que tu a due essayer plus ou moins, et que sa n'est pas forcément simple, mais il y a toujours possibilités de s'ouvrir d'avantage au autre, et bien sur de préférence a des personne seine et simpatique.
dsl si ce que j'ai pue dir ne ser pas a grand chose, mais j'échange mon point de vue =).
Et t'en fait ses pas par se que en globalité tout a l'aire d'aller bien que tu ne doit pas te sentir male sa arrive souvent.

Justement, j'ai beaucoup de mal à concevoir qu'on puisse avoir mal aussi souvent, même quand on essait d'arranger les choses, pourquoi est ce que mon humeur ne cesse de sauter ainsi ?
C'est très pénible, ça me fatigue nerveusement... Rien de pire que la douleur physique pour exprimer un mal être...

Je reste en contact avec mes amis de l'internat, mais je n'ai pas leur présence aussi souvent qu'avant, de plus la plupart sont en médecine, donc plus trop le temps de se voir, j'ai donc renouer avec des amis de primaire, mes amis de la fac, ils nous arrivent de manger ensemble, d'aller au ciné, récemment une est même venue dormir à la maison...
Je comprends pas pourquoi je ne retrouve plus ma joie de vivre...

par se que tu as un vide en toi, tu cherche un bonneur inégsisten pour le moment et tu ne sais pas se que ces tu le cherche en te comparent aux autre, mais tout le monde n'est pas pareille, esqu'il seurais affdectife? ou autre chose n'as tu pas une idée?

Je commence à penser que c'est affectif, dans ma famille on a jamais vraiment été très démonstratif, et je pense que c'est cela qui me manque sans que je veuille l'admettre, ça serait accepter quelque chose de terrible pour moi :/

Pourtant j'essaie de profiter de chaque instant sans penseràchercher quelque chose, mais ce que tu me dis est vraiment interressant, je n'y avais pas songé...

pour quoi sa seurait dur d'acsépter se manke ?

Preuve de faiblesse, c'est pas flatteur de manquer d'affection :/

Bonjour SoizOn,
J’ai vécu des trucs qui s’apparentent un peu à ce que tu exprimes… le mal à l’âme est très difficile à définir et à gérer. J’ai souvent eu la sensation de me plaindre pour rien… parce que j’avais plein de belles choses autour de moi, pourtant, je ressentais un vide douloureux dans la poitrine, et je faisais des migraines régulièrement.
J’ai rencontré des psychologues, les premières fois, je me présentais en pleine forme… je me demandais ce que je venais y faire. J’avais l’impression de ne pas en avoir le besoin… j’en étais mal à l'aise. Quand je me retrouvais chez moi, la neutralité revenait et ensuite le sentiment de lourdeur… puis la déprime.
À force, j’ai fini par déterrer des émotions que j’avais occultées au fil du temps… j’ai réussi à m’ouvrir un peu… j’ai commencé à me permettre de pleurer… j’ai compris certaines raisons de mes problèmes de dépression.
C’est certain, je ne m’en suis pas encore sorti… sinon je ne serais pas ici, je suppose. Mes démarches ont débuté bien plus tard… j’avais environ 35 ans. Je crois que mes maux étaient profondément encastrés, loin à l’intérieur. Mais j’ai changé, je suis un meilleur humain et malgré mes états d’âme chancelants, je sais que je trouverai un bonheur de vivre…

Je voulais te dire que tu n’es pas seule avec ce genre de situation… que tu es simplement une humaine avec des malaises souvent hérités de tes racines, peut-être depuis des générations.
Je t’encourage à écrire... plusieurs qui sont passés par là me l’ont suggéré, il y a une sorte de soulagement à partager nos maux et à avoir l’impression d’être compris.

Je te souhaite de cheminer et d’atteindre le bonheur…

Claude

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Nan je trouve juste sa normale qu'il y est un manke affectife si ils sont pas trés démonstratiffe de leurs affection vi a vi de toi, et je ne vois pas pour quoi tu devré considéré sa comme une faiblaisse, je ne te juge pas mais je cherche a te comprendre pourquoi nessaye tu pas de te raprocher deux d'une fasson quelconque?

C'est impossible, je sais pas comment l'expliquer, mais c'est trop tard,il fallait qu'ils le fassent avant, qu'ils s'imposent en figure aimantes, maintenant j'ai grandi et je ne souhaite pas recevoir leur amour (je sais c'est stupide )
Je cherche l'affection ailleurs, d'où une singulière importance de mes relations amicales,je pense... (c'est hallucinant, je vois et comprends ma situation, j'arrive à prendre du recul et pourtant j'arrive pas à me sentir mieux !!)


Merci Claude (et Midona) pour vos réponses
Je voudrais savoir Claude, tes migraines ont elles finis par partir?

c'est souvent comme sa quand on expose ses difficulter à un monde exterieure, on arrive plus ou moins a au moins en comprendre les reson, mais l'incontion et le contient sont deux chose proche mais elloignet, il te fodra du temps pour te fair passer les chose rassionelle et le pourquoi du comment a ton toi interieur ( l'inconsient ) et ces quand se seura fait que tu te sentira soulager =).

Haaaaaaaa c'est ce qu'on me répète, tu dois laisser du temps, quand j'avais mes douleurs dans lapoitrine, elles ont fini par cesser quand le stress et l'angoisse sont partis, et que je me suis mis en tête que non je n'allais pas mourir et que ce n'était que psy...
Maintenant c'est à la tête, ça me rend folle, j'ai l'impression de ne plus pouvoir réfléchir, d'avoir la tête vide, rien à penser, que mon imagination est en grève... Je tourne en rond dessus, je cherche pourquoi je ressens ça, qu'est ce qui peut provoquer ça... C'est super pénible en fait !

Bonjour SoizOn,
J’ai des migraines à l’occasion… je crois qu’elles sont reliées en partie à tout ce que j’ingurgite en excès pour essayer de mettre un baume sur la douleur de l’âme.
Je ne trouve pas ça stupide… je n’ai pas reçu d’affection de la part de mes parents. Jamais de « je t’aime », jamais de câlins, jamais de félicitations… rien. J’ai fini par croire qu’ils ne m’aimaient pas, j’ai fini par ne plus chercher leur amour… ne plus en vouloir.

Aujourd’hui, à force de psychothérapies, de recherches, d’introspections, et cetera… je sais que leur amour était bien existant et qu’il n’était pas en cause. Pour un tas de raisons, ils étaient incapables de l’exprimer… un peu comme ils n’ont jamais été capables de m’expliquer la sexualité… tout était sujet à des tabous, souvent d’origine religieuse.

J’ai encore beaucoup de difficulté à exprimer mon amour… je dois faire des efforts pour dire je t’aime à mes enfants… si tu savais combien je les aime! Heureusement, j’ai réussi à leur parler de ma dépression, et leur expliquer les blocages qui m’ont été transmis. Je crois que j’ai commencé à briser la chaîne… ils auront peut-être la chance de pouvoir dire « je t’aime » à leurs enfants.

Je crois qu’il n’est jamais trop tard… je comprends que tu penses le contraire.
À ton âge, c’est normal que tu recherches ailleurs… si je me fie à ma situation, j’ai deux enfants un peu plus vieux que toi… nous avons une belle relation, mais leur vie se passe beaucoup ailleurs.

Tu es consciente, tu fais des démarches… tu es bien en avance par rapport à la majorité des gens. Ne lâche pas… la vie est devant.

Claude

Le strèsse, les question, l'incompréhension, ou encor d'autre chose peuvent en être responsable il faut essayer de comprendre les chose de les analiser une par une et de dénouer tout les petit souci qui au finnale en font un gros.
essaye de te consentré sur les chose positive de tas vie en te disent que tu est jeune et que rien n'est jamés sertin que tout change a cour ou long terme, et surtout que la vie et devent toi =).

Merci pour vos réponses ! Ca me rassure quelque part de voir que je ne suis pas seule dans ce genre de situation...
J'avais l'impression d'être une pôv fille qui se plaint alors qu'elle a tout pour bien aller...
Claude, ta situation a quand même évolué,oui ça a pris du temps mais ça commence à venir, c'est plutôt bien et même encourageant !
Midona,c'est gentil de me rappeller ce que j'oublie très souvent, me concentrer sur les choses positives de ma vie, elles sont là, elles existent, je dois en profiter,plutôt que de demander toujours plus !
Et que de toute façon, tout ne peut qu'aller en s'améliorant, ça fait partie de l'évolution des ados héhé... Un peu dure parfois quand même...

Vous arrive-t-il de n'avoir rien à penser, rien à imaginer, comme si vous étiez vide ?
Il m'arrive de me réveiller dans cet état d'esprit et j'essaie de gérer en me disant que ce n'est que passager, mais ça dure... arrrrrrrrrrgh ça m'énerve

Moi se qui m'arrive quand j'aprent quelque chose de frustran et au quel je ne peux rien y faire, je me sent comme deven un vide sen pouvoir avencer ni reculer, et sa donne envi de rien faire..

esque ces cette sensation se dont tu parle ?

Plus ou moins...
La sensation de ne rien pouvoir faire, parcequ'il n'a rien à faire... Beurk, j'aime pas ça :p
Et cette tendance à ne vouloir rien faire parceque pas de motivation...C'est très très frustrant, surtout quand on est de nature dynamique...
Tu fais quoi pour que ça passe ?

je vais voir ma meilleure amie jregarde des filmes amusent j'écoute de la musique qui va contre la movaise humeur, ou bien ken vrémen jarrive pas a ètre motivé du tout je dor..

Je fais pareil
Sauf pour le dodo, c'est pire, jme sens encore plus mal après !
Je suis obligée de m'occuper , faut toujours que j'ai quelque chose à faire !Sinon je commence à me poser trop de questions...
En fait,je crois que le manque de luminosité en hiver a une trèèèès mauvaise influence sur moi

c possible les gens ont bocoups moin la forme en hiver que le reste du temps en générale :s.

Le vide… je connais bien! Je me sens très souvent vide, je ne pense à rien, je n’ai aucune motivation, je n’ai que cette lourdeur à la poitrine. Comme si elle prenait tout de moi.

Ce n’est pas simple à gérer, on se sent mal et on a l’impression d’être coincé dans cet état…
Parfois ça dure toute la journée… et même plus longtemps! Comme tu dis… « arrrrrrrrrrgh ça m'énerve ».

Pour que ça passe… si je réussis à me bouger, je vais marcher avec mon chien. Souvent, ça fonctionne!

Bon… je n’avais pas de grandes révélations à te faire, je voulais au moins te répondre!


J’aime bien ta façon d’écrire… j’aime bien quand tu me parles

Je marche aussi, beaucoup... j'ai tué 4 paires de chaussures depuis le début de l'année... C'est une manière de s'occuper, et quelquepart de voir d'autres personnes... Généralement,j'essaie de les comprendre en les regardant, de voir si ces personnes sont heureuses, amoureuses, tristes, j'essaie de déterminer leur humeur... C'est bête, mais ça occupe un peu

J'essaie de fixer un objectif par jour, de faire quelque chose de positif pour moi... Lire un livreen anglais pour me perfectionner, aller au code, de me dire que oui j'ai un coeur et que c'est juste une mauvaise passe...

Enfin j'essaie de me mettre dans un état "d'imbécile heureuse"qui s'émerveilledevant des choses toutes simples...

Tu as une attitude enviable… je vais essayer de t’imiter, au moins quelque chose de positif à chaque jour.

C’est drôle, j’observe aussi les gens quand je marche dans la rue ou au centre commercial… il y a beaucoup de gens préoccupés… d’autres qui semblent transporter des tonnes de douleurs… je me dis que je ne suis pas si pire.

Aujourd’hui, avec mon fils Alex nous avons piqueniqué sur la neige dans un petit boisé près de chez nous… des sandwiches « toastés » sur un petit feu de camp. Nous avons glissé sur la pente qui mène à la rivière… il a fait très beau. J’ai pensé que j’étais privilégié… que je devais chercher la vie dans ces moments! Quand il est avec moi, je me sens toujours bien mieux… quand il part, je redescends. C’était la même chose quand mes deux autres étaient plus jeunes.

Merci pour tes bons trucs… pour les imbéciles heureux!

Claude

Bonjour !

En fait, l'humeur que l'on voit chez les gens dépend aussi de notre humeur. Enfin, quand je me sens pousser des ailes pour X ou Y raisons, je vois dés lors chez eux les bonheurs qu'ils ont pu vivre et quelles sortes de bonheur semble leur convenir...

Bref, aujourd'hui je sais pas trop comment je me sens, bien ou non , j'ai un léger mal de tête mais je pense qu'il passerait s'il faisait beau

J'ai l'impression d'être une gamine stupide qui agit par impulsions, sans réfléchir, pourtant on me dit que non... Je me prends la tête sur mes envies, mes désirs... et aussi sur un mec :p

Aaaaargh c'est horrible, je sais pas comment expliquer, sûrement parcequ'il n'y a rien à dire...
Je supporte à nouveau ma mère, je focalise moins dessus c'est déjà ça, je l'ignore... comme toujours... elle m'insupporte,mesfrères me disent que j'abuse qu'elle essaie d'être gentille... ok, mais ce n'est pas de la gentillesse spontannée, elle prend ce ton doucereux et mieleux si peu naturel, jle sens, je le rejette, j'en veux pas !!
Et je n'ai même pas honte :/


....

Bonjour SoizOn,

Je crois que ta mère fait des efforts… même si ce n’est pas naturel, c’est un signe de bonne volonté. Peut-être essaie-t-elle de briser une chaîne qui retient justement son amour vrai… pour toi.

Ici, je parle en connaissance de cause… je suis maladroit avec les émotions et les sentiments, j’ai l’air d’un comédien lorsque je veux les exprimer. Pourtant, ils sont bien là, quelques parts en moi… à force de, je prends de l’assurance… je tends vers mon naturel, je suppose.

Il y a certainement quelque chose à dire… et c’est bien de le faire.

Je souhaite qu’il fasse beau…