Je viens de trouver ce site en mettant en recherche google suicide sans douleur, je pense qu'en realité le seul moyen de reussir son suicide c'est de souffrir vraiment, parce que dans le fond c'est le seul moyen de s'apercevoir qu'il y a des douleur plus difficile a supporter encore que tout ce que l'on a pu vivre, et si on ne ressens même pas cette douleur, c'est qu'on a bien fait de mourir.
Je sais même pas pourquoi j'ai taper cela, peut-être parce que de tout ce que j'ai tenté rien a marché mais c'était pas dans le passé tant la mort qui m'attirait mais plutot les sensations d'ivresse quand on atteint les limites, c'était comme un jeu, aujourd'hui, j'ai beau n'avoir que 18ans, je ne vois pas d'issus, ni d'échapatoire, je sais que je suis capable d'un tas de choses mais je n'ai pas la force d'assumer que cela vient de moi. Et j'ai l'impression que quoi que je fasse, je n'atteindrais jamais le bout comme ma mère me le rapel souvent, je n'en ai jamais été capable, je cesse juste a la limite, comme pour la mort, mais parfois je regrette que la balance n'est pas basculer, j'ai l'impression de n'être rien d'autre qu'un défouloir pour les hommes même mes meilleurs amis s'y mette et ne pouvant plus rien ressentir, ayant la capacité d'oublier mon corps je les laisse faire je ne dis pas non et ça continue encore et encore depuis 8ans, imaginez donc combien je suis sale. Je peux pas vivre comme ça je ne mérite que les enfers qui est aussi la cons"quence au suicide donc je n'en ai plu tant peur je sais pas franchement pk je laisse ces messages, j'ai peut-être simplement envie de faire un coucou, avant d'y arriver si je puis dire ou simplement besoin d'être rassuré puisque cela fait aussi 8 ans que mes parents me haissent j'aurais encore préféré qu'ils m'ignorent et tout cela n'est rien a coté du reste... oui j'ai besoin d'aide mais pas la force d'assumer le fait d'aller voir un psy ou peut-être juste pas l'envie de s'en sortir

Le pire c'est que je sais trés bien comment faire quel dose prendre et de koi, et comme j'ai de grosses allergies j'ai même des serignue et compagnie je sais ou me porcurer de la drogue mais pour mourir je sais aussi que de l'air suffit

Bonjour,

oui comme vous l'avez vous meme evoqué, vous avez besoin d'une aide professionnelle au plus proche de vous. Et puis il est sans doute plus facil d'assumer d'aller voir un psychologue plutot que d'assumeer son acte suicidaire.

A ce propos, vous semblait etre plongé dans une depression grandissante. Je ne pense pas que vos parents vous haissent, bien au contraire, ils sont sans doute meurtris d'angoisse à votre sujet. Pourtant nos parents sont imparfait, ils ne sont jamais comme on les souhaiterait. C'est normale, ca fait aussi parti de l'adolescence que d'etre plonger dans ces contradiction. Mais il est tres grave de vouloir en finir avec la vie pour cela, et il s'agit là de l'ultime souffrance en tant que vivant que de vouloir en finir avec la vie et sombrer dans un nihilisme totale.

Je vous encourage à vous exprimer ici, utiliser ce lieu comme une soupape.
Sachez aussi qu'il est normal d'eprouver de la colère et de la haine envers des proches qu'on aime pourtant, c'est souvent ce sentiment à double tranchant qui peuvent conduire la culpabilité jusqu'a se dire qu'on est pas aimer et qu'il faudrait mieux en finir. Pourtant je vous assure, en depit de vos différents, ils ne vous haissent certainement pas.

Courage

Le problème c'est que je ne sais pas pourquoi mon père ne veut plus entendre aprler de moi depuis huit ans et ma mère passe sa vie a me virer je ne fais rien pour pourtant , je ne les ai jamais frappé ou insulté just parfois fais remarqué a ma mère qu'elle levait la voix pour rien mais ce n'est pas tant mes parents mon problème, c'est mno rapport aux garçons et a ma vie sexuelle ce qui peut vous parraitre étrange, exemple, j'ai demandé a mes amis cet aprés-midi( plutot mes amants, je n'ai pas vraiment d'amis) s'il valait mieux que je devienne actrice porno ou que je parte dans les ordre.
Un acte suicidaire n'est plus à assumer si l'acte est reussi.
La première fois j'avais dix ans , je croayis qu'on faisait encore les bb en s'embrassant sur la bouche, c'était un des grnads de mon quartier en qui j'avais confiance, pourtant avant, je pouvais lui parler, lui raconter ce qu'il se passait chez moi et il me rassurait ce qui me permettait de tenir ... mais il me tripotait et je ne faisais pas attention, jusko jour ou il m'a emmené dan sa chambre chez lui ses mots je m'en souviendrais toute ma vie: " une fille c'est comme un diesel, une fois qu'on la démarré, elle est parti" et a la fin comme je versé trop de larme a son gout il m'a dit :"ne t'en fais pas ensuite ce sera comme une drogue" l'époque ou je devais découvrir mno corps on l'a appris a ma place. Et il valait mieux que ce soit le cas, aprés c'est devenu constant un chantage, t'as interet a faire ce qu'on te demande ou sinon tu verras on mettera la maison en pièce ( a ma mère n'était jamais la )

Il s'agit là d'une experience bien traumatisante...

Vous savez que vous pouvez toujours porter plainte pour cette violence dont vous avez été victime? Les choses doivent etre dites et reconnus par la loi, afin de vous permettre de vous reconstruire.

Je vous donnes ici quelques piste que vous pourriez explorer avec un thérapeute, mais il me semble fort que vous mutilez ce corps pour exorciser ce trauma initiale, mais également afin de le rendre existant à votre mère (qui n'etait pas présente à ce moment là, et donc qui ne l'a pas vu).

Vous etes une femmes, et comme nous toute vous avez le droit au respect et à la protection. Avoir des partenaire multiple est une maniere de se mettre en danger...je ne veux pas paraitre rabajoie, mais j'espere que vous vous proteger.

Ne faites rien d'excessif, le porno et les ordres sont les stric opposé...ici il serait plutot question de retrouver un equilibre qu'on ne vous a pas permis de trouver. Trouver l'equilibre, c'est s'acheminer vers un juste milieu de la vie d'une femme qui respecte son corps mais qui peu en jouir. Donc sans l'exposer (porno), sans le soumettre au danger (les partenaires multiples) mais également sans le stigmatiser sous l'opprobe de la religion.

Vous hesiter enntre livrer ce corps qui vous a trahi, ou l'interdire a tout jamais de la jouissance des hommes et de la votre sous la protection d'un père commun (dieu)... Il y a a construire votre voie a vous qui sera aucune de celles-ci.

Courage

L'équilibre, trouver un équilibre...

Mais où y en a-t-il un quelque part dans notre monde ?
Le monde n'est qu'une gigantesque construction de déséquilibres...

L'homme, (l'humain, pour être plus général), dans toute sa splendeur, est un déséquilibré chronique.

Quel exemple de son histoire faut-il retenir ? (les années 40, les khmers rouge, les horreurs de Tomás de Torquemada, etc, etc, etc, etc, etc, etc, etc, etc...

Qu'y a-t-il de bon dans ce monde ?
....à part la nature....on la détruit....
....à part les animaux...on les mange...

Je suis désolé de tenir ce genre de langage de déséquilibré, mais voilà, c tout....

En terme d'équilibre il ne faut pas rechercher la perfection, mais un continuel réaménagement de soit qui nous permet d'exister dans un monde en constant mouvement, rien ne doit se figer, pas même l'équilibre sans quoi il devient un déséquilibre en soit.

Il s'agit avant d'être et de faire en sorte de souffrir le moins possible dans un monde qui existera quoi qu'on choisisse de faire.

exiter dans un monde en constant mouvement Oui, cette existence là reçoit tous les stimulis nécessaires à sa vie. Mais lorsque l'on est passé de l'autre côté, du côté du non-être. Du côté des morts-vivants. Il n'y a plus d'existence ou plutôt, cette existence se résume à un lieu, vide, vide de tous, où le silence devient source de frayeurs. Je n'ai plus de contacts que ces mots qui me viennent, là...mais aussi, je ne désire plus rien.

Le desir ne fait pas que l'on existe, le désir démontre la force mental s'opposer au désir est chose difficile.. Je suis toujours là, pour l'instant, j'ai découvert un jeune homme, ou garçon en phase de devenir un homme fantastique mais le problème c'est que je n'ai pas le droit de lui faire du mal , je m'interroge sur mes intentions, la terre est en mouvement, le monde stagne et s'enfonce dans la connerie, la seule vérité c'est la liberté, mais je ne pense pas que la liberté aille jusqu'à nous permettre de choisisr de vivre ou mourir, on a pas le droit de s'oter la vie ou l'on en paix les conséquences, la douleur qui nous mène a le penser ou à passer à l'acte est-elle vraiment si horrible pour l'éternité souffrir en enfer, ou n'y-t-il rien?
On parle de suicide, de dépression mais pas de la mort en soit. pourquoi?
Peu importe le passé et il a tellement de variantes à chaque instant supplémentaire vécu qu'il ne peut être exprimé, mais il me détruit simplement a petit feu parce que je cherche ma place avec cette vie qui n'a jamais trouver de stabilité "d'équilibre"

Et je pense maintenant que cet équilibre, c'est un tuteur à l'évolution quand il nous laisse le libre arbitre ... ni plus, ni moins.
Est-il trop tard pour donner un sens à sa vie une structure, j'ai 18 ans je suis en terminale et pour ne rien vous cacher, j'ai peur de redoubler, je fais de la phobbie scolaire donc je vais trés peu en cours et j'ai peur de redoubler et de me dire que je perd encore du temps sur cette vie a quelque chose qui m'inssuporte quite a me plier aux exigences de cette société et a en souffrir, je préfére m'enfuir et ressentir la liberté avant d'y rester, je sais pas encore ce que je vais faire

Je sais juste que je dois partir loin d'ici, mais concrétement que cela veut-il dire dois je sauter le pas, ou dois je réellement partir a l'autre bout du monde, je n'ai rien et trés peu de force, un corps bafoué et cette saleté est tout ce qui est dans mon rapport aux autres

et je compte pas non plus porter plainte pour koi ke ce soit j'ai pas envie de finir entre 4 planches

enfin le monde n'est qu'un egout sans fond alfred de musset

Bonjour,

Cela fait partie de l'epreuves que les victimes subissent et endurent que de passer outre les menaces et de porter plainte. De par ma position, je ne peux faire autrement que de vous encourager à le faire, je m'en excuse si cela vous heurte...

Les phobis scolaires se traitent par des therapie cognitivo-comportementales.

Et je pense que cela vous ferai un bien fou de vous investir dans des oeuvres caritatives et humanitaires. Cela donnerai un sens à votre vie, tout en vous valorisant et vous offrant de nouveaux regards sur le monde.

Courage

est-ce que l'on peut considérer un ts comme un nouveau départ?

Qu'y a-t-il de bon dans ce monde ?
....à part la nature....on la détruit.... Mais la Nature est une force largement supérieure à l'humain (elle survivra à la fonte des glaciers, pollution grandissante, inondations diverses, tornades, éruptions volcaniques....)
....à part les animaux...on les mange... Les animaux mangés, dans nos pays, sont élevés pour leur viande et autres productions, ils sont tués avec un minimum de souffrance... j'ai visité un abattoir, à part les abattages rituels, la mort est donnée au mieux. Les animaux de compagnies sont en augmentation constante et eux ils vivent près de nous, protégés et heureux de notre présence :-)

Pourquoi as-tu tant de mal à te respecter? Pourquoi donnes-tu ton corps à ces hommes? c'est quoi ce chantage?
Comment peux-tu te sentir aimée si tu laisses l'autre te salir?

Une ts comme nouveau départ? Tout dépend de ta motivation première... Si tu penses que seule la mort est la solution, oui ça peut aider : dixit une personne suicidaire qui avait tout mis en œuvre pour un suicide réussi : "Je n'ai jamais ressenti une douleur aussi forte, je me rends compte que ce n'est pas facile de trouver la mort et que la vie est bien moins de souffrances" Depuis ce drame (quand même ce n'est pas anodin), elle s'est éveillée, a cessé de se détruire et les pensées suicidaires ne lui traversent plus l'esprit.

Si tu veux attirer les regards d'empathie... ça risque d'être sans utilité. Car les gens ne te voient plus comme avant après un tel acte, ils te considèrent alors comme faible et ont davantage de pitié pour toi. Certains ne te feront plus jamais confiance, certains garderont une peur viscérale que tu recommences. Donc ça ne fait qu'ajouter des soucis.

Pour ta dernière année, c'est super important que tu t'accroches à tes études... C'est une manière de te respecter !! Car quand tout va mal, il y a au moins sur sa scolarité qu'on peut agir soi-même et y mettant le paquet, faut pas lâcher, et par ce biais, tes parents croiront en toi...

Bonjour, ce qui suit, c'est moi, Huahiné, qui l'ai écrit.

Qu'y a-t-il de bon dans ce monde ?
....à part la nature....on la détruit....
....à part les animaux...on les mange...

Le reste, c'est Jennygood et sa souffrance,....Sorry.

...et puis, je suis du sexe masculin depuis tout petit...lol.

Et puis, on ne doit pas vivre dans le même monde...

J'ai eu la chance (enfin, si on peut dire, oui, d'un certain point vue...) de faire le tour du monde, et de vivre parmi d'autres populations.

- Je ne veux pas décrire, ici comment les chinois (asiatiques, en général) tuent les chiens, les chats, et les lapins, pour les manger, c'est trop horrible, indigne, etc...
- Je ne veux pas non plus parler du transport des animaux d'abattoir, en France, aux USA, en Angleterre, c'est tout simplement l'horreur...
- Je ne veux pas, encore une fois, décrire l'horreur des tueries des agneaux, chameaux, ânes, etc...pour qu'ils deviennent de la viande allal....ou cacher....

Non, car c'est le reflet exact des comportements de l'espèce humaine dans toute son horrible splendeur, envers les animaux. C'est l'espèce animale (l'espèce humaine) la plus ingrate, la plus féroce, la plus barbare, la plus inhumaine, qui soit.

Et puis, ici, ce n'est pas le lieu, non plus.

Et puis, tout le monde s'en fout...

Et puis, ici, ce n'est pas le lieu, non plus.

Et puis, tout le monde s'en fout...

Et puis, et puis, et puis, tout le reste n'est qu'angélisme ou dictats....

Jennygood, du haut de mes 59 ans (ayant connu des incidents de vie, presque similaires aux tients) je ne voudrais te dire qu'une chose si tu lis ce qui suit. Sans conseils de bla bla bla, et en toute humilité, j'ai trouvé une sorte d'équilibre, un bien être, une paix intérieure en " épousant " la philosophie du bouddhisme, mais pas n'importe laquelle, celle du Tibet.

Sans vouloir faire le moindre prosélytisme. Ni faire l'éloge d'un quelconque mysticismme...

ce qui est curieux là dedans c'est de vouloir absolument persuader quelqu'un que la vie est belle alors qu'il est au fond du gouffre, le but du truc n'est il pas qu'il s'en aperçoive lui même ? quand on est au bout du bout, quand on est dans le fond du fond, n'importe qui peut nous dire qu'il ne faut pas faire de bêtises, qu'il faut continuer de se battre mais parfois, il faut tomber au plus bas pour pouvoir remonter...je suis déjà tombé au plus bas comme bcp d'entre vous, comme bcp ici, y'a pas de paroles magiques, pas de pensées magiques non plus même quand on y croit très fort, ça ne marche pas tjs...

le mieux n'est il pas de savoir pourquoi notre histoire, notre passé, notre vécu nous a entraîné dans le fond ? je n'ai de leçons à donner à personne, je n'interviens quasi jamais ici mais j'ai lu bcp d'histoires, lu bcp de réponses aussi et même si je ne vais pas faire des ami(es) (je ne suis pas là pour ça !) bcp devrait aller consulter et se faire aider par des spécialistes...Je retourne au fond de ma grotte....à bientôt peut être...

je ne considère aucune réponse comme une leçon mais comme un point de vue subjectif et l'ensemble de ces points de vue est a exploiter et a analyser. Au point où j'en suis ... on le dit souvent ça, je continue de sourire chaque croyant que les choses changeront par elle même, croyant naïvement que la roue tourne, j'ai 18 ans toujours j'ai eu plus d'amant dans la vie que beaucoup de plus âgés et je n'en suis pas fière, au contraire, chaque mot que mon entourage échange avec moi c'est une pelle qu'il me donne pour creuser ma tombe, de plus jeune je reçois des "qu'est-ce que t'as" ou "grosse pute" ou encore " va te faire enculé" et avec le sourire quelque " grosse connasse" ( ça c'est plus ma mère) mais moi qui ai jusque là toujours joué l'indifférente, je m'aperçois que je en le suis pas et que ces attaques constantes m'ont rendus vulnérable. j'aime que le soleil brille que le soleil bleu , j'aime rêvé adossée a un arbre, j'aime lire des livres mais toujours cette atmosphère ambiante me pourri et c'est comme si l'air que je respirait polluée mon cœur.
Je voudrais continuer de croire au moins juste pou ça mais il y a toujours, cet horrible sentiment que l'on va m'arracher la vie de l'intérieur sans que je l'ai vraiment voulu par la souffrance qu'on m'inflige au quotidien, et tout ce que l'on fait pour que je ne crois plus c'est comme si eux pour survivre avait besoin de me couler de s'appuyer sur moi pour m'enfoncer dans le fond de l'eau . Je voudrais disparaitre mais renaitre je veux continuer de voir le monde. mais loin de tout ça... je n'y arrive plus, les insultes, le regards des hommes comme s'ils savaient, je devrais baisser les yeux au lieu de ça je fronce, comme fâché alors que je voudrais que ce regard change que l'on ne lise plus mon visage et cela malgré les sourires, c'est comme si ça allé un peu mieux alors que je me rapproche un peu plus de l'acte. trop tard pour l'école le bac est bientôt j'ai pas su me rattacher a la locomotive j'espère que peut-être je me rattraperai.

je ne sais ni quand ni si je reviendrais.