Je t’aime tellement, j’en ai les larmes aux yeux
Tu n’es pas là, mais je te vois partout
A ta poursuite, te suivant de mon mieux
Je m’enfonce dans cet univers si fou
Tu me tiens, me soulève, m’envole
Et lorsque le vent souffle sur mon visage
Lorsqu’au plus profond de moi son éclat rigole
Lorsqu’il expire cette violente rage
Faisant danser ses feuilles dans sa traîne
C’est toi qu’il sent, c’est toi qu’il amène
Tu es dans tous mes songes, toutes mes pensées,
Et quand tu es à mes côtés, mon âme s’élève
Comme si je pouvais toucher mes rêves
Comme si le paradis était venu me chercher,
J’en ai les larmes aux yeux,
Merci d’exister…
**Je hais ce poème, j'ai besoin de le mettre, je l'ai écrit pour mon meurtrier, je lui donnais tout...tout ce que j'avais...je me hais, je me hais tant**