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 mon livre deja editer

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petitcoeur72360



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MessageSujet: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:51

une enfance volée

J’avais sept ans quand tout a commencé. Ma mère, ma grande sœur, mon grand frère et moi habitions dans un charmant petit village appelé « LAMASTRE ». Je me souviens qu’en ce temps-là, nous étions heureux, car avec notre maman, nous faisions beaucoup de choses ensemble. Tous les soirs, nous allions nous promener à pied et on passait tout le temps devant un champ de vaches dans lequel le fermier nous donnait parfois du lait. Avez-vous déjà goûté à ce lait ? Il n’y a rien de meilleur ! Quand nous nous promenions, on chantait des chansons. J’adorais écouter ma mère chanter ! C’était pour moi des moments de pur bonheur. Mais je ne connaissais pas encore Dieu.
Un jour, alors que je jouais avec ma grande sœur, dans notre quartier, un monsieur, dans une voiture blanche, nous a demandé si on connaissait Polette Martho. C’était une chance pour lui car nous étions justement ses filles, âgées de 9 et 7 ans. Nous lui avons répondu que oui, mais qu’elle travaillait. Ma sœur est donc montée avec lui dans la voiture pour lui indiquer où elle travaillait et moi je suis restée dans le quartier pour jouer. A leur retour, maman a fait rentrer ce monsieur dans notre maison et elle nous l’a présenté comme son compagnon. Qu’est-ce qu’il était bien, ce monsieur ! Il était allé avec ma sœur au bureau de tabac pour acheter 70 francs de bonbons. C’était la première fois que je voyais autant de bonbons. Puis au bout de quelque mois nous nous sommes installés dans sa maison. Il avait chez lui, deux adorables petites chiennes. Ça tombait bien car j’adore les animaux, en particulier les chevaux. J’ai une grande passion pour ces animaux de grande taille, car ils sont vraiment très affectueux, ils sont d’une beauté vraiment incroyable, de plus, on peut les monter pour faire de grandes balades. Mais revenons à mon histoire, car elle ne fait que commencer.
Je passais de super bon moment avec mon beau père, alors n’ayant pas connu mon vrai père, j’ai appelée le nouveau compagnon de ma mère, papa. Un jour où il était revenu de son travail, il m’avait offert un ballon, et mon frère était jaloux. Alors il lui a expliqué que j’étais la plus petite et que lui étais plus grand que moi. Tous sa pour dire que j’étais la plus heureuse. Une maman qui m’aime et un nouveau papa, que demander de plus ? Absolument rien car j’étais comblée. J’allais a l’école privé du village et la j’ai commencée par connaître Dieu et à apprendre à le prier, tout comme la vierge Marie ! Et je ne sais pas pourquoi, mais à chaque fois que je priais, j’avais plein de frissons ! Mais j’aimais bien.

Un jour ma mère nous annonça un heureux évènement, nous allions avoir un petit demi-frère.
J’en été toute contente et très heureuse. Mais ce ci ne dura pas, car à partir du moment où ma mère avait accouché de mon petit frère Teddy, tout bascula ! Dés le retour de ma mère, ma joie de vivre disparue et ma vie de petite fille se transforma en cauchemar, ou mieux encore, en petite femme miniature. Tout à commencé lorsque ma mère, fatiguée de s’occuper du petit frère qui venait de naître, nous donna en charge, à moi et à ma sœur Stephie, les corvées ménagères (vaisselle, balayage, frotter le sol, le repassage et ranger la maison). Quand le ménage était mal fait, il fallait recommencer jusqu’à ce que ça soit propre et ceci dura des fois jusqu’à des heures pas possible, je veux dire par là, jusqu’à 2 ou 3 heures du matin. Le ménage se faisait le soir, lorsqu’on rentrait de l’école. Mais ceci n’est rien par rapport à ce qui va suivre. Mais à ce moment de ma vie, je vais me rapprocher de Dieu et lui demander secours !
C’était un après- midi de printemps, un samedi, ma mère était partie ce jours- là, faire des courses avec ma sœur Stephie et mon frère Florian, mon petit frère dormait dans la chambre de ma mère et de mon beau père ; moi, je faisais mes devoirs dans la salle à manger. Une fois ma mère partie, mon beau- père est venu me voir en me demandant :
– Tu fais quoi ?
– J’apprends ma poésie.
Le discours se termina là. Puis il est allé dans la cuisine et il est revenu me voir en me disant qu’il avait envie de moi et je n’ai pas su quoi répondre, car je ne savais pas ce qu’il voulait me dire. Puis il est parti dans sa chambre et m’a appelée, alors je suis allée le voir, sans aucune méfiance. Quand je suis rentrée, les volets étaient fermés, et il faisait sombre. Mon petit frère dormait dans son petit lit blanc qui se trouvait au pied du lit de ma mère, alors je suis rentrée doucement afin de ne pas le réveiller. Une fois dans la chambre,
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:52

suite

mon beau- père ferma la porte. Puis il s’approcha de moi et me prit dans ses bras en me disant qu’il m’aimait tout en m’embrassant sur la bouche. Pour moi, une simple erreur de sa part. Mais par la suite, le doute vint se placer. Après m’avoir embrassée, il me caressa par-dessus les vêtements et soudain, des fris-sons ainsi que la peur vinrent s’installer dans mon corps. Puis il continua et me caressa, cette fois- ci, par dessous les vêtements, il commença par ma poitrine, pas encore formée, puis tout doucement, il descendit sa grosse main vers mon pubis, et par sa manière de faire, je voyais bien qu’il faisait cela avec plaisir. Avec sa salive, il mouilla le bout de ses doigts et les dirigea à nouveau vers mon pubis et l’étala. Il défit sa ceinture, baissa son pantalon a mis jambe, descendit son slip et prit dans sa main son sexe pour se masturber. Par la suite, il baissa mon pantalon et ma culotte, mouilla de sa salive son sexe et tout en me tenant, il l’incéra dans le mien. Une fois terminé ce qu’il avait à faire, un grand soupir sortit de sa bouche, puis il m’a dit que toutes les petites filles qui aimaient leur papa, faisaient cela et qu’il ne fallait en parler à personne de ce qui venait de se passer. Devais-je le croire ? Aurais-je dû crier ?… Ô Seigneur, pourquoi ai-je si mal en moi ? Surtout si c’est normal ! Aide-moi à comprendre !
En tout cas, depuis ce jour, ma fierté disparue, ainsi que mon âme d’enfant. Je me sentais sale, une moins que rien, et si petite pour trouver la force de dire NON a ce beau-père. Pourquoi seigneur ? Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? J’avais si honte que lorsque ma mère est revenue des courses, j’ai fait comme si rien ne c’était passé. Dans la même journée, je suis allée aux toilettes et là, j’ai découvert une tache de sang dans ma culotte, j’étais effrayée, je ne savais pas ce que c’était et puis j’ai pensé que c’était normal la première fois. Vous allez vous dire, pourquoi je n’ai pas criée ? Pourquoi je n’ai pas essayée de me défendre ? Et aussi pourquoi je n’en ai pas parlé à ma mère ? Maintenant, à moi de vous répondre ! Crier, pourquoi faire ? Ce n’est pas mon petit frère de quelques mois qui allait me venir en aide ! Et les voisins n’auraient pas pu m’entendre. J’ai crié à Dieu, mais rien ! Même ne lui m’écoutait pas ! Quand vous avez peur, soit vous vous figez, soit vous criez, pour moi c’était d’être figée à ne pas pouvoir réagir. Je ne me suis pas défendue ! Mais que voulez-vous qu’une fillette de 8 ans fasse devant un homme de 45 ans et qui fait 5 fois plus gros que son poids ! Rien, absolument rien et vraiment impuissante face à son adversaire. La seule chose que je pouvais faire, c’était prier pour que Dieu intervienne en m’ôtant la vie ! Et si je n’en ai pas parlé à ma mère, c’est que je pensais qu’elle ne m’aurait pas crue et puis malgré que je ne sois que victime, j’avais honte. Honte de moi, honte de mon corps. Je me sentais si sale. Depuis ce jour, je restais à l’écart des autres enfants à l’école, j’étais devenue solitaire avec une très grande affection pour ceux qui étaient malheureux, et je me mis à prier Dieu de m’aider !! Et je demandais à la Vierge Marie qu’elle m’aide à comprendre ! Mais impossible de croire que c’est normal !
Un jour la directrice de l’école primaire a convo-quée ma mère car je ne travailler pas à l’école. Alors, ma mère me demanda pourquoi je ne travailler plus à l’école. Que voulez-vous que je réponde à cela ? La vérité ou un mensonge ? La décision était prise, le mensonge était pour moi la meilleure solution. Je lui ais répondu que c’était par ce qu’elle ne voulait pas que je donne le biberon au petit frère. Du coup en rentrant à la maison, c’était l’heure du biberon du petit. Ma mère le prépara, et me confia la tache de le lui donner. Il faut dire que j’étais vraiment contente de le lui faire boire ! C’est tellement mignon un bébé ! J’étais vraiment contente et je remerciais Dieu pour ce petit frère.
Le printemps est bientôt là et c’est un dimanche ensoleillé qui commence, une belle journée ou je devrais remercier le seigneur ! Mais non, mon cœur est vide !
Comme tous les jours, ma mère va chercher le pain et les plats, chez le père de mon beau père. Il est 11 h et c’est l’heure d’aller chercher les plats, ma mère prend avec elle, ma grande sœur, mon grand frère et mon petit frère. Je me retrouve donc encore une fois seul avec mon beau père. Mon ventre commence à se nouer, car j’ai comme un pressentiment qu’il va recommencer. J’ai peur et crie aux Seigneur, comment lui échapper ?
Je sors donc mes devoirs pour l’école, comme sa, si il m’appel, je ne me déplacerais sous aucun prétexte. Il m’appel ! Je ne réponds pas. Il me rappel à nouveau ! Je ne réponds toujours pas ! Seigneur s’il te
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:53

plait, Viens à mon secours ! Mais rien, alors cette fois ci, il se déplace et viens me voir. IL me demanda d’une vois douce «tu ne m’as pas entendu ?», je lui ai répondu que non. Il s’approcha de moi, en me disant que ce n’était pas grave. Puis il regarda mon cahier, et me demanda ce que c’étais, je lui ai répondu que c’étais ma poésie, et qu’il fallait que je l’apprenne. Alors il ferma mon cahier et commença à caresser mes cheveux. J’avais peur, et j’avais plein de frissons sur tout le corps. Il tira ma chaise, me pris dans ces bras, et m’allongea sur la table. Il commença à quitter son pantalon et son slip. Puis il me pénétra encore une fois. Pendant ces rapports, ça me faisait mal, mais je me taisais, et criait à dieu pour qu’il intervienne, mais toujours rien ! A quoi bon parler ! Puisque je n’ai pas le choix ! Puis au bout de plusieurs minutes, ma mère rentra et je suis allée l’aider pour vider le coffre de la voiture, comme si rien ne s’était passé. Elle ne voyer pas ce que j’endurais, car je souffrais en silence. Une blessure qui me fait tellement souffrir, comme si on venait de me planter un couteau dans mon cœur et que ce couteau rester planté sans que personne ne l’enlève.
Quelque semaines ont passé depuis mon dernier viol, et voilà que ma mère nous annonça qu’elle était de nouveau enceinte, cette fois-ci d’une petite sœur. Du coup il a fallu s’occuper du petit frère, en plus du ménage. Et pourtant j’aurais 9 ans que dans quelques mois. J’en ai marre de cette vie, je préfèrerais mourir et rejoindre mon vrai père au ciel. Pourtant cette occasion s’était présenté, mais mon manque de courage a pris le dessus, ou était-ce la volonté de Dieu ! Je ne sais pas. En tout cas sa c’est passer un mois après que ma mère nous annonça qu’elle était enceinte de la petite. Ma mère était partie ce jour là avec mon beau père et mon grand frère Florian. Ma grande sœur Stephy et moi, étions restés à la maison. Alors j’ai pris un couteau de cuisine et j’étais prête à me l’enfoncer au plus profond de mon cœur, lorsque ma sœur est arrivée dans la cuisine et ma demandée qu’est ce que je faisais avec ce couteau. Je lui ais répondue avec franchise que je voulais mourir. Du coup elle est allée chercher le petit frère, en me disant « tu as pensé à lui ? As tu vraiment pensais à lui ? A tu vraiment pensais a moi aussi ? », Alors j’ai lâché le couteau et je me suis écroulée en larmes, en demandant pourquoi seigneur ? Et dés que ma mère est revenue, ma sœur lui a dit que j’avais voulu me tuer. Ma mère à cette nouvelle n’a pas cherchée le pourquoi de mon acte et m’a traité de folle. Et elle était vraiment en colère contre moi et ma tapait comme une furie. Au lieu de m’écouter, elle a préférée ignorer ma souffrance. Cette fois, je me sentais vraiment seul face à ma souffrance, comme une pauvre orpheline qui n’a pas de parents. Je sais maintenant, que je ne pourrais plus me confier à ma mère au moindre problème, et que mon seul recourt était de prier. C’est dure quand on a bientôt 9 ans de se voir obliger de souffrir et que personne ne veut écouter ce qu’on a dire, surtout de la part de sa propre mère. Y as que Dieu qui m’écoute, mais il ne fait que écouter pour l’instant !
Nous sommes le 6 novembre, j’ai aujourd’hui neuf ans, et ce jour là, fut mon dernier jour où j’ai vraiment fêté mon anniversaire. Oui, ce jour là, j’ai soufflée mes bougies et ouvert mes cadeaux pour la dernière fois. Vous comprendrez un peu plus loin dans ce livre, ce que je viens de vous dire, car mes souffrance ne s’arrêtent pas là.
Du fait que ma mère était enceinte, il a fallut dé-ménager, pour habiter une maison plus grandes. C’était une belle maison avec de nombreuses pièces et un grand terrain. Je ne peux pas vous dire ce que j’ai ressentit, car je ne ressentais rien, comme si tous mon être étais mort. Je n’arrivais plus à montrer mes sentiments.
Un soir ou le ménage avait été fait correctement, j’ai pu regarder un film. Nous étions réuni en famille devant ce film qui s’appeler (l’instit). Celui-ci racon-tait l’histoire d’une petite fille, qui à chaque soir, après l’école, subissait les horreurs de son père (l’inceste). Lorsque sa maîtresse est partie en congé maternité, Victor Novac (l’instit) est venue dans cette petite école pour la remplacée. La petite fille avait tous le temps avec elle, un clown en tissu en qui elle confiait toutes ces souffrances. Du coup, lors d’une sortie théâtrale, Victor Novac en a profité pour se déguiser en clown pour parler avec cette petite fille, ou là, elle se décide enfin de tous lui raconter. Alors le père de la petite, fut mis en prison, car il n’avait pas le droit de faire subir ça, à sa fille. C’est en regardant ce film, que j’ai compris ce qui m’arrivais réellement, et que mon beau père m’avait mentis. Pendant ce film, ma mère nous raconta qu’une fille qui fréquentait notre école, avait subit le même problème. Alors mon beau père rajouta que toutes les personnes qui faisaient ça à des enfants, étaient des salops. Dans ma tête tout était clair ! Mon beau-père était un salop, qui profitait de l’absence de ma mère pour me violé. J’ai surtout compris, que ce que je subissais depuis un an, étais interdit par la loi.
Mais ceci ne l’empêcha pas de recommencer, car en début décembre il m’avait de nouveau violée. Pendant que ma mère était à la maternité, un soir où ma sœur avait invité une amie à dormir à la maison, mon beau père lui prêta mon lit. Cette nuit là, j’ai du dormir avec lui, ce qui paraissait normal pour ma sœur et mon frère. Mais pas pour moi. Car cette nuit la mon beau père en avait profité pour me déshabiller, je me suis retrouver nue avec lui, avec la peur au ventre et tellement honte de prier déshabillée, que je n’ai même pas parlé à DIEU. Lui aussi était nu. Cette nuit là, il avait recommencé. Je ne cherchais plus à comprendre car toute mon âme était morte. J’étais là, sans être là.
Ce qui il y a de sûr, c’est que je n’étais plus comme les autres filles de mon âge, car lorsque j’ai commencée à avoir de la poitrine, je haïssais Dieu de cette formation. Alors que ma sœur s’en réjouissait. Tout simplement, parce que j’étais différente. Et cette différence c’est mon salop de beau-père qui l’avait fait naître en moi.
Noël est déjà là ! Et comme tous les noëls, c’est le temps, ou l’on se retrouve avec toute la famille en me demandant toujours les mêmes choses. Comment tu vas ? Tu travailles bien à l’école ?
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:53

Que voulez vous que je dise ? Non ça ne va pas ! Mon beau père me viole et c’est pour ca que je n’arrive pas à me concentrée à l’école ! Non, bien sur que non ! Qu’auraient ils penser de moi ? Que je n’étais qu’une vicieuse ?!
Alors comme toujours, je répondais que j’allais bien et que l’école ça n’allais pas très fort, mais que j’allais me rattrapée. Puis comme cadeaux de leur part, j’ai eu de l’argent, que je suis allée gentiment rangé dans une boite qui ce trouvait dans ma chambre. Et lorsque les invités sont partis, ma mère ma prit l’argent, pour le dépenser pour elle ! J’étais dégoûté ! J’étais accablée par son geste. Ma mère était devenue méchante, pour un rien elle me tapait. Lorsque le ménage étais mal fait, elle me giflait, on aurait dit une hystérique. Parfois elle me tapait avec le ballet, me secouais, me poussais et une fois elle m’a balancée un cintre en bois méchamment. Mon beau père me tapait aussi, mais autrement. Lui, c’étais plutôt en donnant des coups de pieds et des coups de poings. J’en étais marquée par des bleus sur les bras et les jambes. Un jour à l’école lors d’une visite médical, l’infirmière m’a demandée comment je m’étais fait ces bleus. Alors je lui répondu que c’étais en tombant du jeu de l’école. Elle n’en était pas convaincue, du coup elle ma demandée comment étais ma mère avec moi ? La j’étais mal, car malgré ce que m’infligeait ma mère, je l’aimais. Je l’ai donc protégé, en disant qu’elle était gentille. Elle m’a par la suite demandé comment étais mon beau père avec moi. Je lui ai répondu, qu’il était gentil avec moi, même si c’était faux. J’aurais bien voulus lui dire la vérité, mais c’étais impossible ! Car j’avais peur, peur de ce qui se saurais passer et honte de lui parler de quelque chose d’aussi dégoûtant. La peur ma empêché de parler. Alors, elle ma laisser tranquille avec ses questions. Et le soir je suis rentré a la maison comme d’habitude et sans parler des questions que l’infirmière m’avait posé. C’étais mon secret, rien qu’a moi seul. De toute façon ma mère me demander jamais comment sa ce passer a l’école, car elle ne s’intéressait pas a ce que je faisais. Quand je regarder la petite maison dans la prairie, je rêver d’être Laura Ingals. Le bonheur ce lisais dans ces yeux. Quand est ce que moi aussi je pourrais être enfin heureuse ? En tous cas pas de-suite ! Oui en fait ! Au lieu de voir ma vie rester comme elle est ! Non ! Il faut toujours que mes souffrances soient plus profondes et que des choses s’y rajoute. Dans l’année de mes 10 ans, mon frère Florian âgée de 14 ans, ma violée. J’étais dans ma chambre lorsqu’il est venu me voir. Nous étions seuls dans la maison, et il est venu vers moi en me demandant un stylo pour ces devoirs. J’étais en trin de rêvasser en regardant par la fenêtre, lorsque mon frère est revenu me voir. Il c’est approcher de moi, et a commencer par me caresser. Alors je lui ai dit que non, je ne veux pas. Il a fait, comme si je n’avais rien dit, et il ma dit par la suite que j’allais aimer ça. J’avais envie de crier ! Non ! De lui dire en hurlant tous ce qui me passer par la tête, mais j’ai fermée ma gueule, fermé mes yeux et je l’ai laissé faire, en espérant qu’il finisse ce qu’il avait à faire. Il ma caressé, baisser mon pantalon et ma culotte en me mettant face au mur pour mettre son sexe dans le miens. Il soupire, ça y est il a finit ! Le s ma semblait long, je n’en voyais plus la fin. Une fois qu’il fut retourné dans sa chambre, je me suis mise à pleurée. J’en avais trop mare d’être le souffre douleur de la famille. Je criais la haut vers le ciel en silence, en demandant pourquoi ! En demandant à Dieu qu’il m’enlève la vie pour que je puisse me reposer en paix avec mon vrai père et pour que je ne puisse plus souffrir. J’étais dans un cauchemar qui même au réveille ne s’en allait pas. Je ne savais plus quoi faire. Pourquoi la vie des fois est si cruelle ? Alors que d’autre sont si heureux et ne connaissent pas l’injustice. Quand ma mère ce soir là, est rentrée avec le reste de la famille, elle n’a même pas vue encore une fois que mon cœur était plein d’amertume et de haine. J’aurais tellement aimé qu’elle me prenne dans ces bras pour me réconforté, en me disant que sa serrait bientôt fini ! Mais non, au lieu de ça, elle s’en foutait pas mal que sa fille souffrait et qui ne pensait qu’a la mort. Ce soir la je ne voulais pas manger, alors mon beau père s’est fâché en me donnant un coup de pied au qu’avant de me dire de monter dans ma chambre. Je suis donc monté dans ma chambre en me jetant sur mon lit pour pleurer en sanglot. Ce soir la j’ai essayé de retenir mon souffle jusqu’a ce que mon cœur s’arrête de battre. Mais j’ai échoué, car mes poumons n’en pouvaient plus et je souffrais de trop. Alors je me suis mise à respirer normalement et je me suis endormie. Deux mois plus tard, un samedi après midi j’ai vue mon beau père faire des attouchements par dessous les vêtements de ma grande sœur. Elle ma suppliée de l’aider, mais je ne pouvais rien faire. J ‘aurais tellement voulut l’aider, mais quand je me trouver face a lui, je me sentais impuissante. Après il est allé faire la sieste sur le canapé du salon. Je ne sais pas ce qui ma pris, mais ce jour la, ma haine à explosée et sur un coup de colère, j’ai pris les coussins qui me passer sous la main pour lui jeter a la figure. Il est resté cinq bonnes minutes à ne pas réagir. Puis d’un seul coup il se leva, me pris, m’allongea a plat ventre sur la table de la cuisine et baissa mon pantalon, ainsi que ma culotte pour me mettre une bonne fessé. Il ma taper très fort pendant cinq minute et mois je hurlais de douleur. Ma grande sœur criait « arrête papa ! Arrêtes papa ! Arrête ! » Et il c’est arrêté. Je suis monté dans ma chambre pour pleurer et ma sœur est venue me réconforter. J’avais tellement mal que j ‘arrivais a peines à m’asseoir. Le lendemain à l’école je m’asseyais en classe et je sentais encore la douleur qui était insupportable. Je souffrais en silence en essayant d’être attentif à ce que la maîtresse disait. De toute la journée, elle n’a rien remarquée. J’avais l’habitude de cacher mes douleurs donc elle ne pouvait pas le remarquer. Nous somme en mars et voilà que ma mère part a la maternité pour accoucher d’une troisième enfant. Cela devrait me réjouir ! Au contraire, j’étais vraiment déçue car c’est moi et ma sœur qui devions nous en occuper et qu’en elle était malade nous devions louper l’école pour prendre soin de la marmaille et du ménage. Et je suis sur que lorsque ma mère reviendra sa seras encore pareil. En effet, c’est ce qui ce passa. À peine rentrer de la maternité, ma mère nous confia la petite dernière au bout de quelque jours. AH ! Les premiers jours c’est tout beau, tous rose, mais après ça deviens une vraie corvée. Le weekend end j’aimerais bien m’amuser avec la petite voisine, mais cela n’était pas possible car il y avait le ménage a faire et il fallait s’occuper du petit frère et des deux petites sœur. Et quand il ne fallait pas s’occuper du ménage ou des petits, il fallait aider mon beau père a la maçonnerie (transporter des brouettes de briques et de terre). Puis vers le printemps nous avons dû, mon grand frère, ma grande sœur et moi creusés la piscine a la pioche et a la pelle. On faisait un roulement, quand mon frère avait la brouette pour transporter la terre, c’est moi et ma sœur qui creusions a la pioche et a la pelle. Le soir quand on se coucher on avait mal au dos.
Pas facile quand on a dix ans et qui faut taper a la pioche ou transporter des brouettes de brique et de sable qui peuvent aller jusqu’à cinquante kilos. Mais la piscine n’était pas finie pour l’été, car on ne pouvait pas faire le reste ! Ont avait finit de la creuser, mais il manquer plus qu’a faire le reste. Pour vous dire, elle n’a jamais était fini et ont en a jamais pus en profiter car mon beau paire n’en n’a jamais eut le temps. Tout sa pour vous dire que tout le mal qu’on s’est donné, n’a servit a rien. Par contre pour me violé, sa il en trouver du temps ! Ma mère était en train de planter des fleurs avec ma grande sœur, les petits faisaient la sieste et mon grand frère était chez son patron d’apprentissage. Moi j’étais dans le salon en train de faire la poussière lorsque mon beau père est venu me voir en me disant « enfin seul ! », je sais qu’il allait recommencer ! Alors il ma caresser puis ma mise fasse a la fenêtre, puis a baisser son pantalon et son slip ainsi que les miens. Puis il a mouillé de sa salive la raie de mes fesses, ainsi que son sexe et ma sodomiser en le faisant rentrer tout doucement et ça me faisait mal ; avant d’éjaculer, il ma ensuite pénétrer par devant et une fois qu’il eut finis, il me dit « tu es une vraie petite salope et tu es plus bonne que ta mère ! » C’est mots me donnaient froid dans le dos, j’en avais la chair de poule. Comment pouvait-il dire une chose pareille. J’ai fermé ma gueule lorsqu’il ma sodomisée, mais il ma fait énormément mal. Un jour ou l’autre je lui ferais payer pour tous ce qu’il est entrain de me faire subir ! Mais pour le moment je n’en ai pas le courage. La rentrée des classes est là ! Je rentre cette année en CM2 et cela me fait peur car je rentre dans une nouvelle école, ce qui veut dire de nouvelle tête. Les camarades de classe se moquaient de moi, mais j’en avais l’habitude. Ils se permettent d’humiliés certaine personne sans savoir ce qu’ils puissent vivre, alors que eux ils sont heureux, ils sont bien habillés et ont tous ce qu’ils veulent. J’aimerais bien qu’ils viennent faire un petit séjour chez moi, comme ça, ils se rendront compte ce que j’endure depuis plusieurs année. Ce sont ces enfants la qui me dégoutte.

J’ai eu 11 ans aujourd’hui et comme celui de l’année dernière je n’aurais droit à aucun cadeau, aucuns gâteaux et aucune bougie à souffler. Je m’en moque, je n’ais qu’une seule envie c’est de partir, m’enfuir, quitte a dormir dans la rue. Un jour par curiosité j’ai dit à ma mère :
– Un jour, je partirais, je ferrais une fugue et tu ne me retrouveras plus !
– Je te ferais rechercher par les gendarmes et quand tu serras de retour à la maison je te ferrais une tête au carré.
– De toute façon je t’ai jamais aimé et je t’ai ja-mais considérer comme ma mère !
– Et moi je t’ai jamais considérer comme ma fille !
Et puis le soir, lorsque mon beau père est rentré de son travail, ma mère à tous raconter a celui ci. Il ma donc traîner par l’oreille jusqu’a la porte d’entrer et ma mit dehors sans manteaux durant tous le repas. Je suis donc resté une heure trente dehors au froid et puis il ma fait rentrer en me disant « le jour ou tu arriveras à dire merde a ta mère, sa voudras dire que tu n’a plus besoin de nous » Ce soir la je suis allé me coucher sans manger, par ce que mes parent ne voulait pas que je mange, alors que mois j’avais faim. J’aurais mieux fait de me taire et de garder sa pour moi ! Sa m’aurais pas coûté un repas ! Ce soir la, je me suis endormit avec un ventre qui crier famine. Juste avant de m’endormir, comme tous les soir, je m’imaginé dans un lit d’hôpital en trin de mourir et ma mère me suppliant de tenir bon, en me disant qu’elle m’aimait et en me demandant pardon et mon cœur qui s’arrête et la elle meurt de chagrin. Cela me faisait du bien, car en silence je mettais en scène mon imagination.
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:54

Noël est déjà la ! Mais pour moi c’est un jour comme les autres. Aucun cadeau destiné pour moi au pied du sapin et une montagne de jouer pour les petits. Juste un peu d’argent par la famille, mais rien de la part de ma mère. Et comme d’habitude je n’arrêter pas d’entendre de sa part au moment du repas, puis a la fin « Delphine vas chercher le plat, Delphine vas chercher les assiettes a dessert, débarrasse la table, fait la vaisselle, fait ceci, fait cela… » Et comme d’habitude je le faisais tête baisser. Elle m’humilier aussi devant toute la famille en disant que j’étais une pute, une mongole, que j’étais nul a l’école et que j’étais une bonne a rien. Et la famille qui l’écouter en lui disant rien, mais en pensant que c’étais une mère indigne. Sur ce coup la, ils n’avaient pas tord. Et comme d’habitude quand les invités sont partit, elle ma pris mon argent. Ma mère ne travailler pas et passer ses journées a joué au Keno, à regarder la télé, à se reposer et a nous donner des ordres. C’était plutôt elle, la bonne a rien !
Entre ma mère, mon beau père et mon frère, il y avait de quoi me sentir mal dans ma peau ! À me sentir humilier ! Et avoir honte. Vous aller me dire que je n’ai pas à avoir honte ! Mais vous ne savais pas a quel point toutes ces horreur peuvent détruire une vie et une âme ! Je ne suis pas demander à venir au monde ! J’aurais préférerais qu’on m’euthanasie comme une bête qui souffre et a qui on mais fin a ces souffrances ! Mais je suis qu’un être humain qui ne demande qu’a être aimer et écouter. Alors pourquoi tant de souffrance ? Qu’est ce que je leur ai fait pour mériter sa ?
Et mes questions qui restent sans réponse ! Per-sonnes pour y répondre et me rassuré en me disant que je suis dans un cauchemar et que je vais me réveiller ! Et lui la haut, le soit disant Dieu qui ne fait rien pour m’aider alors que je le supplie dans mes prière pour qu’il me sorte de la. Même lui, il n’en a rien à foutre de moi.
Je déprimais car j’étais considérais comme un objet et non comme une enfant. Que se soit pour ma mère, mon beau père et mon frère.
J’aurais peut être pus pardonner a mon frère, si sa c’étais passer qu’une seul fois ! Mais non ! Il avait recommencé ! C’étais le matin, je n’étais pas encore réveiller, tout le monde déjeuner pendant que mon frère est venus dans ma chambre. Il a tiré la couver-ture, a baisser ma culotte et avec sa bouche et sa langue, mouilla mon sexe, puis il pénétra son sexe dans le miens et a éjaculé en moi. A peines réveiller, j’ai commençais ma journée salit encore une fois de plus. En me levant j’avais une envie de vomir et équerré par ce qui venait de ce passer.
J’en avais tellement mar, que j’aurais bien voulu dire a ma mère : « écoute, regarde moi, je souffre et tu vois rien ! Tu ne vois même pas en moi l’être sale ! Et puis sa suffit maintenant et occupe toi de ta mar-maille ! » Mais j’en avais plus la force, mon être étais entrain de s’épuisé. Tant d’injustice, et qui me rend malade. Je me foutée de tout et même de l’école. La fête de l’école est la, et nous faisons un spectacle pour les parents, ma mère ma regarder comme si elle voyait un film a la télé, pour lequel, elle n’attache aucune importance. Alors que les autres camarades sont fières de montrer ce qu’ils ont fait. Puis nous sommes partie en grande vacances. Cette année la, pendant les vacances, ma mère a pris mon petit cousin de quatre ans a la maison pendant une semaine ainsi que ma cousine âgée comme ma grande sœur. Les après midis, ma sœur, ma cousine et ma mère bronzaient et avaient des éclats de rire. Pendant que moi, il fallait que je fasse le ménage ! En les regardant se marraient, j’avais envie de pleurer, mais je me suis retenu, le cœur serrer ! J’avais dans la gorge, une grosse boule qui avait du mal à passer. Et j’ai fini le ménage, pour m’isoler dans la chambre. Puis vers la fin de l’après midi, alors que j’étais avec ma sœur et ma cousine, nous avons trouvé mon petit cousin et mon petit frère entrain de se touchez le zizi. Lorsque ma cousine la dit a ma mère, sel ci étais allé voir pour qu’ils expliquent leurs gestes. Mon petit frère a dit à ma mère que c’était le petit cousin qui lui avait montré. Elle s’est tourner ver lui en lui demandant « qui ta appris ça ? » Il est resté tête baisser s’en rien dir. Alors elle lui a demandé « c’est Delphine qui te la appris ? » au bout de quelque se-condes il répondus « oui, c’est elle ». Mais qu’est ce que j’ai bien pu lui faire pour qu’elle m’en veuille autant !!! Ma mère ce retourna vers moi en me giflant et tous en me serrans fort par le bras elle ma fait as-seoir tout le reste de l’après midi sur une chaise, jus-qu’au retour de mon beau père. Puis quand il est rentré, elle lui a raconté se que j’avais soit disant fais. Mon beau père me souleva par les oreilles, me don-nant par la suite des coups de pied et des coups de poing, tout en me grondant. J’avais beau lui dire que je n’avais rien fait et que j’étais innocente, mais il ne voulait rien savoir ! Et il me taper fort en me disant « dit que c’est toi ! » et que je ne lui disais pas la phrases qu’il voulait entendre, il taper. Alors au bout de vingt bonnes minutes de coup, j’ai fini par dire que c’était moi ! Tous simplement pour qu’il arrête de me frapper. Après avoir étais frapper, j’étais toutes tremblante, mon visage couvert de larmes, et je suis monté dans ma chambres. Il y avait déjà ma sœur, mais je n’en avais rien à foutre, car la seule chose qui compter pour moi, c’était de mourir. J’ai donc fait ce que je voulais faire, c’est à dire arrêter de respirer, tous en poussant comme quand on est constipé. Ma sœur a vue ma tête devenir écarlate, alors sur un coup de peur elle ma dit « arrête tes connerie ou j’appel maman. Du coup j’ai arrêté en lui disant « tu ne peux pas me foutre la paie, et puis si je meurs maman seras très heureuse de me voir dans un cercueil et de se débarrasser de moi. » ce soir la, ma sœur à garder le silence et ne ma pas dénoncer. Heureusement pour moi, car j’aurais encore us droit a une bonne engueulade. Au bous de quelque jour ma tante et mon oncle sont venus chercher ma cousine et mon cousin et la ma mère lui a raconté ce qui c’étais passer. Alors ma tante lui a répondu qu’il avait déjà fais sa auparavant avec une petite fille de son age. Je me sentais humilier pour une chose que je n’avais pas faite ! De toute façon elle ne faisait que sa quand il y avait du monde qui venait a la maison. J’aurais bien aimé quelle me valorise ! J’aurais peut être pus me sentir plus confiante, mais en faisant cela, elle ma perdus et je ne lui pardonnerais jamais.
Vers la fin des vacances ma mère, mes sœurs et mon grand frère sont partit toute une après midi pour acheter les fournitures scolaire, et moi comme d’habitude j’étais seul avec mon beau père. Ce jour la comme tous les autres jours il avait recommence ces saloperie, mais en essayant un autre truc. Nous étions dans le cabanon ou étais ranger les outils de jardinage, ainsi que les vélos. Comme d’habitude, il a commencé à me caresser, puis d’un seul coup il s’arrêta en me disant « tu ne bouge pas je reviens ! », il est partis en m’enfermant. Au bous de quelque minutes il revint avec quelque chose dans les mains, on aurait dit une bombe de déodorant. Savez-vous ce qu’il a fait après ? Il a baissé son pantalon et son slip, ainsi que les miens. IL ma sodomiser et en même temp, il a voulus me mettre sa bombe dans mon sexe. Voyant que sa ne voulait pas rentrer, il a laissé tomber et du coup il a mit son sexe dans le miens. Avec son soupire de conard, je sentais bien qu’il prenait du plaisir à me détruire ! Car il disait toujours les même mots : « tes une vraie petite cochonne, tes bonne, j’aime ton petit qu salope… » ce sont des mots qui me mettais plus bas que terre ! J’étais dans troue noir et au lieu de m’en sortir, je m’y enfoncer de plus en plus. Vous allez me dire qu’est ce que j’attends pour en parler ! Vous ne pouvez pas comprendre, seul les personnes qu’ont étais violées peuvent comprendre ; je me sentais humilier, j’avais peur de parler, j’avais hontes, je me sentais sal comme une clocharde qui n’a pas prie de bain de toute sa vie. J’avais beau me laver, mais cette saleté ne s’enlever pas au savon. Même avec de la javel ! Sa ne s’enlève pas ! Car elle est incruster non pas a l’extérieur, mais a l’intérieure de moi.
Cette année je rentre en 6e et j’aurai douze ans dans deux mois, dans ma classe il y a beaucoup de nouvelle tête, mais toujours la même infirmière. C’est une infirmière super agréable avec une voie douce. Plusieurs fois j’ai pensé lui parler de ce que je vivais, mais la peur et la honte étaient plus fortes que tout. Dans la classe j’étais la risible de toute la classe par ce que ma mère me couper les cheveux a la tondeuse. J’avais les cheveux à la garçon. J’avais tellement l’habitude d’être humilier que sa ne me faisait plus rien. Quand a l’école on se moquer de moi soit je m’isoler, soit je me réfugier a la chapelle de l’école pour prier.
Je ne sais pour quel raison, mais à chaque fois que je rentré dans cette chapelle la paix envahissait mon cœur. C’est le seul endroit ou je me sentais pur en moi. Ce lieu était mon seul bonheur !
Mais continuons ! Car mon histoire ne s’arrête pas la.
Un jour au collège, entre midi et deux, je m’amusais tranquillement à attraper un lézard, lors-qu’une fille de ma classe qui s’appelait Marina est venue me voir en me disant :
– Lâche ce lézard !
– Pourquoi le relâcherais-je ?
– Par ce qu’il est petit et qui la besoin de sa mère.
– Non je ne le relâcherais pas !
– t’aimerais, toi, qu’on enlève de ta mère ?
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:54

Sans même réfléchir, je lui ai répondu que oui. Alors du coup je lui ai raconté la maltraitance que me faisait subir ma mère. Mais je ne lui ai pas raconté ce que mon beau père me faisait subir. Puis elle s’est excuser de s’être moquer de moi depuis le début de la rentrée. Depuis ce jour elle a arrêté toute moquerie en mon égard et m’accueillais dans ces jeux.
Les fêtes de fin d’année viennent de passer et me voilà de retour au collège ! J’avais hâte d’y être, pour ne plus être dans la maison de malheur. Ce jour la, l’infirmière ma fait appeler par une des élèves, alors je suis allée voir ce qu’elle voulait. En arrivant devant l’infirmerie je me suis sentit mal et angoisser car je ne savais pas ce qu’elle me voulait. Puis je suis allé la voir et la a ma grande surprise, elle m’a offert un agenda avec de belle rose sur la couverture. Puis elle m’a dit gentiment de bien couvrir ma tête pour ne pas attraper froid. Je sentais bien qu’elle se douter de la vie que je menais chez moi. De toute façon elle ne pouvait que se douter, car au bout de quelque semaine plus tard j’ai us la grippe et je suis allé la voir, elle ma prie la température et j’avais 40 de fièvre, alors elle ma dit de rester chez moi le lendemain. Ce soir la ma mère ma demander pour la première fois si je n’avais pas de fièvre et je lui ai répondu que non et que j’avais simplement chaud. Et elle ma crue. Le lendemain je suis retournée au collège et dans les couloirs j’ai croisé l’infirmière qui ma demander si j’allais mieux. Je lui ai dit oui en baissant la tête, car je venais de lui mentir et elle l’avait remarqué. Alors elle ma demander de la suivre a l’infirmerie pour me reprendre la température et j’avais 39°, alors elle ma demander pourquoi je n’étais pas resté chez moi. Je lui ai répondu qu’il n’était pas possible que je loupe mon interrogation de mathématique. Puis elle ma dit, c’est rare de voir des élèves qui même malade ne veulent pas rater l’école et puis elle ma laisser repartir en classe. Je savais bien qu’elle n’attendait qu’une chose, que je lui parle de mes problèmes, mais c’étais impossible pour moi d’en parler.
Le réveil sonne, c’est l’heure de me lever pour al-lée au collège, alors je descends les escaliers pour déjeuner. La se trouve mon beau père, il boit son café et moi je vais dans la cuisines pour mettre mon lait a chauffé. Pendant ce temp il fini son bol et puis lorsque je me suis servit mon chocolat, il ma fait signes d’aller dans le salon. Je savais se qu’il voulait faire, il voulait encore une fois faire ses saloperie pendant que tous le monde dormais. J’y suis allé car je n’avais pas le chois et la, il ma dit de me mettre a genou, et je me suis mise a genou et il a sortis son sexe. Avec sa main il a poussé ma tête en direction de son pénis et ma forcé de le mettre dans ma bouche en faisant des vas et viens avec celui ci. J’avais envie de vomir, j’étais équerré et en plus de sa, sa avait le goût de l’urine, c’étais vraiment dégoûtant. Puis il ma fait relever pour m’allonger sur le canapé et après avoir baissé mon pantalon, il ma pénétra sans en avoir mon accord. Et il a fini par éjaculait en moi et il est partis a son travail. Il me laissa sal avec cette chose en moi qui me donnait envie de vomir et je suis donc allez aux toilette pour me nettoyer. Ma mère vas pas tarder a ce levée, il faut donc je prépare le biberon du petit frère. Etant équerré j’ai prie mon bol et je l’ai vidé dans le biberon et en allant réveillait ma mère je l’ai donné au petit. Je suis vite redescendu pour préparé le café et le servir dans un bol pour pas me faire engueulé.
Puis je suis allé en cour et la première heure fut le français. Etant préoccupait par ce qui c’étais passé le matin, je n’étais pas attentive a ce que disait ma prof. Alors celle ci ma demander de réciter ma leçon de français qu’il fallait apprendre et la j’ai us comme un blocage car je ne la savais pas. Elle ma demander si j’avais appris ma leçon et je lui ai répondu que non. Elle ma donc mit une heure de col pour le samedi qui viens en mettant un mot sur mon carnet. Je ne savais plus quoi faire car si ma mère l’apprenait, je me serais fait taper. Le soir j’ai rien dit à ma mère et j’ai imité sa signature. Le lendemain je l’ai donné à ma prof, qui était satisfaite. Le samedi matin je ne suis pas allais a mon heure de col en espérant que la prof oubli. Alors que je dormais ma mère est venu me réveillé pour me dire qu’elle venait d’appelais, je me suis donc fait taper dessus par ce que je m’étais faite collé et que je ne lui en avais pas parlé. Alors le samedi d’après, je suis allé a mes deux heures de col. Et la prof au bout d’une heure ma dit « je ne comprends pas pourquoi tu es une mauvaise élève, alors que tu es de bonne volonté et que tu apprends très vite. » Quand elle ma dit sa j’ai us un léger sourire, par se que sa m’avais fait chaud au cœur.
Le mardi suivant la prof ma demander de réciter ma leçon et grâce a mon heure de col, j’ai su la récité sans aucun problème.
Pour une fois j’étais fière de moi.
Le printemps et déjà la, ma mère est dans le jardin avec ma grande sœur et ensemble elles arrosent les fleurs. Mon beau père est dans le garage, il répare une voiture ancienne et mon grand frère est dans sa chambre. Moi je nettoie ma chambre. Personne étant à l’intérieur de la maison, mon frère est venu dans ma chambre. Dans son regard j’avais compris ce qu’il voulait. Alors dés qu’il c’est approché de moi, je lui ai dit non. Il ma dit que sa serais la dernier fois qu’il ferait sa. Il ma donc une fois de plus violé. Qu’est ce qu’un viole pour vous ? Moi je vais vous dire ce que c’est ! C’est un rapport sexuel non consenti et qui détruit toute une vie ! C’est un acte qui vous sali de la tête au pied et qui vous humilie en vous mettant plus bas que terre ! Et après ? Ce sont les victimes qui ont honte et non les coupables ! Ce sont elle qui se rende malade à cause de toutes ces horreurs ! A si j’étais plus forte ! Avec des si on pourrait en faire des choses ! Oui, mais voilà ! Je suis une enfant sans défense et aucun adulte pour m’aider.
C’est bientôt la fin de l’année scolaire et comme d’habitude j’appréhende toujours les grandes va-cances. Juste avant que je ne parte l’infirmière du collège ma offert une image de la vierge marie en m’annoncent que l’année prochaine elle ne serra plus la. J’étais dégoûté qu’elle s’en aille ! Car je l’aimais bien cette infirmière ! Elle avait toujours était très gentille avec moi ! Mais c’est la vie ! J’espère sim-plement que la nouvelle infirmière sera aussi mieux qu’elle.
Je voyais mes camarades de classes ce réjouir pour les vacances avec pleins de projets. Mois j’avais déjà mon planning en tête ! Le ménages, s’occuper des petites sœurs et du petit frère, et pour la finale, servir de poupée gonflable a mon beau père et a mon frère.
Les vacances commence, levée 7 h 30 pour s’occuper des bambins avec ma grande sœur, faire le ménages de la maison dans la matinée et l’après midi nettoyer la grande cour.
Un midi mon beau père est rentré manger et ma demandé de donner un coup de ballet dans la benne de son camion et comme d’habitude après avoir dîné j’ai exécuté les ordres de monsieur. Du coup il a demandé à ma mère s’il pouvait m’emmener avec lui faire des livraisons et ma mère à accepter en disant que je ne le mériter pas. Alors sur les coups de 14 h nous sommes partis. Pour une fois j’étais contente, et puis en faisant ces livraison il ne pourra pas me violée surtout que nous sommes a l’extérieur de la maison, du moins c’est ce que je penser et je m’étais bien tromper ! Car au bout de deux livraisons mon beau père c’est arrêter sur une aire de route sur lequel il y avait très peu de gent et ma ordonner d’aller avec lui dans cette étendu d’arbre qui ressembler a une toute petite foret. Et nous sommes allé au plus profond de ce petit bois, et la encore une fois il m’a violé ! Et quand nous sommes rentrés à la maison, je haïssais ma mère d’avoir accepté que j’aille avec ce satané beau père. Mais sa lui étais bien égale que je me faisais salir et que j’étais malheureuse, mais heureusement que la rentrés des classes ce rapproche.
Cette année je rentre en cinquième et ma grande sœur en quatrièmes.
Cette année la, ma sœur vas dévoiler son lourd se-cret a une de ces amie, mais attendons un peu ! Nous sommes fin novembre et mon principal convoque ma mère et moi même à cause des mauvais résultas de mes cours. Pendant ce rendez vous ma mère a fais la gentille avec moi et la prof ma dit que si je voulais lui parler il n’y avait pas de problème et ma mère ma dit qu’il ne fallait pas hésiter à aller voir ma principal. Alors le lendemain avec une ferme décision j’étais décider à briser ce silence et j’ai demande a ma prin-cipal si c’était possible de lui parler. Elle ma donc donner rendez vous entre midi et deux pour parler. Je me suis rendu au lieu de rencontre avec une terrible angoisse. J’étais la assise sur ma chaise sans savoir comment lui dire, du coup elle ma demander ce que je voulais lui dire. Voyant qu’elle n’était pas passientes, je lui ai simplement dit qu’a la maison il m’était pas possible de travailler correctement mes devoirs en disant que mon petit frère faisait trop de bruit et que sa m’empêcher de me concentrer dans mes devoirs. Du coup le principal a marqué un mot dans mon carnet de correspondance pour ma mère, en demandant s’il était possible que je fasse mes devoirs en études. Et elle a accepté. Du coup tous les soirs je faisais mes devoirs au collège. Mais j’avais du mal à me concentrer sur mon travail. Apres tous cela c’est ma sœur qui a parlé à une de ces amies que mon beau père lui faisait des attouchements d’ordre sexuel. Cette amie la, en a parler a la directrice et la directrice a convoquer ma mère pour lui dire ce qui ce passer avec ma sœur et mon beau père. Ce soir la lorsque ce lui ci est rentré de son boulot, ma mère est allé avec lui chez le grand père et lorsqu’ils sont revenu, mon beau père à taper ma sœur parce que ma mère lui avait tout raconté. Quand j’ai vue cela j’ai laissé tomber de vouloir parlé. Quand est ce que cela ce termineras t’il ? Pourquoi la directrice du collège n’en a t’elle pas parlés aux gendarmes ? Pourquoi et toujours pourquoi ! Un jour tous ce termineras car quand je serais majeur je partirais de la maison, quitte a dormir dans la rue, si mes force tiennes jusqu’ a la. Tout mon être était fatigué. La directrice l’avait remarqué et avait convoqué ma mère pour lui demander de m’emmener faire une prise de sang, pour voir s’il ne me manquait rien dans le sang. Ma mère lui a répondu que oui. Arrivé a la maison elle ma engueulé et ma dit que si la directrice me demandé est ce que je l’ai fait, de lui répondre oui et de lui dire qui me manqué rien dans le sang.
Au bout de deux semaines, celle ci est venue me demandé qu’ est ce qu’il en était pour la prise de sang. Je lui ai répondu ce que ma mère m’avait dit de dire. Alors après elle m’a demandé d’où venait cette fatigue que j’avais, je lui ai répondu que ma mère et moi même ne le savions pas. Quel que fois je me dis que sa serais mieux que je meurs. Monté au ciel pour rejoindre mon vrai père et être enfin libre. Mais sa serras pas aujourd’hui car je n’en ai pas la force.
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:55

Puis un mercredi matin étant privé de bonbon et que ma mère étais toujours entrains de dormir, j’ai fais du caramel pour m’en faire une sucette, et s’en le vouloir je me suis brûlé une bonne partit de la main droite. Sa me faisait horriblement mal. Alors j’ai mit ma main sous l’eau froide et je suis partit au collège. La première heure du matin, cours de mathématique, la prof ne comprenais pas pourquoi j’écrivais de la main gauche, je lui ai donc dit que je m’étais foulé le poigné. Elle ma crue et elle n’a pas vérifié. Deuxièmes heure, français, celle-ci ma poser la même question et quand je lui ai dit que je m’étais foulé le poigné, elle ma dit d’écrire de la main droite, alors c’est ce que j’ai essayé de faire tous en essayant de caché ma brûlure. La prof avait remarqué que je caché ma main sous la manche de mon pull et la, elle ma demandait de lui montré ma main. Et quand elle a vue ma main brûlé aux deuxièmes degrés, elle ma envoyait a l’infirmerie en disant « je comprends mieux pourquoi tu n’arrives pas à écrire ! » Et la j’ai fait connaissance avec la nouvelle infirmière tout en me faisant soigner. Elle ma demandait comment j’avais fait cela. Je lui ai répondu que j’avais fait sa avec du caramel que j’avais voulus faire. Alors elle ma demandé si ma mère l’avait vue, je lui ai répondu « ma mère dormais encore et elle ne l’a pas vue ». Elle ma fait un petit sourire et ma laissait retourné en cours. En cours la prof de français ma demandait si sa allé mieux. Je lui ai dit oui et la, elle ma laissait écrire de la main gauche. Le midi lorsque je suis retourné a la maison, ma mère avais vue que je m’étais brûlé la main, elle m’a donc engueulé en di-sant que j’étais une moins que rien et que je n’étais qu’une incapable et par la suite elle ma taper. Cela ne me faisait plus rien, car j’en avais l’habitude. Il m’arrivait parfois de rigoler lorsqu’elle me tapé, alors elle tapait de plus en plus fort et mois je m’écroulé de rire, je devais être vraiment barjo ! Ma mère baisser les bras car elle en avait mare de me voir rigoler et pourtant elle taper fort ! J’en ressortais avec des bleus ! Mais je ne sentais plus la douleur.
A 14 ans on est plus résistant à la douleur ! IL me restait encore quatre ans avant de pouvoir m’enfuir et d’être enfin libre.
Un jour, lorsque j’en avais râle bol, j’ai écris sur une feuille l’histoire d’une petite fille qui vivait la même chose que moi, sans parlé des viole et je suis allé voir l’infirmière pour lui demander ce qu’elle pensait de l’histoire. Elle a fermé la porte de l’infirmerie et a lue mon histoire, par la suite elle ma dit « cette petite fille ne serais ce pas toi ? Avec hési-tation, Je lui ai dit « oui cette petite fille c’est moi ».
Alors elle ma dit « je comprends certaine choses. Comment est ton beau père avec toi ? » La question qu’il ne fallait pas poser ! Du coup n’ayant pas le courage de parler, je lui ai dit que ça se passé très bien. Je ne sais pas si elle ma crue, mais en tous cas elle avait compris beaucoup de choses sur moi. Cette infirmière était vraiment bien, je l’appréciais beaucoup. Mais mon histoire en est restée la ! Ma mère ne la jamais sue. Avant de partir en grande vacances, l’infirmière ma souhaiter bonne chance pour la suite, car l’année prochaine c’est moi qui quitte le collège pour aller en quatrièmes technologique dans le lycée qui ce trouve juste à coté. Sa me faisait mal de la quitter, mais parfois on n’a pas le choix ! Et la vie doit pouvoir suivre son chemin, mais c’est la vie ! Me voilà partit pour les grandes vacances. Ma mère, mon beau père et les petits bambins ont prévue de passer 1 semaine à la mer. Ma grande sœur et mon grand frère sont restés à la maison. Et ma mère pour ce débarrasser de moi, ma mit en vacance chez la marraine a ma grande sœur. J’étais toute contente d’être une semaine sans ma famille. Enfin de la tranquillité ! Je vais pouvoir me reposer, jouer, et me détendre un peu. Mon premier jour de vacances fus un peu dure pour moi, car vue que j’avais l’habitude de faire le ménage, j’ai passé la serpillière et un coup de ballet et lorsque j’ai us fini, j’allais faire la poussière, lorsque le petit ami de la marraine a ma sœur ma dit gentiment « tu n’es pas chez ta mère ici, alors laisse tomber le ménage et détend toi. Je ne t’ai pas pris en vacance pour faire le ménage, mais pour que tu puisses souffler un peu. » Alors je lui ai demandé si je pouvais allais voir les chevaux du voisin. Il ma répondu « tu fais ce que tu veux, mais tu nous préviens avant pour qu’on te cherche pas. »
Toute contente je suis allé voir les chevaux et la j’ai fais connaissances avec le propriétaire, a qui j’ai demandé si il était possible de faire une balade. Il ma dit oui. Il voulait d’abord voir comment je montais. Il est donc allé chercher une bride et je suis monté a crue. Cela veut dire sans selle. Du coup je suis partit en balade en fin d’après midi. J’ai adoré, j’ai fait du galop, du trop et du pas. Mais ce que je préfère c’est le galop. Ce soir la je suis allé me coucher car j’étais fatigué. Mais cette fatigue n’était pas celle du travail, mais une bonne fatigue car je m’étais amusé. Le len-demain je suis parti a la fêtes foraine avec la voisine et la j’ai tiré avec un fusil sur des ballons et la je me suis imaginé que c’étais mon beau père. La encore, je me suis bien amusé. La semaine est vite passé et ma mère, au retour de la mer, étais venu pour me chercher. Je ne me réjouissais pas du tous a l’idée de repartir avec ma mère. Alors le petit ami de la marraine a ma sœur a dit a ma mère « laisse nous Delphine jusqu’à la fin août, comme sa, elle pourra nous aider pour le ménage. » Elle a donc accepté.
Puis deus semaines après ma sœur m’a téléphoné pour me dire qu’elle avait fait une fugue. Elle avait dit à sa marraine, qu’il ne fallait pas que je rentre à la maison, car elle avait peur pour moi. Juste après ma mère m’a téléphoné pour me dire qu’elle venait me chercher. Je me suis isolé pour pleurer en sanglot. La marraine a ma sœur et son ami n’ont rien pus faire ! Je suis donc retourné chez moi. Mais je sais une chose, c’est que j’avais passé de super bonne vacance. J’ai même pas u le tant de dire au revoir au voisin et a ces chevaux. De retour à la maison, le ménage m’attendait les bras ouvert et le nettoyage de l’extérieur m’attendait lui aussi, les bras ouvert. Heureusement pour moi la rentrée des classes ne va pas tarder. Puis je me suis remise à faire mon boulot, sauf que la, j’en avais deux fois plus, car ma sœur a pris en main sa vie. Il me tarde moi aussi à prendre en main ma vie. Écoutez-moi bien, cette année mon nouveau lycée va bouleverser ma vie ! Tous d’abord, j’ai petit à petit fais connaissance avec la surveillante et avec l’infirmière. Puis je me suis fait des amies. Comme depuis toujours, j’étais mauvaise élève et les garçons ce moqué de moi. C’est normal car j’étais mal habillé, j’avais de grosse lunette et des cheveux légèrement court.
Je ne ressemblais à aucune des filles de ma classe, car elles étaient maquillées, elles avaient les cheveux mi long, et elles étaient habillées à la mode. J’étais un petit peu jalouse de voir qu’elles étaient toutes jolis et que moi je ressemblais a une pauvre fille. Puis j’ai fais connaissance avec ma prof de mathématique. En plus des mathématiques, elle nous faisait aussi cours d’informatique. La sale d’informatique étant trop petite nous étions séparés en deux groupes. Pendant qu’un groupe tapé sur les claviers d’ordinateur, l’autre groupe était avec Laurence, la surveillante. Avec elle, on faisait nos devoirs que la prof nous laisser. Puis au bout de quelque temp, la surveillante nous a proposé des cours de soutiens le lundi entre midi et deux. J’étais la seul à y aller. Au bout de quelque temp, je lui ai dit que j’étais maltraité par ma mère. Alors elle ma dit qu’elle ne pouvait rien faire car elle n’avait aucune preuve. J’étais dessus car ce jour la j’avais des bleus mais qu’on pouvait confondre avec ceux de quelqu’un qui vient de tombée. Elle aussi m’a demandé si avec mon beau père sa allé, et comme d’habitude je lui ai dit « sa vas très bien avec mon beau père. » Pourquoi a chaque fois ou l’occasion ce présente pour m’en sortir, je n’arrive pas a parlé de ce que je vie a la maison avec mon beau père. Ce qui m’en empêché de parler, c’est tous simplement la honte de dire que je suis sale et la peur d’être juger, comme si c’étais moi la fautives. Alors que je suis que victimes. Et nous sommes restés la.
C’est le week end, cette fois la ma mère a pris la tondeuse a cheveux et me les a coupé. Le lundi matin je suis allé en cour en me mettant un foulard sur la tête, pour éviter les moqueries des camarades. Mais sans aucun succès, car ils ce sont foutu de ma gueule. Alors pendant la récré ma prof principal ma dit genti-ment, qu’il valait mieux que j’enlève le foulard, et lorsque elle a vue ma coupe de cheveux, elle ma dit « c’est vraie que c’est court, mais sa te vas bien ». Je savais que c’étais faux et que sa ne m’allais pas du tout et j’ai hésité a rentré en classe.
Et quand je suis rentré en classe, mes camarades ont rit. Je suis sortit de la salle pour me réfugier au toilette. Du coup la prof leur a parlé et elle ma cher-cher par la suite. La surveillante a dit a ma prof de retourné dans sa classe et qu’elle me chercherait. Je suis resté une bonne demi-heure enfermée dans les toilettes et puis elle m’a trouvé. Elle ma dit de sortir des wc, et je suis sorti pour retourné en cour. Pendant la pose, entre midi et deux, certaines filles sont venues s’excuser.
Un mardi je suis allé a l’école malade je n’étais vraiment pas bien.
J’ai commencé mon cour avec la surveillante pen-dant que l’autre groupe aller en informatique, et la je me suis endormit sur mon bureau. La surveillante m’a réveillé et ma demander si sa allé. Je lui ai répondu que oui et que j’étais simplement fatigué. Elle a bien vue que j’étais malade et elle ma dit que j’avais le droit d’être malade. Alors elle m’a envoyé à l’infirmerie. J’avais de la fièvre, mais j’ai dit à l’infirmière qu’il était hors de question que je rentre chez moi. Elle ma demander pourquoi et je ne lui ai pas répondu. Je suis donc retourné en cour. Et comme d’habitude ma mère n’à rien remarquer encore une fois, lorsque je suis rentré à la maison.
Je suis sur que même si j’étais mourante elle ne l’aurait pas remarqué. AH ! Si je pouvais mourir ! Je serrais certainement heureuse la haut, et personne pour me faire du mal. Mais pour le moment je suis bien vivante, malheureusement.
Nous sommes dimanche matin tous le monde est allé chez le grand père, sauf moi et mon beau père. Cette fois si, il m’a violé dans la salle de bain. Alors que j’étais entrain de nettoyer le lavabo, mon beau est entré et a commencer comme d’habitude par me caresser et a par me pénétrer. Je le voyais dans la glace, qui fermé les yeux et qu’il prenait son pied. Et comme d’habitude j’ai fermé ma gueule. J’en avais mare de souffrir, j’en avais mare d’avoir honte, et j’en avais mare de la vie que je menais.
Avec le lycée, nous préparions la sortie de fin d’année et pour cela nous sommes allées les deux derniers samedi de décembre dans une grande surface pour récolter de l’argent en emballant des jouets, dans du papier cadeau. Cet argent va pouvoir nous aider à payer notre voyage au Futuroscope, qui a lieu début mai.
Étant donner que nous avions ramassé beaucoup d’argent, il restait plus qu’aux parents d’élèves à don-ner 50 francs.
Deux semaines avant le départ au Futuroscope, la prof a demandé si ont avaient tous payé. J’étais la seul à ne pas avoir payé et ce matin la, j’avais rendu le coupons que ma mère avait rempli, en disant que je n’irais pas. Alors la prof ma presque engueulé, par ce que ma mère m’interdisait d’y aller. J’ai donc dit que c’étais pas moi qui ne voulait pas, mais que c’était ma mère. Alors, la directrice du lycée a convoqué celle ci pour lui dire que c’étais un voyage obligatoire, et que si elle ne voulait pas payer, c’est le lycée qui payeras. Alors j’y suis allée et j’en remercier la directrice.
Pour y aller, nous avons pris le car, et une fois là bas, nous avons déposé nos sacs dans l’hôtel, spécifi-quement pour les groupes. Les chambre étais faite de quatre lits d’une place. Ce soir la je ne sais pas pour-quoi, mais j’ai raconté a mon amie Laury ce que mon beau père me faisait subir. Cette fois ci je veux parler du viol. Elle ma dit qu’il ne fallait pas que je reste comme sa, et que dés demain elle en parlerait a la prof. Alors, de peur, je lui ai dit que j’avais menti et que c’étais pour voir, si je pouvais compter sur elle. Alors elle m’a répondu que c’était mal de mentir sur des choses graves. Puis nous nous sommes endormies. La seul chose que je voulais, c’étais de pouvoir parler a quelqu’un, mais pas de démarrer une affaire. Le lendemain avec mes camarades nous avons visité Poitiers. Puis le jour suivant nous sommes allée au Futuroscope, et la je me suis vraiment éclatée. J’ai entendu discrètement les profs parlaient entre eux, en disant qu’il m’avait jamais vue aussi joyeuse. C’est normal que j’étais aussi bien ! Je n’étais pas chez moi ! Je ne pouvais que sourire. Le jour d’après nous sommes retourné au lycée. Ma mère est venu me chercher, alors pour la première fois je lui ai raconté ce que j’avais fais. Ma mère ma dit par la suite «j’espère que t’en a bien profiter ! Car dés demain, tu vas devoir faire le ménage et m’aider pour les petits. » En me disant cela, elle m’a dégoûté. J’en avais tellement mare ! Je n’en pouvais plus ! J’étais fatigué de vivre dans cette merde ! Alors deux semaines après ce voyage, pendant la récré, je suis allé voir Laury en lui disant que je n’en pouvais plus et qui fallait qu’elle m’aide. Elle m’a donc dit «Alors c’étais vrai ce que tu ma dit a l’hôtel cette nuit la ! Mais pourquoi tu ma dit que tu avais menti ?
– Parce que j’avais peur que tu parle et de ce qu’il allait arriver par la suite.
– Si tu ne veux pas que j’en parle, c’est d’accord, mais dés que tu te sentiras prête, n’hésite pas à me le dire !
– Il n’y a pas de soucis.
Alors j’ai réfléchi et pendant la récré de midi et deux heure, je suis retourné la voir, en lui disant « Laury, j’ai réfléchi et si tu veux en parler, parle s’en a Laurence, la surveillante.
– Puisque tu es décidé je vais voir tout de suite Laurence avant que tu ne change d’avis.
– Merci Laury.
Alors elle est allée voir Laurence pour lui parler de ce que je vivais avec mon beau père et moi je me suis réfugié dans mon coin. Au bout de quelque minute Laurence est venu me voir en me disant que Laury avait craché le morceau. Il était trop tard pour revenir en arrière. Je tremblais, car je ne savais pas ce qui allé ce passé, mais lorsque Laurence ma dit cela, j’ai senti en moi le poids de se lourd secret, d’un seul coup tomber. Comme si on venait de me coupé les chaîne qui m’avait étouffé jusqu’à présent. Je me sentais plus légère.
Du coup cette après midi la, je ne suis pas allé en cour. J’étais allée au CDI avec Laurence, car elle avait un travail à finir, pendant ce temp, j’ai lue un livre sur les chevaux. J’avais tellement honte que c’est à peine si je pouvais regarder la surveillante. Puis la sonnerie a retenti pour dire qu’il était l’heure de rentrer à la maison. J’ai donc quitté Laurence pour rejoindre ma mère au portail du lycée. Une fois dans la voiture, mère ma dit :
– Tu en fais une tête ! Qu’est ce qui t’arrive ?
– C’est rien, je suis juste fatigué.
Alors ma mère ma cru et ne ma rien dit par la suite.
Le lendemain comme d’habitude je me suis levé pour aller au lycée et la ma mère ma dit « aujourd’hui tu ne vas pas a l’école. J’ai besoin de toi.
Je lui ai répondu que ce n’était pas possible, que ce matin la j’avais un brevet blanc.
– Vas-y ! Comme sa tu ne diras pas que c’est de ma faute que tu la loupé ! Puisque tu es une bonne a rien.
En arrivant au lycée, Laurence m’attendait devant la porte d’entrer de l’établissement, pour que je parle de ce que mon beau-père me faisait. Elle m’a emmené dans une salle ou il n’y avait personnes.
En y allant nous sommes passé devant l’infirmerie et l’infirmière a dit a ce moment la « pauvre ga-mine ! » A ce moment la, sa me faisait mal d’entendre sa, et j’ai sue qu’elle était au courant de ce que j’avais dit. Quand nous sommes arrivées dans la salle, Laurence avait avec elle des feuilles et un stylo. Par la suite elle m’a demandé ce que me faisait mon beau père et ou sa se passait. Alors j’ai baissé la tête et je suis resté muette pendant une bonne heure, car les mots ne venaient pas, j’étais effrayé et j’avais honte. Du coup elle ma passait son stylo et une feuille de papier et la tout en tremblant, j’ai répondu par écrit : il mettait son sexe dans ma bouche, me pénétrais devant comme derrière. Sa passer dans le salon, dans la cuisine et dans la salle de bain. Sa se passait bien sept a dix fois par ans. A la fin de l’interrogatoire elle ma dit qu’elle en avait parlé a l’infirmière, et que nous devions aller la voir. Arrivé a l’infirmerie, c’est a peine si j’ai pue la regarder ! Ce qu’il y a de sur, c’est que j’avais perdu ma langue. Impossible de dire un mot. L’infirmière m’a demandait si j’avais faim, je lui ai fait signe de la tête, non. Mais elle m’a quand même préparé une tisane et des biscottes avec du beurre. Alors je l’ai but, et c’est avec difficulté que j’ai mangé les biscottes. Puis pendant la récré, la directrice
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:56

est venus me voir a l’infirmerie, et m’a demandé si ce que j’avais dit été vrai. J’ai répondu « oui » et la je me suis effondrais en larmes en disant « j’en ai mare ! » L’infirmière et Laurence mon vraiment réconforté et puis j’ai voulu allais en cour. Donc j’y suis allé accompagner par la surveillante. Mon yeux étaient rouge, du aux larmes verset. Quand je suis rentré en classe, j’ai baissée la tête pour éviter qu’on me regarde. Le prof étais bizarre, car il me regardé, comme si il avait de la peine pour moi !
Était il, lui aussi au courant de mes problème ? La réponse se voyait dans ces yeux. Tous les profs étaient au courant de mes problèmes. Puis a la fin des cours je suis rentrée chez moi. J’ai fait comme d’habitude pour ne pas montrer à ma mère que j’avais parlée. Le dimanche qui suis je suis allé a la fêtes de mon lycée, dans lequel j’ai bien faillit rester avec mon beau père. Pour une fois elle m’avait laissé me promener seul a regardé les différent stands. Puis par la suite j’ai vue la directrice et la je me suis senti mal. Tous sa, par ce que je ne savais pas ce qu’il allait ce passer. Quand elle ma vue et qu’elle m’a demandais si sa allé bien, mon cœur a accéléré. Je lui ai répondu doucement que sa allé, même si ce n’était pas le cas, et j’ai tracés mon chemin. Comment voulez vous que j’aille bien ! Alors que j’étais dans la peur de ce qui ce passera par la suite ! Mais je remercie son geste. Vers la tombé de la nuit j’ai rejoint ma mère et nous sommes rentré a la maison. Je venais de passé une bonne après-midi.
Le lundi je me suis levée et mon beau père a profité que ma mère dorme pour encore une fois me violé. Alors dans ma tête, je me suis dit : « vas y profites en bien car c’est peut être la dernière fois que tu le fais ». En me violant, il disait toujours les mêmes phrases : « t’est une vraie petite salope, t’aime sa ma cochonne, j’aime tes petites fesses et, laisse moi te défoncé ton petit minou. »
Tous c’est mot me rendais malade. Puis ce matin la c’est lui qui m’avait amené au lycée avec son camion. J’avais un peu d’avance, alors je me suis assise sur les escaliers de dehors. J’avais besoin d’être un peu seul et la je me suis mises a pleuré. Alors Laury est venu vers moi en me disant :
– Sa ne vas pas ? Pourquoi tu pleure ?
– J’ai juste besoin d’être seul.
– Je te laisse et si tu veux parler je sui la.
Puis soudain, j’ai vue Laurence s’approché de moi. Alors j’ai essuyé mes larmes et je me suis forcé à sourire pour qu’elle ne voie pas ma souffrance. J’avais une boule dans la gorge, mais j’essayé de caché mon mal être. Loupé, elle c’est approché de moi en disant : « tu sais ! Ta beau sourire, mais je vois a tes yeux que tu as pleuré ! Alors dit moi se qui ne vas pas ! Ton beau père a recommencé ? C’est ça ? » j’ai baissé la tête et je me suis remise à pleurer, en lui disant :
– Non, j’ai simplement envie de resté seul ! C’est tout !
– Il n’y a aucun problème ! Je vais prévenir ta prof que tu rentreras en classe un peu plus tard.
Elle avait raison, je pleuré parce qu’il avait re-commencé. Mais je n’avais pas envie d’en parler. Puis au bout d’une vingtaine de minutes je suis allé en cour. Ce soir la, avant de me coucher, je me suis mise a angoissé sans savoir pourquoi ! Et le lendemain matin cette angoisse étais plus fortes encore ! J’avais un mauvais pressentiment ! Pourquoi étais je si mal ? En tous cas, ce jour la, sans savoir ce qui allais ce passé, j’ai serrais mes petite sœur et mon petit frère dans mes bras en leurs disant « c’est peut être la dernière fois que l’on ce vois, mais j’ai besoin que vous sachiez une chose, quoi qu’il arrive je ne vous oublierais jamais car vous étés tous les trois mes amours. » et en allant au lycée mon cœur étais serais, une boule dans ma gorge me faisait mal et mon angoisse étais plus forte que jamais. Ce n’est pas normal ! Quelque choses vas ce passé, c’est sur ! Mais quoi ?
J’arrive en classe, la prof d’informatique est seul, il n’y a pas Laurence. Était-elle malade ? Je ne sais pas ! Mais mes pressentiments ne me quittaient pas. La prof n’arrêtait pas de regardé sa montre, en me regardant avec un petit sourire.
C’est sur ! Il va ce passé quelque chose, cette choses me concerne ! C’est sur ! Mais quand ? La réponse fut directe, car à ce même moment la direc-trice frappa à la porte ! C’est pour moi ! Je ne sais pas ce qui m’attend, mais je ne vais pas tardé à le savoir. J’entre dans le bureau de la directrice, le cœur bas vite et je retiens mon souffle ! Sur la droite de la porte du bureau, ce trouves Laurence. Elle me regardé avec un petit sourire. Sur la gauche se trouve deux personnes en civile. En entrent dans la pièce, j’ai essayé de comprendre, mais je ne comprenais pas qui étais cet homme et cette femme en civile. Alors la directrice a dit a ce moment la « je vous présente, ou vous le faites ? » la femme a donc prit la parole, et ma dit qu’ils étaient tous les deux des gendarmes et qu’ils étaient la pour m’aider. A ce moment la, j’ai tous compris et j’étais effrayé. Puis, ils m’ont emmené au commissariat de Roman.
En chemin la gendarme m’a dit ce que j’allais de-voirs faire. La première choses que nous avons fait, c’est de parlé de mes problèmes, afin que la gendarme puisse s’assurait, que ce que je dit, est vrai et pour mieux ce connaître. Puis elle ma dit que nous irons dans une autre gendarmerie qui se trouve a Valence, et qui est équipé d’une camera, pour m’évitais de reparler devant le procureur. En quittant le bureau, j’ai vue Laurence dans le couloire de la gendarmerie, et la j’ai craqué. Je me suis mise à pleurer en disant « j’en ai mare, je n’en plus et je suis fatiguer. » Alors Laurence m’a dit tout en me serrant dans ces bras : « maintenant tout est terminé ! Demain seras un autre jour, mais en attendant laisse toi allé et laisse ton cœur ce vider de toutes ces larmes. » Puis, avec la gendarme nous sommes montées dans la voiture, et la elle ma dit qu’il fallait faire vite car mon beau père n’allais pas tarder a arrivé. Lorsqu’elle ma dit cela, j’ai us un moment de panique. J’avais peur, peur de croisé son regard. Du coup elle ma rassuré en me disant : « tu ne crin rien ! Il ne peu plus t’approcher ! On lui a mit les me-nottes ! » Puis nous sommes partie. En arrivant devant l’entrée de la gendarmerie de valence, j’ai été étonné de voir la gendarme, baisser le par soleil de devant. Donc par curiosité, je le lui ai demandé :
– Pourquoi avez vous baisser le par soleil ?
– Par ce que sur le par soleil y a écrit gendarme. Si je ne leur montre pas, ils ne me laisseront pas en-trée.
Alors nous nous sommes rendues dans la salle. La camera était caché derrière une plante. Etant hyper stresser, j’ai sorti ma petite souris blanche en peluche de ma poche. Marianne, la gendarme m’a demandé :
– Qu’est ce que c’est ?
– C’est ma petite sourie, je l’ai depuis peu.
– Elle a un nom ta petite souri ?
– Non, je ne lui ai pas encore donné de nom.
– Ne bouge pas d’ici. Je vais voir ou ils en sont, avec la camera.
Au bout de quelque minute, elle est revenue dans la pièce pour commencer l’interrogatoire.
– Quand est ce sa a commencer ?
– J’avais huit ans, c’était après la naissance de mon petit frère.
– Peut tu me raconter comment sa c’est passé la première fois et ou ?


Avec difficulté j’ai répondu :
– Sa c’est passé dans sa chambre, il commençait par m’embrasser, il ma baisser le pantalon ainsi que le sien et il a….
– Qu’est ce qu’il a fais après ? Prend ton temp. On est pas presser. Je sais que sait pas facile de dire ce qu’il ta fais, mais tu dois le faire !
– Il a par la suite baissé…, ma culotte et a… mouillé son sexe, puis le mien et la il ma… pénétrer par devant. »
– Sa ta fais mal ?
– Oui et après quand je suis allé au toilette j’ai découvert que j’avais du sang qui coulé de…mon sexe.
– Sa ce passé tous le temp dans sa chambre ? Ou sa ce passé aussi dans d’autre pièce ?
– Sa ce passé aussi dans d’autre pièces de la mai-son comme la salle de bain, le salon, la cuisine, la salle a mangé et dans le cabanon de la cours. Une fois, il a abusé de moi sur une air de route.
– Te rappelle tu ou était cette aire de route ? Peut tu nous la décrire cette aire.
– Je ne sais pas ou c’étais, mais je sais qu’il y avait un petit bois, d’ailleurs c’est dans ce petit bois qu’il ma violé.
– Quand ton beau père te violé, étais t’il tous le temp seul avec toi ? Ou y avait-il des fois des membres de ta famille ?
– Non, j’étais tous le temp seul avec lui.
J’ai dit cela pour protégé ma mère et pour qu’elle n’aille pas en prison pour complicité. Vous allez me dire qu’avec tous ce qu’elle ma fait, je ne devrais pas lui faire de cadeaux. Alors moi je vous réponds, qu’une mère reste toujours une mère et que même si elle ma maltraité, je l’aime et c’est pour cela que je la protège.
Marianne ma crue et l’interrogatoire a durée deux bonne heures.
Nous sommes donc retournées à la gendarmerie de Roman.
Alors j’ai demandé a Marianne si mon beau père étais encore la. Elle m’a répondu : « oui, il est toujours la ! Mais tu n’as rien à craindre car la porte du bureau ou il se trouve, est fermé et il y a deux gendarmes devant la porte. » Sachant qu’il était la, je n’ai pas voulu descendre de la voiture. Elle a donc prie son portable pour appelé son collègue de travail, en lui demandant ou ils en étaient avec mon beau père. Ils n’avaient pas encore terminai, alors la gendarme a insisté pour que je sorte de la voiture et que je ne craignais rien puisque j’étais avec elle. Je suis donc sorti et je me suis mise derrière Marianne et en passant devant le bureau qui retenait mon beau père, j’ai marchais sur la pointe des pieds pour qu’il ne puisse pas m’entendre. Puis vers une heure Marianne m’a proposé d’allé avec elle, chercher des repas chez Macdonald. En arrivant sur place elle ma demandé ce que je voulais, je n’ai pas su répondre car je ne connaissais pas les menus. Alors elle a prie les même menu pour elle, ces collègues et pour moi. J’ai donc dit à Marianne :
– Il en manque un ! Et mon beau père, vous ne l’avais pas compté !
– Ton beau père ne mangera pas, sa le punira pour ce qu’il ta fait !
Ce jour, la j’ai mangé pour la première fois Macdo en compagnie de tous les gendarmes. Cela, ma énor-mément marqué et ma mis vraiment mal alaise, car c’était pratiquement que des hommes.
Après le repas Marianne ma emmené a l’hôpital pour voir un gynécologue. Le médecin était un homme. Il était hors de question que je rentre seul dans son cabiné. J’ai donc demandé a Marianne, si elle pouvait m’accompagner. A cela, elle ma répondu qu’elle n’avait pas le droit. Du coup c’est une sage femme qui ma accompagné. Pendant l’examen j’étais tétanisé par la peur, je me sentais mal, j’ai donc fermé les yeux en me disant ce n’est qu’un cauchemar.
Après cet examen médical, je suis resté une heure et demie à me tourner les pouces dans le bureau de Marianne.
Puis ma grande sœur stephy ma rejoint et c’est jeté dans bras en me disant :
– Je suis vraiment désolé de ne pas t’avoir aidé !
– ce n’est pas grave !
– pour quoi nous ? Qu’est ce qu’on a fait pour mériter sa ? »
Et elle a commencé à pleurer. « Arrête de pleurer » lui ai je dis « car tu vas me faire pleurer » sa n’a pas loupé, je me suis mise a pleuré. Au bout d’une demi heure elle est repartis alors je suis allé a la fenêtre du bureau et la j’ai vue mon beau père menotté aux mains et pieds. Il ne faisait pas le fière !
Puis dans une voiture de gendarme je suis retour-née au lycée et les gendarmes sont allé chercher mes affaire chez ma mère, car ce soir je dors a l’internas de l’école. Quand je suis arrivé, Laurence a insisté pour que je mange. Je n’avais vraiment pas faim ! Je pensé qu’a dormir ! La journée que je viens de passé, a été riche en émotion. Ce soir la, je me suis retrouvé dans la chambre de Laury et j’ai été accueilli chaleureusement par celle ci, mais aussi par Amandine, Elisa et klervie. Elles m’ont donné des gâteaux et de la boisson. A ce même moment la directrice est entrée dans la chambre. On c’est retrouvé toutes les quatre con. Elle nous a demandé ce qu’on faisait et Elisa a répondu : « on accueille Delphine » en parlant de moi. Elisa était une fille bien, le même genre que Laury, une fille qui vous écouterez, quand on ne va pas bien. Puis on c’est couché et le lendemain lorsque je suis allé déjeuner, une fille que je ne connaissais pas du tout, ma demandait pourquoi la veille, je suis revenu avec une voiture de gendarme. Je lui ai répondu que sa ne la regardé pas. Puis Elisa est venu me chercher pour me maquillé et pour me coiffer. J’étais enfin heureuse, mais sa me faisais bizarre. Et quand je suis rentré dans la classe, les garçons sont resté con et mon dit que sa me changé et que sa m’allais bien. Même la prof principal a était surprise et elle a dit « je vois qu’on c’est occupé de toi ! » sa me changeais de voir les gents s’intéressé a moi. Ma mère c’est jamais intéressé a moi, alors sa me changé.
Le week-end vas pas tarder a arrivé et je ne sais toujours pas ou je vais le passer. Si c’est ici ou ail-leurs, alors, pendant la récré je suis allé demander à Laurence, qui elle non plus ne le savait pas. Le ven-dredi entre midi et deux Laurence la surveillante est venue me voir en me disant une bonne nouvelle, que j’allais passé le week end chez ma tante Gisèle. Ma tante et son époux mon accueilli chez eu et mon pro-posé de vivre avec eux. J’ai tous de suite accepter et ils mon présentais a tous leurs amie que je ne connaissais pas. Les premières personnes à qui ils m’ont présenté c’est Samuel et sa femme, des amies à eux. J’étais enfin heureuse. Mais j’avais du mal, je n’osé pas faire grand choses et quand je voulais aller quelque par ou boire du coca, je demandais a chaque fois a ma tante. Et a chaque fois elle me disait la même chose : « fait comme chez toi et quand tu veux quelque chose, tu te sers sans demandé. » Du coup la semaine je dormais a l’interna et le week end chez ma tante. Donc le lundi je suis retourné au lycée et les jeunes de ma classe ma accepté, car j’étais devenu comme les filles de ma classe. Je veux dire que moi aussi j’étais maquillé et habillé a la mode. Et non comme une clocharde. Cette semaine la je suis tombé malade, et ma fièvre tour né entre 39 et 40, du coup le lycée a appelé le médecin. Il n’a pas sue dire ce que j’avais. Alors je passé mes journée a l’infirmerie et a l’interna. Le prof d’anglais en a profité pour venir me voir et ma dit : « t’es une fille vraiment courageuse et je suis fière de toi, car malgré les problèmes que tu avais, tu as donné le meilleur de toi même. Beaucoup aurais baissé les bras, mai toi, non et je t’en félicite. Avant qu’il aille a son cour, il ma dit : « soigne-toi bien et bon courage pour la suite. Au bout de quelque jour je me suis senti mieux.
Les grande vacances sont déjà la, j’ai le cœur séré de devoir quitté tout mes amies, car l’année prochaine je ne reviendrai pas. Pour une fois, j’étais contente de voir les vacances arrivés. Tout avait bien commencé !
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:57

Car pendant ces vacances la, ma tante ma présenté a une de ces amies qui avais une fille un peu plus jeune que moi, et qui avait deux chevaux. J’ai très vite sympathisé avec cette fille et je suis partit une semaine en vacance chez elle. J’ai passé les plus belles vacances de ma vie. J’étais monté a cheval, mais j’étais aussi partit en suisse. La bas j’ai fait connaissance avec une handicapé, et j’ai u une immense joie de m’occupé d’elle. Puis je suis retourné chez ma tante que j’aimé bien, d’ailleurs je lui ai demandé si je pouvais l’appelé maman. Alors elle ma répondu qu’elle ne voulait pas remplacer ma mère, mais qu’elle ne ferait pas de différence avec ces enfants. Donc la réponse fut non. Je ne lui en voulais pas, car elle n ’avait pas tord. Une mère reste une mère. A coté de chez ma tante il y un magnifique cheval, alors je passe un peu de temp pour le caresser et lui donner de l’herbe. Par la suite j’ai fait connaissance avec son propriétaire, et la je lui ai de-mandé : « comment s’appel t’il ? Est ce que je peu le brosser ? »
Il ma répondu : « il s’appel Diamant et si tu veux le brossé tu peux, car je n’ai pas bien le temp de le faire. » Alors tous les samedis j’allais le brosser. Étant content de mon travail, le propriétaire du cheval a voulu me donner de l’argent et j’ai refusé, car je faisais sa pour le plaisir.
Pendant ces vacances la, mon oncle Jean, le frère de mon père qui est décédé a téléphoné chez ma tante pour me parler et ma traité de menteuse, pour la plainte que j’ai déposé pour mon beau-père. Cela ma profondément blessé ! Il ne se rendait pas conte de ce qu’il venait de me dire, car ce n’est pas lui, qui durant toute ces année, a dus subire toutes ces horreurs ! Mais moi ! Au point en vouloir mettre fin a mes jours ! Mais sa il s’en fout complètement ! Et j’espère qu’un jour il se rendra compte de ce qu’il ma dit. Car il n’est jamais trop tard pour réparer ses erreurs. Du coup je lui ai raccroché au nez. Comme tout les samedis, Samuel, l’ami de mon oncle et de ma tante est venu boire l’apéro. Je l’aime bien et il est très sympathique. Il élève la fille de sa femme et rien qu’en discutant avec celle ci, je voyais bien qu’elle était épanouis. Au fond de moi j’ai pensé qu’elle avait de la chance d’être tombé sur un beau père qui ne profite pas d’elle. J’aurais bien voulu avoir un beau père aussi gentil. Du moins c’est ce que je pensé.
Un jour il a demandé à ma tante s’il pouvait m’emmener pour manger une glace à l’étang de ro-sière. Ma tante lui a répondu : « si Delphine est d’accord, je n’y vois aucun problèmes ! » Étant d’accord, nous sommes parti pour l’étang. En arrivant devant celui-ci, on us la grande surprise de le voir fermé. Au lieu de faire demi-tours, l’ami de ma tante a continué tout droit sur la route. J’ai commencé par avoir de mauvais pressentiment, alors il ma dit : « tu ne me fait pas confiance ? » Je lui ai alors dit d’une aire inquiète : « si, si. Pourquoi tu me dis sa ? » Au fond de moi le doute s’installait, mais je pensais que sa venais de mes problème que j’ai us avec mon beau père, alors je n’ai pas pris en considération mes senti-ment et je me suis dit qu’il était temp pour moi de refaire confiance. Nous avons continuer un peu plus loin dans une foret et nous nous sommes arrêté. Il ma dit qu’il allé au petit coin, et moi en trouvant le temp long, je suis sorti de la voiture car il faisait chaud. Par la suite je me suis mise contre un arbre. Puis sans le voir arrivé, Samuel ma tenue contre l’arbre en m’embrassant, il ma caressé, ma touché les seins et ma dit qu’il avait envie de moi. Alors j’ai dit « non ! Je ne veux pas ! » Il ma dit « laisse toi faire, je suis sur que tu vas aimer sa ! » Il ma par la suite fait baisser la tête de force et a pris sont sexe pour me le mettre dans ma bouche. Je ne savais plus quoi faire ! J’étais parti de chez ma mère par ce que mon beau père me violé. Je pensé que maintenant tout étais fini, que j’allais enfin être heureuse ! Mais je m’étais trompé et tous recommencer. Comment expliqué a ma tante ce qu’il ma fait. Me croira-t-elle ? Que pensera-t-elle ? Il ne faut pas que je lui dise, car elle risque de ne pas me croire. Nous sommes reparties et il est allé acheter des glaces à la boulangerie et nous sommes rentrées chez ma tante. Alors pour que ma tante ne s’aperçoive de rien j’ai mangé ma glace et je suis parti me baigner dans la piscine, afin de me détendre un peu. Le soir est déjà la et ma tante na rien remarqué de changer chez moi. J’ai envie de lui dire ce que Samuel ma fait, mais je ne peu pas. J’ai trop peur qu’elle ne me croit pas ou qu’elle me traite de menteuse. Depuis ce jour, je me suis jurée de ne plus faire confiance au homme et de me construire une personnalité que nul ne peu blessé par la parole et par des actes de maltraitance. Je ne montrerais plus mes sentiments et le jour ou j’en aurais assez et que sa doit éclater, sa feras mal ! Je mettrais fin a mes jours, ou je parlerais. Maintenant tous est clair pour moi, les hommes sont tous des salots et qui ne pense qu’au sexe. Heureusement pour moi la rentré des classes est déjà la. Cette année je rentre en troisième et dans ma classe quelque imbécile se moque de moi. Ceux qui font sa, c’est ceux qui se croit plus intelligents que les autres, alors qui sont de ce qui y de plus stupide au monde et qui ne connaisse rien a la vie. Dans cette classe j’ai une amie, elle s’appel Davina. C’est une fille géniale et de ce qui y a de plus simple. Il y a une personne avec qui je n’ai pas fait connaissance, c’est l’infirmière. Pendant la récré je suis allé faire connaissance avec celle ci. Je l’ai très vite apprécié, et du coup pendant chaque récréation j’allais la voir, histoire de discuté avec elle. Puis je lui ai raconté mon passé. Depuis que j’ai quitté la maison de ma mère, il me manque une partie de moi. Ce sont mes deux petites sœurs et mon petit frère. Ma mère veut pas que je les voies et que je leurs téléphone et ils me manquent terriblement, car ce sont mes bébés et j’en souffre terriblement.
Nous sommes déjà en octobre et j’ai appris que mon beau-père venait d’être relâché sous caution. Du coup je n’osé plus sortir de chez ma tante. Ma tante ma alors dit que je me faisais du cinéma et que ma réaction étais n’importe quoi. Je me suis rendu conte, que ma tante étais pareil que ma mère. A partir de la, tout a basculait. J’avais l’impression d’être de retour chez ma mère. Elle s’étais mise a me donner des taches ménagère, comme le repassage, le balayage, la serpillière et la poussière. Je devais faire mon lit, le lit de mon petit cousin ainsi que celui de ma tante. J’avais l’impression de redevenir la cendrillon de la maison. Mais elle me laissait quand même, faire mes devoirs. Je disais plus rien, je faisais sans bronché en me disant que le jour ou tous mon être me lâcheras, je le laisserais faire et je me raccrocherais en aucun cas a la vie. Je n’éprouvés plus rien et je me considéré comme un objet. Pourtant si je voulais partir je le pouvais, mais je n’en voyais pas la raison, surtout si c’était pour subir des choses après. J’étais suivi par une psychologue et par une éducatrice, mais a chaque fois que je les voyais, je leur disais que sa allé et que j’étais bien chez ma tante. Pendant les vacances de décembre, Samuel est entrée dans la maison sans frapper, car il avait les clés de celle ci. Je ne l’ai pas entendu rentrer, car j’étais à l’étage et je faisais mon lit. Il est monté et ma demandé si j’étais seul, alors je lui ai répondu que oui. J’étais encore en chemise de nuit lorsqu’il c’est approché de moi et ma couché sur mon lit. Il ma mit des doigts dans mon vagin et par la suite, en me tenant les bras, il ma pénétré de force. Encore une fois souillé ! Est ce qu’un jour j’arriverais à être heureuse ? En tous cas sa ne serras pas décuite. Après m’avoir violé, Samuel ma demandé de lui servir un café et puis il ma donné de l’argent pour que je me taise. J’ai refusé, alors il les a laissé sur la table et il est partit. Pour que ma tante ne s’aperçoive de rien, j’ai pris l’argent qui traîné. Sa me faisais chier de le prendre, mais je n’avais pas le choix. Sachez quand même que le billet ne sachant pas quoi en faire, je les brûlais. Ma tante logeait chez elle un garçon de mon age du nom de Mike. Il faisait un apprentissage de boulanger / pâtissier et on était très amis, c’étais un garçon génial. Au bout de quelque temps j’ai flirté avec lui et c’est aussi avec Mike que j’ai sue la différence entre viole et faire l’amour. C’étais vraiment génial, je sentais du plus profond de mon cœur ce bien être ! C’était très différent par rapport au viole. En tous cas, j’avais bien aimé. Mais notre relation n’a pas durée et on c’est séparé.
Un jour au collège la prof d’éducation civique nous a parlé du viol et de la drogue, alors tous a coup je me suis senti mal, car c’étais comme si on dévoilait ma vie devant toute la classe. J’en avais des frissons partout sur le corps. J’aurais bien voulut sortir de la classe, mais je n’ai pas osé le faire car j’avais peur des représailles. Puis lorsque le cour fut terminais, la prof ma demandé de resté pour me parlé. Et la elle ma dit :
– Je ne tais pas senti très alaise dans le cour ! Au-rais-tu des problèmes ?
– Sa ma rappelais le passé. Si vous voulez savoir, j’ai étais violé a partir de mes huit ans, jusqu’à mes quinze ans par mon beau père.
– Je comprends mieux ton mal être. Si un jour tu as besoin de parlé, sache que je suis la.
Alors je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de soucis. J’avais bien envies de lui dire qu’actuellement je me fais encore violé, mais je n’ai pas pus. Qu’aurait elle pensée ? Déjà que j’avais moi même du mal à croire que sa puisse a nouveaux m’arrivais ! Alors je ne vois pas pourquoi qu’on me croirait.
Un jour j’ai demandé à ma tante si c’était normal que Samuel rentrait sans frapper. Alors elle ma de-mandé si il m’avait fait quelque chose. De peur qu’elle me juge, je lui ai répondu que non, et que c’était juste pour savoir. Si un jour il te fait des avances, tu n’hésite pas à me le dire ! Ma tante me tendait la main et moi comme une conne, je n’ai pas sue la saisir. En fait la seul chose qu’il y a de bien chez ma tante, c’est qu’avec elle on pouvait dialoguer sans aucun problème et je pouvais lui parler des choses que je faisais car elle était vraiment attentive et compréhensible. Mais pour Samuel je n’arrivais pas à lui dire. Je n’avais qu’un vrai ami, Diamant le cheval du voisin. A lui, je lui ai tout raconté, mes peines et mes joies. Mais les vacances de février sont déjà la ! Et ce n’est pas un cheval, qui vas pouvoir m’aidé avec Samuel ! J’ai donc téléphoné a Davina pour qu’elle puisse venir, au départ elle hésitait, mais quand je lui ai dit que c’était pour m’aider, elle est venu sans aucun problème. Au collège, après les vacances, elle m’a demandé :
– Qu’elle est ce problème qui te fait si peur ?
– Je ne peux pas t’en parlé car je sais qu’après tu vas aller en parlé a un adulte.
– Tu sais tu peu me faire confiance, car si tu ne veux pas que j’en parle, je n’en parlerais pas !
– Voilà, depuis le mois d’août dernier je me fais violer par l’ami de mon oncle et de ma tante, et c’est pour cela que je n’aime pas rester seul pendant les vacances.
– Je comprends mieux ! Mais tu sais, il ne faut pas que tu reste comme sa, car sa vas te bouffé.
– T’inquiète pas pour sa, car le jour ou j’en aurais mare, j’agirais en conséquence. Mais tu ma promit de ne pas en parler, alors je te fais confiance.
– Une promesse est une promesse. Mais si un jour tu change d’avis ou que tu a besoin de moi, sache que je serais toujours la pour toi.
Ça, c’était vraiment une amie, car elle n’en a ja-mais parlé. Mais pour les vacances de pâque, elle n’a pas pue venir et Samuel à recommencer ! Cette fois si ça c’est passé dans la salle de bain, j’étais dos à lui et moi j’étais penché vers l’avant, mes mains agrippé sur le rebord de la baignoire. Il me caressé les fesses en me mettant des doigts dans le vagin et en me donnant des petites tapes sur la cuisse, un peu comme dans les films pornographique. Par la suite il a pénétrer son sexe dans le mien très fort et sa ma fait mal. Puis après avoir fais cela, il ma demandé de me tourné vers lui, et en agrippant mes cheveux, il a dirigé son sexe dans ma bouche. Puis il ma dit « tu veux mon sperme dans ta bouche petite saloppe ? » Je lui faisais signe que non, que je ne voulais pas. Puis au moment de spermer il ma tenus la tête fortement pour que je ne puisse pas l’enlevé. Tous en soupirant il me disait « avale-le ! Tu vas voir, après c’est toi qui en redemandera ma petite cochonne ! » Du coup après de s’être retiré il ma demandé si je l’avais avalé, je lui ai fait signe de la tête, en faisant oui, mais en réalité je l’avais encore dans la bouche et j’avais envies de vomir. C’est quand il ma demandait de lui faire un café que j’en ai profité de le crachait dans l’évier discrètement et jusqu’à ce qu’il parte je n’ai même pas osé avaler ma salive car je me sentais plus que sale. C’est une fois parti que je suis retourné dans la salle de bain pour me laver la bouche avec du dentifrice et une brosse a dent. Ce jour la ma bouche n’avait jamais était aussi propre, car avec la brosse a dent j’avais frotté mes dents, mes gencives, ma langue et les parois de ma bouche. Mais malgré tout sa je me sentais plus que sale. Le soir au moment du repas j’ai dit a ma tantes que je n’avais pas faim car j’avais envi de vomir. Alors elle ma donné un médicament et je suis allé me coucher. Quelque jour plus tard, au collège l’infirmière ma demandé :
– Tu vas bien Delphine ?
– Oui, sa vas.
– Depuis la rentrer des vacances de pâque, tu n’es pas comme d’habitude ! Tu ne souris plus et tu parle très peu. Aurais-tu un problème ?
– Non ! Je vous assure que sa vas.
Alors le lendemain matin, j’en avais tellement mare, que j’ai pris des médicaments dans la pharmacie de ma tante et je les ais avalé. Du coup au collège, je me sentais tellement mal, que la prof ma envoyer voir la CPE pour qu’elle me renvois chez ma tante. Alors accompagné par un élève je suis allé dans le bureau de celle ci. La CPE en me voyant, a attrapé peur, en disant j’appel ta tante tout de suite. J’étais très somnolente, c’est à peine si je pouvais tenir mes yeux ouvert. Quand ma tante est arrivé, elle ne s’attendait pas a me retrouvé dans cette état, et elle m’a ramené chez elle. Quand je suis arrivé chez ma tante, je suis allé directement me coucher et j’ai dormit toutes une après midi entière. C’est ma tante qui est venu me réveiller pour m’emmener chez le docteur. Le docteur n’a pas sue dire ce que j’avais. Mais moi seul savais le pourquoi de mon état ! C’était tout les médicaments qui agissaient mais pas comme je le voulais, car j’étais encore en vie. Après une bonne nuit de sommeil, j’étais en pleine forme prête à retourner au collège. La CPE en me croisent dans les couloirs m’a dit « tu vas mieux ? Hier tu nous as fait une sacré peur ! Et je suis contente de voir que sa aille mieux. J’en ai informé l’infirmière par précaution. Je n’ai pas sue quoi dire, alors je l’ai remercié. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis allée voir l’infirmière, de peur qu’elle s’inquiète a mon sujet. En me voyant elle a était très surprise de voir que j’allais bien et elle m’a dit :
– Je ne pensé pas te voir aujourd’hui ! Tu leur as fait une de c’est peur hier ! Qu’est ce qui t’est arrivé ?
– Pas grand choses, j’étais très somnolente c’est tout.
– Tu n’aurais pas pris une bonne dose de médi-cament par hasard !
– Si et c’est pour cela que j’étais dans cette état ! Mais ne leur dites pas.
– Je ne leur en parlerais pas si tu m’explique la raison de ton acte.
– J’ai fait sa par ce que j’en ai mare de la vie et je n’arrive pas a supporté mon passé.
Je n’allais quand même pas lui dire la vraie raison de mon acte ! Qu’aurais t’elle pensé ! Elle aussi m’aurait pas crue pour Samuel, ou elle m’aurait peut être pris pour une pute. Déjà que mois je me sentais comme cela, alors qu’aurais pensé les autres. L’essentiel c’est qu’elle mais crue. Pourquoi nous, les victimes, nous sentons nous coupable de tel horreur, tous sa parce qu’on subit s’en rien dire et a cause de cela on se sent un peu complice. A leur actuel les gents juge sens savoir et se permettent de regarder les autres de travers, alors pourquoi leur parler ! Les gents sont tellement devenu mauvais et égoïste qu’il n’est plus possible de partagé une souffrance. A tel point que maintenant les gents vivent en disant c’est chacun pour soi et ce qu’on récolte, on la chercher. Heureusement qu’il existe encore des gents de bonne fois, mais ils se font rare.
Je ne dis pas sa pour l’infirmière, mais pour les personnes qui se croient supérieur au autre. L’infirmière se trompé guerre sur moi. Elle était pour moi, une conseillère, une psychologue et une confi-dente. Je lui confiais toute sorte de choses, mais je n’arrivais pas à lui dire les violes que je subissais avec Samuel. Il y avait comme un blocage en moi qui m’empêchais de parler. Dans deux moi c’est les grandes vacances, mais je ne préfère pas y pensé. Une semaine plus tard alors que je ne voulais pas faire EPS, je suis allée a l’infirmerie pour dire a l’infirmière que j’avais mal au ventre afin qu’elle me dispense du cour.
Alors elle ma répondu :
– N’aurais tu pas un cours d’eps ? »
– Si, mais je n’ai pas envie de faire du sport.
– D’accord, mais c’est la première et dernière fois que tu sèches le cours. Par contre je suis obligé de te gardé a l’infirmerie.
– Il n’y a pas de problème.
– Sa tombe bien, je risque d’avoir besoin de toi, car une jeune fille du collège a failli ce faire violé hier soir en rentrant chez elle et psychologiquement elle ne va pas bien du tout.
– Que voulez vous que je fasse ? Je ne sais pas si je peux faire quelque chose !
Au même moment la CPE appelle l’infirmière car la jeune fille en question est entrain de faire une crise dans sa classe. Alors elle me laissa seul pour allé chercher celle-ci.
Pendant ce temp plaine de question me vienne à la tête.
Qu’allège pouvoir lui dire ? Alors que je vis encore ces choses atroces ! Comment l’aider ? C’est vrai que je comprends beaucoup de choses des sentiments qu’on peu avoir ! Surtout la culpabilité que l’on porte en soi ! Je verrais à temps voulu et si je peu répondre à ces besoins, j’y répondrais favorablement. La voilà qui revient avec la jeune fille en question et mon cœur bas a cent a l’heure.
L’infirmière entame la parole
– Sophie je te présente Delphine, elle a été violé pendant plusieurs années et si tu as des questions tu peux le lui posé car je pense qu’elle peut t’aider à comprendre. Je te laisse entre de bonne main et si tu a
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:58

besoin de quelque chose, je suis a coté dans le bureau.
– A quel âge a tu étais violé ?
– De 8 a 15 ans. Que s’est il passé hier ?
– Hier en rentrant chez moi, un homme me sui-vait, j’ai trouvé sa louche, mais je me suis pas trop inquiété, mais quand il c’est mit à courir, j’ai us peur ! Alors j’ai essayé de courir le plus vite possible, mais il ma rattraper et ma fait des attouchements. J’ai us de la chance car une voiture de police passé par la et ils sont venus m’aider. Le coupable a essayé de fuir, mais il a été rattrapé par la police. Il est maintenant en garde a vu. Cela m’a fait énormément peur. Je me sens très mal depuis.
– Je sais très bien ce que tu peux ressentir, mais ne laisse pas ce problème te pourrir la vie. T’as vécu sa, une demi heure. Moi, j’étais violé pendant 7ans par mon beau père, j’ai étais maltraités par ma mère. Alors que toi, sa ce voie que ta des parents qui t’aime ! J’aurais aimé vivre avec une mère qui m’aime et qui me donne de l’affection. Et pourtant je continu a vivre, disons que j’ai fini par apprendre à vivre avec ma souffrance. J’ai même appris a contrôlé ma tristesse. Quand ma mère me taper, je ne ressentais plus riens, et j’en riais, pourtant elle m’en laisser des marque, par nomment.
– Je ne sais pas si j’aurais pus supporter ce que ta vécu, aussi long temps.
– Tu sais, je n’aime pas que l’ont me pleine, et j’ai appris a garder le silence et a vivre avec. La force tu la trouveras toi même.
– Merci, sa fait vraiment du bien de parler avec toi ! Je te laisse car je retourne en cours.
– Ok ! Mais si ta besoin de parler n’ézite pas a venir me voir dans la cour de récré.
Et Sophie retourna en classe, et moi pareille.
Le soir lorsque je suis rentrée chez ma tante j’étais contente de ma journée et de ce temp passé avec so-phie.
Le temp passe vite ! Nous voilà en grande vacance, et j’ai peur que sa recommence !
Cette été rien de prévus ! Et pour la rentrée je change de classe et d’établissement. Je rentre au lycée en seconde professionnel en animalerie.
Durant mes vacances d’été Samuel a recommencer, et de nouveau mon cœur s’encrasse ainsi que mon être entier.
Deux moi de vacances qui mon parut longue et me voilà enfin en septembre.
Je rentre cette année en 2nde SVA, qui veut dire service et vente en animalerie. Cette année je me suis faite une nouvelle amie du nom de Jennifer. Une fille très gentille et très a l’écoute ; elle est devenu par la suite ma meilleur ami.
En dehors des cours on était toujours ensemble, a t’elle point que j’ai fini par lui raconter mon passer.
Je l’adore. Puis par la suite j’ai fait connaissance avec martine, une surveillante du lycée, et elle est très gentille.
A si les gents pouvaient voir en moi, celle que je suis vraiment !
J’ai un cœur en or, mais personne ne le vois car temp de crasse le recouvre, tant de aine et d’amertume le cache !
Mais pourtant cette année encore les jeunes se foute de ma gueule !
J’essaye de comprendre, mais je n’y parviens pas et je me demande qu’ai je fais pour avoir était maudit a ce point !
Quand est ce serais je heureuse ! Pourquoi je me sens comme un déchet de la nature ! Mais merde ! Je n’ai pas demandé à naître, moi ! Alors pourquoi tout sa !
Mais note sont pas terrible, cette année encor.
ET OUI le cancre de l’école, c’est moi ! La merde de cette France c’est moi !
J’en ai mare ! Qu’on me prenne la vie ! Et que je meurs a tout jamais ! Seigneur s’il te plait prend ma vie, je peu plus ! Mai rien il m’écoute pas lui la haut.
Les vacances de la tout saint est la, et encore je vais être l’objet de ce putain de Samuel ! À croire que je suis née pour servir de jouet aux adultes !

Et ma tante qui ne voit rien, qui ne comprend pas et ignore ce qui ce passe sous sont toi.
ET la psy que je vois les mercredi, qui n’arrive même pas a déceler la moindre déchirure totale en moi !
Et mon éducatrice, qui sent quelque chose de pas normal et qui attend que je parle ! Mais quand est ce que les gents vont réagir !! Oh ! Je suis la j’ai besoin qu’on m’aide, bouger vous ! Merde !
Je fatigue, et sans même que ma tante le sache, je me suis mise a me faire vomir a chaque repas ! Mais parfois j’oublis de me faire vomir. Je veux cesser de vivre !
Et pourtant je sais très bien que si je parle je pour-rais êtres aider, mais je n’en ai pas la force ! Et puis si je parle ils vont finir par me traiter de menteuse ! De pervers ! De salope !
Que faire !
Je ne sais plus ou j’en suis, alors un jour Jennifer me demanda pourquoi j’étais si triste ! Alors je lui ais parlé de Samuel et de ce qui me faisait. Mais je lui ais demandé de ne rien dire. Alors elle n’a rien dit et pour les vacances de noël elle ma tenu compagnie chez ma tante et lorsque Samuel c’est pointer, il n’a fait que boire un café. OUF !!
Heureusement qu’elle était la car aussi non, j’y au-rais encore us droit. Mais malheureusement, elle ne pouvait pas venir tout les jours, encore une fois de plus pour c’est vacances j’aurais était encore souillé !! J’ai plus envie de vivre ! J’ai envie de m’endormir et ne jamais me réveiller !!!
A la rentrée j’ai retrouvé Jennifer et je lui ais dit ce que j’avais us droit !! Alors elle ma dit qu’il fallait que je parle.
J’ai refusé en trouvant toute les excuses possibles !
Alors elle n’a rien raconté.
Aujourd’hui les profs sont en grève et du coup pour éviter de subir encore une fois les horreur ! Je suis resté en étude ! Et là, la surveillante martine, ma vue et ma dit :
– T’est pas rentré chez toi ?
– Non.
– Mais pourquoi !
– Parce que j’aime l’école !
– N’y a pas beaucoup de jeune qui aime rester en étude quand n’y a pas cour.
– Oui, mais moi, je ne suis pas comme eux !
– Qu’est ce qui ne va pas ?
– Rien tout vas bien !!
– Bon ben je te laisse !
Ah ! Martine ! Si c’était seulement facile de dire mon désarroi.
AU fond de moi je ne peux pas parler ! Je ne comprends pas moi même, ma vie !!Je suis comme perdu !!
En allant au self, le surveillant guillaume ma dit :
– T’est pas rentré chez toi ?
– Non.
– Pourquoi ?
– Parce que j’ai pas mal de devoir et qui n’y as personne chez moi.
– Tu sais je me pose des questions ! Car quand y a pas cour t’est toujours au lycée, t’est pas comme les autre jeune qui eux sont ravit de partir ! Mais toi non tu aime ton lycée !
– Je sais, est alors ?
– Alors, rien.
– Vous savez même quand j’étais chez ma mère, je suis allez au collège avec de la fièvre !
– Oui mais la c’était différent tu avais pas mal de problème… petit temp de silence… Dit Delphine, tu le dirais si t’avait des problèmes !
– Oui, j’ai des problèmes et alors ! Sa ne vous re-garde point.
– Est ce que tu as des problèmes comme tu as déjà us.
– Non… Cela sont juste des petit tracas.
Non mais je rêve ! Il ne croyait tout de même pas que j’allais lui parler !
Punaise ! C’était moins une ! Il est loin d’être con celui la !
Du coup sa ma travailler et sa ma couper l’appétit.
Donc, j’ai rien mangé.
L’après midi je l’ai passé encore en étude et au lieu de travailler mes leçons, je me remettais en tête les paroles de guillaume.
LA journée se termine et il est temp pour moi de retourner chez ma tante.
En arrivant je suis allé dans ma chambre, faire le reste de mes devoir et après j’ai dit a ma tante que j’étais fatigué et que je n’avais pas faim. Alors je me suis couché.

Les vacances de pâque approchent à grand pas !
Alors je demande à Jennifer de venir et elle accepta.
DU comme convenus elle venait passer ces après midi avec moi. Sauf qu’un matin Samuel est venu, j’était seul, et je faisait la sal de bain il, il est rentrée.
IL criait aux et fort : « y a quelqu’un ? »
Personne ne répondit, car bien sur j’étais seul !
Alors ferma la porte de la sale de bain, ma fait mettre dos a lui est il baissa mon pantalon, ma culotte, mouilla de sa salive mon anus et me sodomisa. Il me retourne face à lui, en appuyant sur ma tête pour me faire mettre à genoux. Il me dit d’ouvrir ma bouche ! Alors je la ferme, je ne voulais pas de son sexe dans ma bouche, alors il a commencé à s’énerver et a crier plus fort « ouvre ta bouche SALOPE ! », Tout en appuyant derrière ma tête et il fini, par sa force, a me le mettre dans ma bouche et il y éjacula a l’intérieur de celle-ci, avec ce soupir qui annonçait la fin !
Alors, il me dit d avaler. Je ne l’avale pas, et du coup il me dit d’ouvrir ma bouche pour voir si je l’avais fais. Alors il vit le sperme encore dans ma bouche et la cette fois ci je n’avais pas le chois. Je l’ai avalé et comme d’habitude, il laissa de l’argent sur la table. Une fois partit, je suis allé au toilette me faire vomir, je me suis laver la bouche avec dentifrice, j’ai brossé ma bouche très fort avec la brosse as dent, a tel point que mes gencive était en sang. Dans l’après midi Jennifer est venu.
Alors tout en tremblant je lui ai dit qu’il avait re-commencé ce matin, alors elle ma prise dans ces bras et je me suis mise à pleurer. J’en peu plus !! J’en ai plus qu’assez !
Mais merde ! Pour qui me prend t on ! Qu’est ce qui cloche chez moi, pour qu’il se jette comme sa. DU coup je me suis faite vomir ET a faire un gros blocage alimentaire.
Plus rien ne passez.
Alors Jennifer me dit : Delphine il faut que tu parle tu ne peux pas rester comme sa, alors a la rentrer, si tu ne parle pas, je le dirais a Martine. Je lui ai dit ok !
Puis quelques jours après, je suis allé a mon rendez vous chez l’éducatrice extérieur, qui me suis, suite a mon passer.
Dans la salle d’attente, j’attends, j’angoisse, et je tremble. J’entends qu’elle décent les escaliers. Alors j’essaye de me métriser. JE monte dans son bureaux, et la elle me regarde, et je ne parle pas ! Alors elle me propose un lait chaud, que je refuse et elle me dit :
– Que ce passe t il Delphine ?
– Rien.
– Non, je vois bien que sa vas pas ! Et puis tu as maigrit.
– Rien, tout vas bien !
– Tu en es sur ! Tu me dirais, si sa n’allait pas ?
– Mais oui !
Du coup, un silence complet avait envahie la pièce jusqu’a la fin du rendez vous. Et je suis retourné cher ma tante.
Comme il était convenu avec Jennifer, à la rentrer, elle parla à Martine de Samuel. Pendant ce temp, moi j’étais dehors à fumer comme un pompier. À peine fini ma clope que j’en rallumer une. Je trembler comme une feuille, stresser, angoisser, je me sentais très mal.
Mais qu’est ce qui va m’arriver !! J’ai peur ! Sei-gneur aide moi !
Peur que l’on me croyant pas ! Peur d’être juger pour un acte que je n’est point commit ! Mais que vas dire ma tante ! Que vont penser les gents de moi !
Ah ! Si je n’étais pas né, je n’aurais jamais souf-fert !
Je vois Jennifer qui revient, elle s’approche de moi et me dit : « martine veut te voir ! »
Alors je suis allé dans sont bureau en tremblant, et je me suis assise sur la chaise. Alors martine me dit : « je voyait bien que quelque chose n’allais pas ! Et c’est bien de pouvoir parler. »
Mon regard n’osait pas la regarder, et je fuyais tout croisement de regard, j’étais tête baisser car j’avais honte de dire qu un amie de mon oncle et de ma tante me violer !
Alors avec un léger sourire martine me Dit de la regarder et me demanda depuis combien de temp sa durée. Je levas a peine ma tête, les larmes coulaient sur mon visage, et lui répondit, que sa duré depuis un ans. Je me suis mise à pleurer en silence ! Aucun bruit ne sortait ! Je retenais ma respiration et essaya d’essuyer mes larmes sur mes épaules. Mes cheveux cacher mon visage.
Je me sentais trop sale, comme un noble regarde un clochard.
J’étais horrifié et je savais que maintenant, que je ne pouvais plus revenir en arrière.
Vous allez, me dire pourquoi avoir peur de parler ? Parce Qu’en on parle d’un viol, c’est de la pur humiliation, et on a une grande culpabilité, de ne pas avoir sue se défendre.
Apres avoir parlé a martine, je suis retourné en cours. La prof me fit une réflexion suite à mon retard. Déjà que je n’avais pas le cœur à travailler et un moral de zéros, il fallait qu’elle en rajoute. J’ai fermé ma gueule, comme d’habitude, et j’ai ouvert mes cahiers.
Puis le cour ce terminas. Le sourire que j’avais en-core hier pour cacher cette souffrance, a disparu.
Aujourd’hui, je n’ai pas le cœur à vouloir faire un simple sourire.
Courrant la matinée, la cpe est venu me chercher en classe.
Les autres élèves mon regarder comme si j’avais fait une connerie. Direction sont bureaux, puis avec son sourire de pitié pour moi, elle me proposa de m’asseoir. Je m’assis en croisant les jambes et en tremblant. Elle me demanda ce qu’il m’avait fait. Un interrogatoire comme si c’était moi qu’on juger. Je me sentais comme une gosse qu’on punit, parce qu’elle a fait une bêtise, alors que je n’étais que victimes.
Je lui demanda une feuille de papier et je répondit a ces questions. Puis elle appela mon éducatrice.
ET vers les coups de 16 h, elle est venue au lycée pour me ramener chez ma tante. En voiture elle me dit : « tu vois, la dernière fois que l’on c’est vus, je t’ai demandé ce qui n’allais pas, et tu ma dit tout vas bien. Tu sais je sentais que sa n’allais pas ! J’attendais que tu parle et tu la fait aujourd’hui ! Maintenant je vais parler de sa a ta tante. »
Je n’ai pas répondu, et tout au long du trajet j’avais encore la tête baissé et mes cheveux devant les yeux. Alors l’éducatrice me dit : « pourquoi cacher ton visage avec tes cheveux, car tu n’es pas coupable. Tu n’es que victimes.
En arrivant chez ma tante, il y avait ma sœur Ste-phie et ma tante n’était pas encore rentrer du travail.
Ma sœur me regarda de travers, et en faisant cela elle me blaisas.
Puis quand ma tante fut rentrée, l’éducatrice lui expliqua ce qui se passait. Ma tante fut surprise et me demanda pourquoi ne pas lui en avoir parlé a elle.
Je lui ai répondu que sa m’avait était très difficile d’en parler.
Et quand mon éducatrice fut partit, elle me dit d’aller me préparer car on allait au commissariat de gendarmerie.
Alors je me suis donc préparé et j’ai glissée dans ma poche une culotte souillé du sperme de Samuel, que j’avais planqué.
En arrivant au commissariat ma tante expliqua ce qui ce passer. Alors les gendarmes on voulut me parler seul à seul. Ma tante a attendu un peu dans le couloir.
J’ai parlé avec le gendarme, qui ma demander si j’avais une preuve. Alors tout en tremblant j’ai sortit ma culotte de ma poche en lui expliquant ce que c’était. Alors il ma demandé comment m’était venu l’idée de mettre sa de coter. Je lui ai répondu que c’était quand j’avais porté plainte contre mon beau père les gendarmes m’avait demandé cela. Alors j’y ai pensé. J’étais toute gêner et j’avais honte. Alors il me la fait mettre dans un sac plastique. Puis il ma dit que pour déposer ma plainte, il fallait que je revienne le lendemain car il n’y avait plus personne dans les bureaux. Alors je suis repartit avec ma tante et quand on est rentré Mon oncle était la.
Je lui ai dit bonjour et j’ai dit a haute vois, je vais me coucher !!
Alors ils ont mangé ! Puis a la fin du repas ma tante a pris mon oncle a part, pour lui expliquer. Ne dormant point j’entendait leur conversation. Et mon oncle s’énerva.
Il donnait des coups de pied et des coups de poing dans le mur. Puis quand ils sont monté dans leur chambre, mon oncle à regarder vers mon lit et il dit : « pour quelqu’un de traumatisé, elle dort vraiment bien. Mais je ne dormais pas, je faisais semblant de dormir. J’ai compris que mon oncle m’en voulait. Mais pourquoi ! J’ai rien fait de mal ! Mon cœur est compresser et j’ai mal, tellement mal.
Et la nuit passa, j’ai passé une bonne partie de la nuit à pleurer en silence avec une amertume amer.
J’ose à peine me levée, peur de croiser un seul re-gard !
Le regard de ceux qui ne croient pas en moi.
Je me lève, je m’habille et je suis descendu. Je suis sortit dehors pour fumer une cigarette et je suis resté dehors à regarder le cheval. Tout en le regardant je me mis à pleurer car j’avais mal en moi et de tout mon être. Je culpabiliser pour la peine que je faisais dans cette famille, et je me disais que tout était de ma faute.
Puis après avec ma tante nous sommes retournés à la gendarmerie comme convenu la veille.
Alors une gendarme ma accueilli dans son bureau.
Avec un léger sourire elle me posa plein de ques-tion, alors je lui répondu avec grande difficultés, et en ayant le regard ailleurs que devant elle. Je répondais en ayant honte de moi !! Honte de parler de quelque chose de si dégoûtant. L’interrogatoire dura trois heures. Et pendant mon interrogatoire, ma tante a était entendu de son coter.
Quand je suis sorti ma tante m attendait et la je lui ai dit « tatie c’est dur !! » mes larmes ne voulais pas sortir alors elle me répondit « ne te retiens pas, laisse sortir tes larmes ! »
Alors je me suis mise à pleurer comme une made-leine car j’avais si mal !!!
Puis nous sommes retourné chez elle ;.
Je ne penser plus ! Mon âme est morte et en moi on ne peut entendre qu une légère respiration ! Même mon cœur c’est arrêter de battre !
C’est lourd de porter autant de fardeau en ci peu de temp !
Qu’elle enfance vais-je raconter un jour, si j’ai des enfants !
Je suis enfermer dans mais pensée ! Du coup un jour lorsque ma tante ma dit que Samuel arriver, sa ma même pas fait un seul déclic. Ce n’est guerre après que je me suis enfui dans ma chambre.
Puis une fois repartie chez lui je suis descendu !
Et la mon oncle et ma tante mon engueuler car je n’avais pas réagit. Mais pourquoi s’en prenne t’il a moi ! Qu’est ce que j’ai fait ! Alors sans rien dire je suis remonté dans ma chambre, une boule dans ma gorge me faisait mal.
Et je me suis mise à pleurer en disant pourquoi je ne meurs pas ! Pourquoi suis-je encore de ce monde. Mal de tout mon être !
Du coup ce qui c’était passer ce jour la j’en ai parlé a mon éducatrice extérieur et la elle ma dit qu’elle allait me mettre en foyer pour que la famille me foute la paie.
Puis c’est ce qui ce passa, je préparer mes cartons pour partir dans un foyer ou d’autre jeune comme moi on souffert dans leur enfance ou qui on des problèmes avec leur famille.
A mon arriver je fus bien accueilli ! On ma présenter mes deux éducatrice référentes, l’une s’appelait marie Christine et l’autre francoise. Puis petit à petit j’ai fait connaissance avec tout le monde.
Mais je retourner en cours et la j’étais enfin con-tente !
Alors j’ai attendu Jennifer pour la remercier ;
Mais, mes réflexe était toujours la !
Car un jour je me suis sentit pas bien du tout, le matin j’ai rien dit au éducateur du foyer par peur, alors je suis aller au lycée et la, au nomment de manger avec Jennifer, j’ai fait comme un petit malaise, alors j’ai atterri a l’infirmerie et ils ont appeler le foyer en leur disant que je n’allais pas bien et que j’avais de la fièvre !
Alors quand ils sont venus me chercher, je me suis dit que j’allais encore me faire gueuler dessus ! Et bien non, ce fut tout le contraire et il mon même dit : « pourquoi ne pas l’avoir dit ce matin que tu n’allais pas bien ? »
Je leur est répondu en baissant les yeux que j’avais peur !
Peur de ce que vous pourriez dire !
Alors elle ma répondu qu il n’avait encore jamais mangé d’enfant et que le foyer n’était pas comme les endroits vécu auparavant ! Alors j’ai sourie et je suis allé me reposer.
J’ai le souvenir que Françoise, le soir est venu voir comment j’allais est sa ma toucher.
Puis les jours passe, je me suis vite remise !
Dans le bureau je regardais certaine éducatrice prendre dans leur bras certain jeune. Alors l’éducatrice marie Christine me dit : « viens je vais te faire un gros câlin ! »
Tout en haussant les épaules, j’ai regardé celle ci, en lui disant mais non, a 17 ans les câlins c’est fini, j’ai plus l’âge !
Alors elle me répondit : « quand on a besoin d’être prise dans les bras, y a pas d’âge ! »
Alors j’ai accepté ! Et elle ma prise dans ces bras !
Ah ! Si vous saviez ce que j’ai pus ressentir !
Tellement bien ! Que du coup avec mes deux édu-catrices referentes, quand je leur disais bonjour, je les prenais dans mes bras ! Et toute l’affection que ma mère ou ma tante n’a pas sue me donner, c’est elles qui me le donner !
Ah ! C’était que du bonheur !
Malgré tout cette amour que me donner les éduca-trices j’avais encore en moi tout mon passer !
Ce passer qui ma détruite jusqu au bout !
Pourquoi je n’arrive pas à oublier ce mal ? Pour-quoi cette souffrance me gâche mon bonheur actuel ?
Quand est ce vais je pouvoir être heureuse sans que ce passer gâche tout !!
Ma psy me disait faut du temp pour que le cœur qui saigne ce referme !
Mais quand est ce que cette blessure ne saignera plus !!!
Du coup au lycée j’en ai us mare et en plein cour j’ai pris discrètement la pointe de mon compas. Avec celle-ci, sans que personnes ne me voiyent, j’ai com-mencé à gratter mes veines ! Et à chaque fois que le prof passer dans l’aller j’arrêter de me faire saigner la veine et faisait mon travail.
La sonnette retentie dans la classe, c’est l’heure de la recrée et je fil aux toilette des filles pour me net-toyer le poigner concerner. Mais en sortant des toi-lettes, une surveillante m’attrape gentiment en me disant que le directeur veut me voir ! Alors accompa-gnée de celle ci, j y suis allé.
ET la il me dit :
– Qu’est ce que tu as fait pendant ton heure de cour !
– rien ! Pourquoi ?
Alors le directeur me demanda de lui montrer mes poigner !
Et la j’ai compris que je m’étais faites dénoncer pour ma bêtise de compas pour les veines. Alors il ma dit que si je recommencer il en avertirait mon foyer, mais tout en me disant qu il comprenait bien ma souffrance !
Et je suis partit du bureau, en lui promettant de ne pas recommencer !
Avant de partir, je lui avais demandait qui lui en avait informé ! Il m’a répondu que c’était mon prof.
Du coup le lendemain je m’étais excusait au prés de ce prof ! Il me répondit que je n’avais pas a m’excuser et que si il en a parler c’était parce qu’il c’était fait du soucie !
Alors j’ai souris et je lui ai donc dit que ça aller mieux.
Mais en vrai sa n’aller pas mieux mon passer, ces viol a répétition m’avait complètement détruite !!
J’avais mal au fond de moi ! Comme un couteau coincer dans mon cœur !!
Alors un moi plus tard je décide de traverser la route au moment ou une voiture passerais !! La voi-ture je la voie !! Elle est blanche ! Et au moment ou je me dit elle ne pourras pas s’arrêter je traverse !Sauf que manque de pot pour moi elle a freiné nette et m’a quand même toucher, mais pas grand chose !! Le gas est sorti de sa voiture tout effrayé et ma demander si ça aller. Je lui ai donc dit, vous inquiétez pas j’ai rien a part un peu mal au genou, mais rien de méchant. ET je suis rentré au foyer ce jour la, en boitant !! Ils ce sont fait du souci et mon dit comment je m’étais fait cela !! Alors je leur ai menti et je leur ai dit que j’ai couru pour me dépêcher et que j’avais par la suite loupé le trottoir !! Que j’étais mal tombé !!
Ils m’ont donc amené aux urgences et la le méde-cin révèle une entorse aux genoux !!
Du coup obliger de porter une attelle sur toute la jambe pendant trois semaines.
Et suis rentrée au foyer. Le Lendemain au lycée, j’ai croisé ce fameux prof dont j’avais fait peur !! Alors il me demanda comment j’avais fait sa !! Je lui ai répondu la même chose que j’ai dite aux éducateurs du foyer !!
Il me sourit et me dit de bien me soigner !!
Quelque semaine plus tard j’ai pu enlever cette at-telle qui me tenait chaud !!
Mais au foyer je recommençai une tentative de suicide cette fois ci en me coupant les veine avec un rasoir, mais je n’ai pas pus aller jusqu’au bout de mon acte car sa faisait mal.
Quand les éducateurs s’en sont aperçus, ils m’ont demandé comment j’avais fait cela !! Encore une fois je mentis, en disant que j’avais cassé un verre en fai-sant la vaisselle !!
Alors, petit bandage aux poigné. Quand mon édu-catrice extérieur la vue, sa réactions fut directe ! Et elle trouver quand ce moment je n’arrêter pas de me faire mal !!
En souriant je lui ai dit que c ’était parce que j’étais un plus étourdi c’est temp ci !!
Et en partant de sont rendez vous elle me disa de faire attention a moi. Je ne dis rien ! Et je me suis dit aller ma pauvre arrête !! Du coup j’ai pas recommen-cé.
J’avais tellement mal !! Trop mal ! Mal de tout ce passer !!
Je n’attendais qu’une chose !! Le procès de mon beau père !!
Alors je me suis confier a mon éducatrice réfèrent du foyer et je lui est dit mon mal en moi !! Elle me dit que c’était normal que tant que le procès n’était pas passer sa ne pouvait pas aller mieux !! Alors du coup j’ai compris en gros que tant que le jugement n’était pas passer, je souffrirai !!
Mais quand est ce que celui ci vas passer ???
J’en ai mare d’avoir mal ! Tellement mal !! Pas fa-cile !!
Je me dis parfois que tout ce qui est arrivé, est de ma faute !! Que j’aurais du me défendre, et non de dire que je ne voulais pas ! Peu être que le soit disant dieu la haut a voulut me punir !! Pourquoi ? Tant de question, enfouis en moi qi reste sans réponse !!
Et puis les mois passe, et je reçois enfin cette lettre de convocation ! Le procès pour mon beau-père aura lieu le 21 et 22 janvier !! Deux jours de procès, deux jours où je vais revoir mon beau père !!
Alors je me suis présenté à la convocation, accom-pagner de Marie Christine l’éducatrice réfèrente que j’aime beaucoup !!
Mon avocate m’attendait devant le palais de jus-tice. Mon cœur battait fort. La peur m’envahissait. On entre dans la salle d’audience, mon beau père n’est pas arrivé !! Une sonnette retentie soudain, c’est le juge qui arrive pour s’installer !
Aujourd’hui c’est les témoins qui parle, trois té-moins de mon coter, et trois témoins de son coter !
Premier témoin en ma faveur, témoigne que il n’as jamais rien vus, mais qu il pensait que mon beau-père en aurais pus être capable.
Deuxième témoin, la directrice du lycée ou j’ai parler de mon premier viol. Qui affirme que quand j’ai parlé, a ressenti toute la douleur en me voyant pleurer et que se n’étais point du cinéma.
Troisième témoin, le brigadier de la gendarmerie de valence, qui lui parle de toute l’enquête qui est en ma faveur.
Maintenant témoin de l’accuser :
Premier témoin ma mère, qui elle m’humilie de-vant la cour avec des parole mensongères. Elle disait que j’étais une menteuse, et que je ne penser qu’a faire la pute, … !
En écoutant ce que ma mère disait, elle me déchira le cœur et je me suis mise à pleurer !! Et plus elle disait du mal sur moi, plus je pleurer et plus sa faisait mal !!
Puis à la fin, quand ma mère us fini de dire ce qu’elle avait à dire, elle se mit à faire un léger ma-laise !! Et la, malgré tout ce qu’elle venait de dire sur moi !! En la voyant si mal, je me suis mise à pleurer encore plus en un point que mon éducatrice ma proposait de sortir de la salle !! Alors, l’avocate a demandé pour que je puisse être autorisé à sortir de la salle. Le juge prononça une pause de un quart d’heure. Je suis sortit dehors respirer un peu l’air et mon avocate ma dit : « vous en faite pas pour votre mère ! Elle a fabulé sont malaise, pour vous rendre responsable !! Pour vous faire dire que tout ce qui arrive est de votre faute !! Elle veut que vous culpabiliser de ce procès. »
C’est vrai, je culpabiliser ! Et ma mère avait réus-sit. Marie Christine ma prit dans ces bras, en me di-sant courage ma belle, je suis avec toi !! Et cela ma énormément toucher car, elle a réagit comme une mère qui soutiens sa propre fille !! Alors qu’elle n’était pas obliger !!
C’était le monde à l’envers, ma mère préféra sou-tenir son mari, que sa propre fille, la chaire de sa chaire. O.
Un quart d’heure de passer et voilà qui faut retourner en salle d’audience.
Reprise avec le deuxième témoin de mon beau père, qui n’est rien d’autre que son père, un homme âgé et très gentil. IL a dit qu’il ne savait rien et qu’il ne savait pas quoi répondre, et qu’il n’avait rien vus !
Troisième temoin, le psychiatre qui dit que Mr beau-père était conscient de la graviter de sont acte, et que l’inceste don on l’accuse, était volontaire.
Qu’il était conscient que de me violer était interdit, qu’il avait fait cela en sachant exactement se qui me faisait.
En attendant tout ce que le psy disait sur mon beau-père !
Je me suis dit en regardant mon assassin (quel sa-lop !!).
Il savait que c’était interdit, mais il l’avait quand même fait.
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:59

Le soir approche et il est 17h00. La première jour-née de procès ce termine, alors tout le monde quitte la salle d’audience.
Marie Christine me regarda en me disant, quel journée !!
Alors je lui ai répondu : « sa tu peu le dire !!! »
Je n’avais pas envie de sourire ! Mon cœur et mon ame était paumer, je n’avais pas faim, toute cette journée m’avais coupé l’appétit.
Marie Christine et moi attendions ma deuxième éducatrice réfèrente, Françoise que je considère comme une mère. Nous l’attendions devant un restaurant chinois. IL faisait froid et je fumer clope sur clope. Puis en arrivant, celle ci me fit un sourire en me disant comment sa vas ma grande !!
J’aurais bien voulu lui sourire en lui disant sa vas, mais j’en étais incapable. Alors je me suis jeter dans ces bras en lui répondant : «bof !!!».
Apres je me suis rallumer une clope et je me suis assise sur un rondin en ciment et des larmes glisser de mon visage !!
Toute cette journée avait était très dur !! Du coup Françoise et Marie Christine échangèrent deux mots, le tant de finire ma clope. Quand elles mon appelées pour rentrer aux restaurant, je baissai ma tête pour éviter de montrer mes larmes que j’essayer de cacher tant bien que mal. Je mis mes cheveux en fonction que l’on ne voyent pas mes yeux.
Il est tant de passer commande !! Je commande alors une bricole et les éducatrices prennent a leur tour commande.
Françoise en me voyant bouder mon assiette me dit gentiment : mange un peu ! Il faut que tu prennes des forces pour demain !!
Alors je lui ai répondu que je m’en fouter et la je lui ai dit que jamais je n’avais osait dire de vive vois : de toute façons le mieux serait que je crève !!
Alors elle me dit : tu as encore tant d’autre chose a voir !!
Je savais que plein de chose m’attendait, mais quoi ?
Je souffrais trop ! Surtout après une telle journée, comment s’imaginer que l’on peu être encore heu-reuse.
Par la suite nous sommes allés à l’hôtel qu’elle avait réservé car la journée de demain aller encore être pénible à supporter !!
Le matin se lève aujourd’hui encore une rude journée qui m’attend. Petit déjeuner et direction le palais de justice !!
Mon avocate m’attend ! Puis on rentre dans la salle d’audience. La sonnette retentit pour avertir l’arriver du juge ! Mon beau-père fait son apparition.
Le jugement peut continuer !
Le juge m’appel a la bar et me demande qu’as tu a rajouter ?
Une seul réponse est sortit de ma bouche :
Lui qui n’aime pas les mensonges, qu’il avout ce qu’il a fait ! C’est tout ce que je veus.
Alors le juge s’adressa a celui ci en disant : vous avait compris M., elle veut juste que vous reconnais-siez vos actes !!
Qu’avez vous a dire Mr suite a sa ?
Il répondit que j’étais une menteuse, que je faisais sa pour l’argent !!
Suite a cela le juge lui dit : croyait une seul se-conde qu’une personne qui ment demande juste à être reconnu comme victime !!
Maintenant nous allons commencer par la plaidoi-rie de chaque avocat, puis celle de mme le préfet.
Alors l’avocat de mon beau père commença et pris la parole pour défendre aux mieux sont client.
Sont discoure duras une bonne heure. Puis viens au tour de mon avocate qui elle dura trois quart d’heure !!
Puis la préfet qui elle duras une heure trente envi-rons !
A la suite de ces plaidoiries le juge se retire pour faire le délibéré.
Pour le délibérer le juge faisa sortir tout le monde de la salle pour une bonne demi heure, alors du coup Françoise me proposa de se promener un peu ! Et de boire un chocolat chaud !
A la suite de sa nous sommes retourné au palais ! J’avais mal au ventre et j’étais hyper stresser ! Je me sentais si mal !! Mais bon, retour en salle et pronon-ciation du verdict.

ALORS le juge prit la parole : messieurs et mes-dames, nous déclarons devant la cour que mr brunet est déclarer coupable des faits qui lui son reprocher.
A Ce moment la je n’ai pas très bien réalisé ce qui venait d’être dit !! Alors mon avocate pour me faire comprendre me dit qu’on a gagné le procès.
PUIS nous sommes sortit de la salle et en sortant ma mère était là, dans son coin, toute seul à pleurer !
Quand je l’ai vue pleurer parce que mon beau père avait perdu ! Sa m’a fait mal ! J’aurais voulut la prendre dans mes bras ! Malgré sa méchanceté. Vous allez me dire pourquoi l’aimer encore avec tout ce qu’elle ma fait subir ! Moi je vous réponds, une mère reste une mère. Moi même je ne comprends pas le pourquoi !

Je sais que ce jour la, en retournant au foyer avec l’éducatrice, j’ai us un pincement au cœur !!
C’est deux jours m’auront usez !! Le soir je n’ai point mangé ! Plus les jours passés, moins je manger ! Sans le savoir, suite aux procès je suis tombé dans l’anorexie.
Puis quelque mois plus tard, j’ai us la confrontation avec l’ami de mon oncle et de ma tante. Une série sans fin ! Mais bordel ! Quand est ce que je vais avoir la paix !! J’en ai mare ! J’ai envie de mourir ! Qu’on me laisse tranquille !!!
Pendant cette confrontation, il disait que j’étais une menteuse, que c’était moi qui lui avait fait des avances ! Que c’était une simple histoire d’amour !
Sa ma révolter et j’ai voulut répondre a tous ce qu il venait de dire ! Mais mon avocate ma dit : « laisse, il s’enfonce tout seul sa tient pas debout son his-toire !! »
Alors j’ai laissé dire.
Puis a la fin de la confrontation je suis retourné au foyer !! Bouleverser complètement de tout ce que je venais d’entendre !!
Alors, du coup Françoise me sentant vraiment pas bien me faisat hospitaliser a Grenoble dans lequel j’y resta 3 semaine et durant ces semaines j’ai prie une lame de rasoir et dans les toilette de la chambre je me suis mise a vouloir m’ouvrir mes veines. AU même moment l’aide soignante vint dans ma chambre pour poser mon repas et me dit le plateau est servit.
Je lui ai donc dit que j’allais arriver, que j’étais aux toilettes. Je ne sais pas pourquoi mais elle est allé chercher l’infirmière. Celle ci me dit de sortir des toilettes ! Je cachai mes veines et je suis sortit. Mais elle regarda mes poigner et vit que je m’étais légèrement couper les veines !
Alors je baissai la tête comme un enfant qui vient de se faire gronder alors que j’avais quand même dix sept ans. C’est bizarre, elle ne me grondas point et prie le temp de parler avec moi en disant : je sais que sais dure tout ce que tu as vécu, mais ne met pas fin a tes jours, sa ne sert a rien, a part de te faire mal. Elle me dit aussi qu’un jour la vie seras beaucoup meilleur. Alors je lui dis que j’avais compris, même si je ne penser pas un seul mot de mes paroles.
Quelque jour plus tard je recommençai mais cette fois ci a la jambe comme sa elles ne verront rien et en restants dans mon lit je commençai ce que j’avais à faire. Puis j’entends : toc ! Toc ! Toc ! Alors je fit semblant de dormir. Alors l’infirmière rentra et ressortit aussi sec !
Je me suis remise à mon occupation ! Me couper une veine de ma jambe. Sa Commencer à saigner ! J’arriver a mon but que quelqu’un frappa de nouveau, alors cette fois ci je fait un semblant de me réveiller. C’était l’infirmière !
Elle me dit ta bien dormit !! Avec la tête je lui ai fait signe que oui ! Je lui dit que j’allait sortir devants l’entrée pour fumer une clope ! Et en descendant du lit j’ai pris soin de cacher mon acte elle ne vit rien de suite mais quand je suis remonter dans ma chambre deux goutte de sang m’avais trahit.
Alors elle me dit fait voir tes poigner, alors je lui montrai !!
Et elle ne vit rien !! Elle me dit : d’ou vient c’est trace de sang. Alors je lui mentis en disant que c’était par ce que j’avais saigné du nez. Elle ne me crut point et regarda les draps, et la elle vit du sang qui s’écouler de ma jambe !
Alors elle me dit ce n’est pas beau sa, vas falloir mettre des point. Elle me mit donc des points !
Pff ! Qu’elles sont chiantes ces infirmières, elles ne peuvent pas me foutre la paix !!! Elles n’ont pas encore compris que je voulais mourir !! Si elles veulent m’aider elles n’ont qu’à m’euthanasier !!
Par la suite le psy est venu s’en mêlée et ma proposer de parler !!
Mais parler de quoi !! J’en ai ras le bol !! Il veut comprendre mes envies de mourir !
Mais n’y a rien à comprendre ! Je veux juste mettre un terme à ma souffrance intérieur. Putain de merde ! Ce n’est pas difficile a comprendre sa !!
Le lendemain je décida alors de ne plus manger !!
Quand les aide soignantes m’apporter mon pla-teaux j’attendais qu’elle parte pour tout mettre dans les wc.
Personne ne s’en est aperçu et ils ont cru que j’avais fini mes tentatives de suicide. Alors ils m’ont laissé repartir !!
De retour au foyer, j’attendu une semaine et je re-commença mes tentatives avec des médicaments !
Le lendemain je vais aux lycée et en classe je commença a me sentir bizard, la prof me demanda d’aller au tableau, alors je me levas mais impossible d’avancer.
En voyant comme j’étais elle demanda à deux élèves de m’accompagner jusqu’à la CPE. Mais dans le couloir je me senti encore plus mal alors LES deux filles qui m’accompagner me posa délicatement contre le mur assise au sol. L’une des filles est resté avec moi et l’autre a couru jusqu’au bureau de la CPE. Elle revint avec une surveillante. Celle ci a dit aux filles de retourner en classe.
Et puis elle ma emmener jusqu’au bureau.
La surveillante us peur, mais moi non !
J’avais enfin réussit ! Je me sentais partir sans au-cun regret !
Elle me dit :
– Que ressens-tu ?
– Ou as tu mal ?
Je lui répondis à moitié chouter par les médocs : « Rien, j’ai mal nul part, j’ai juste envie de dormir !! »
Et puis sans réfléchir je lui dis que la veille au soir je me suis avaler plusieurs boites de médocs.
Alors elle m’allongea au sol et appela le SAMU qui lui posa plein de question. Puis ils envoyèrent les pompiers au lycée.

Alors en attendant les pompiers, elle me parla pour me tenir éveiller. Mais a un moment donner, je me suis sentit partir, et j’ai le souvenir que la surveillante me donner des gifles pour que je tienne mes yeux ouvert.
Les pompier sont arrivé et mon amener a l’hôpital.
Arriver a l’hôpital j’ai us droit a un lavage d’estomac et le lendemain sous mon accord j’ai accepté d’aller dans une clinique psychiatrique du coter de Lyon. Arriver la bas, j’ai était très bien accueilli par les infirmiers !
J’avais beau souffrir à l’intérieur de moi, mais j’étais toujours souriante ! D’ailleurs, un infirmier m’en a fait la remarque en me disant : « Ah ! Sa, c’est bien ! Toujours le sourire !! »
Et oui toujours ce Sourire qui cache en moi tant de souffrance intérieur !
Tant de chose ou je voudrais savoir et des si j’avais sue !
Pourquoi je souffre tant ! Pourquoi mon cœur saigne-t-il encore ! Et si je n’avais pas était dans cette chambre a mes huit ans ! Et si je lui avais dit papa je ne t’aime pas !
Et si j’avais parlé avant ! Et si de rien ne c’était passer ! Quelle personne serais-je, à l’heure d’aujourd’hui !
Trop de souffrance intérieure qui me font agir à être au service et a l’écoute des autres. Trop de souf-france pour humilier quelqu’un ou de lui répondre !
Je sais tellement ce que sais d’avoir subit toutes sortes de violence et a quel point c’est difficile, que je ne peux me permettre d’être ingrat envers quelqu’un que je déteste !!
Pour en revenir ! Dans cette clinique je me suis plu car il y avait un grand parc de verdure, des activités manuels et du sport. Je m’y plaisais ! Mais pourtant a plusieurs reprise je me suis couper les veines. Mais quand les infirmiers m’ont dit que si je continuais, je risqué de me retrouver dans une clinique pour les fous. À partir de ce nomment la, j’ai arrêté mes bêtises.

Je n’étais pas folle ! Je souffrais ! Alors je me suis tue et j’ai gardé ma souffrance intérieure.

AU bous de trois moi d’hospitalisation je suis re-tourné au foyer en pensant a mes étude !!
Et puis je me suis dit ce n’est pas la peines de re-tourner au lycée que tout était foutue.
Alors pour l’été j’ai fais les vendanges avec un ami chez qui je dormai le temps de la saison des raisins. IL était très câlin avec moi ! Et un soir on a us un rapport !
Et la le verbe aimer avez un sens a mes yeux !
J’ai sue pour la deuxièmes fois ce qu’il y avait de différent entre amour et viole !
Puis à la fin de ce travail saisonnier je suis partit en vacance dans un centre UCPA.
En équitation ! Mais je me sentais bizarre ! Mais j’ai quand même fait du cheval la première semaine et j’ai fait connaissance avec Christopher, un homme doux et qui de plus, savais bien massait. On est tombé amoureux !
Puis un matin je préparais mon cheval, celui-ci me bloqua a l’angle du box. Alors j’en ai parlé au moni-teur ! En lui disant que le cheval n’as aucune envie de travailler ! Mais il n’a pas voulu écouter ! J’ai sellé le cheval et je suis monté dessus ! Par la suite j’ai voulu le faire trotter, mais rien à faire, refus catégorique du cheval, qui ne rester qu’aux pas.
Alors le moniteur crias après le cheval et la d’un seul coup il partit au grand galop a ne plus pouvoir l’arrêter !
J’avais beau tirait sur les reines, rien n’y faisait ;.
Je perdis un étrier et je sentais que je n’avais plus d’équilibre, alors j’ai sautais du cheval en retombants sur le dos en plein sol sableux ! Je ne pouvais plus me relever et je saigner aux bras, alors les pompiers sont venu et mon emmener a l’hôpital ! Heureusement pour moi plus de peur que de mal. En fin d’après midi je suis rentré a l’ucpa et Christopher en me voyant marcher avec la main sur mon dos ma proposer de me servir le repas et tout aux long du séjour il a pris soin de moi.
Puis quand il est parti du séjour et qu il est rentrée chez lui, je l’ai regardé s’éloigner, alors les larmes me montères aux yeux.
Allais-je le revoir !
Ou bien, allait-il m’oublier !
La réponse fut rapide, car nous nous sommes revus et la je lui ai annoncée que j’étais peut être enceinte car j’avais un retard de règle. ET vus que j’avais us un rapport pendant les vendanges, il était normal que je me pose la question et que j’en parle a celui qui ma prie dans ces bras et que j’aime.
Du coup j’ai attendu une semaine et j’ai fait un test de grossesse qui était positif. Quand j’ai vus que j’attendais un enfant, je me suis sentit revivre en étant très heureuse !
J’en ai parlé par la suite a Christopher qui a us un peu plus de mal car sa lui faisait peur.

Mais par la suite nous nous sommes revus, et quand mon fils dydy est née, nous lui avons fait une petite sœur et nous nous sommes marier et vécurent heureux, mais toujours avec ce bout de passer qui me boufferas sens cesse la vie. MAIS toujours en essayant de vivre avec !!!!


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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeSam 30 Juin 2012 - 22:59

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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeDim 1 Juil 2012 - 10:09

Bonjour petit coeur je n'ai pas finis de lire mais ton témoignage est d'un courage indéfinissable. Il est des mots qui nous sont communs à bien des tournures de phrases. Merci de le faire partager
Eric
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeDim 1 Juil 2012 - 12:35

Tu es toi aussi passer par le lit conjugal je ne sais pas si c'est la pire des atrocités que nous pouvons subir? Moi je passais mes nuits entre eux dans le lit conjugal.

Je lis que tu fais souvent appel à Dieu tu vivais dans une famille croyante ou bien est ce toi qui t'es réfugié dans cette croyance très respectable?

Je suppose que d'avoir rééditer ici ton histoire te permet de soulager ton mal être je te pose des questions parce que certains passages ressemblent à mon histoire et je ne voudrais pas t'importuner de trop si ça te gène de répondre je le comprendrais
Eric
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeDim 1 Juil 2012 - 21:26

oui c'est la pire des atrociter que de ce retrouver completement nu dans le lit conjugal
ma famille est croyante mais par coutume uniquement ,il respecte ,mais n'on pas la meme foie que moi. C4EST MOI QUI m'y suis refugier ,car cela ma beaucoup aider !
sa soulage oui ,mai beaucoup de pleur
tu peu me posait toute question il n'y as pas de soucis ,je repondrait avec plaisir

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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeLun 2 Juil 2012 - 15:52

-


Dernière édition par capucine le Mer 26 Sep 2012 - 16:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeLun 2 Juil 2012 - 17:32

« il s’appel Diamant et si tu veux le brossé tu peux, car je n’ai pas bien le temp de le faire. »


Comme un diamant...

On peut être éclatant comme le diamant
Ecrire avec ses mains et offrir un regard de liberté
Comme les oiseaux de lumière racontant
Dans leurs battements d'ailes, l'horizon
Et donner un vrai instant de vérité
Avec un regard innocent racontant l'inhumanité

On peut aller au hasard s'il existe encore
Errer d'un bout à l'autre couché dans le silence
Et regarder cette page blanche souillée d'encre
Devant ta fenêtre ouverte qui nous éclaire l'image...

De l'innommable...

On peut le dire, l'écrire, le dessiner
Avec toute l'émotion qui peut arriver
Et édulcorer, Et rire mais souvent pleurer

Quand dénudé face aux autres on est fatigué
Comme un diamant éternel tu t'es posée...
Devant ce grand miroir du silence
Et tu l'as brisé....


Eriic


J'ai finis de lire ton histoire et j'ai écris ce texte parce que tu as cette force d'un diamant comme ce cheval et le diamant possède de multiple facettes la force, l'affection, l'amour....


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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeLun 2 Juil 2012 - 21:06

merci ,c'est magnifique erik

merci as toi aussi capucine
ho cpucine je crois que tu as raison ,on doit peut etre se connaitre,ton pseudo me dit quelque chose
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeLun 2 Juil 2012 - 22:19

en avant pour le seucond livre !
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeMar 3 Juil 2012 - 9:39

Un diamant brille de mille feux et, est d'une pureté inégalée que rien ne peut briser....

Mes pensées t'accompagnent Petitcoeur sunny
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petitcoeur72360



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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitimeMar 3 Juil 2012 - 17:13

merci
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MessageSujet: Re: mon livre deja editer   mon livre deja editer Icon_minitime

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