La nuit enveloppe mon regard,
Qui pleure à l'ombre d'un soir,
La torpeur s'emmêle dans ma tête,
L'ombre est là, et elle me guette.
Les confidences restent dans mon coeur,
Obnubilée de toucher les paupières du bonheur,
La soie de me yeux clairs restent sans larmes,
Et la peur de mourir rode et me désarme.
Ma colère parsème de tâches le ciel de mes yeux,
Et assombrit la lumière en mes cieux,
Toujours cette peur de tout casser,
Toujours cette peur en moi, de me faire détester.
Le destin de ma vie est dans mes mains,
La lumière, en mon coeur, frôle le souffle, sur le chemin,
La force dans mon âme va éclairer mon sentier,
Et permettre de cicatriser mon corps torturé.