J'ai toujours eu des problèmes et je commence à penser souvent à me suicider, à me dire que ça ne sert à rien de continuer.

J'ai été adopté et je pense que ça m'as marqué, tout jeune je demandais chaque jours à ma mère adoptive si elle allais m'abandonner ou si ma mère naturel pourrais venir me reprendre, j'ai appris bébé qu'on ne peut faire confiance.

J'ai eu une enfance heureuse, mais à partir de 12 ans j'étais celui qu'on se faisait un plaisir à torturer à l'école chaque jours, à frapper, à attacher sur un poteau dehors pour uriner sur moi. J'avais un seul ami, le ''plus dur'' de l'école qui me protégeais, mais il me traitait constamment de bon à rien, sans doute pour me garder malléable. Mes notes scolaires ont chutées, et la solution de mon père adoptif était de m'asseoir une heure chaque soirs à table, à chaque écart de conduite, et de me dire que je ne suis qu'un bon à rien, un minable qui ne feras rien de bon de sa vie. Partout ou j'allais, personne ne m'aimais.

J'ai perdu totalement confiance en moi et j'ai donné ma virginité à une prostituée et pour une heure, je me suis senti aimé même si c'était du faux, et je suis devenus accroc je travaillais pour me payer des escortes.

J'ai eu ma première copine à 23 ans, et je suis resté avec elle 5 ans mais je n'ai jamais su m'attacher réellement j'ai eu peur et je l'ai laissé. Je me suis alors senti seul et je suis retourné voir des escortes et cette fois, j'ai attrapé l'herpès et j'ai des symptômes dans les intestins j'ai des ballonnements et des troubles digestifs.

Je suis anxieux, je suis toujours seul puisque je vis seul, je déteste chaque jour de ma vie.

Chaque femme que j'ai vraiment aimé dans ma vie m'a rejeté, j'ai un corps horrible je pèse 115 livres et je mesure 5 pieds 9.

Je suis juste saturé de tout, je n'ai même pas espoir que ça s'améliore. J'étudie en droit pour prouver a mes parents que je ne suis pas un bon à rien, mais rien ne me rend heureux sauf boire et prendre de la drogue, ça endors la douleur.

Je hais chaque heures de ma vie et j'ai peur d'être aimé lorsque j'aurai du succès dans la vie parce que je saurai qu'avant on ne m’aimait pas, je n'y croirai jamais je saurai que l’amour qu’on me donne est faux et influencé par mon succès.

La seule option que je vois c'est mourir, ma vie est une suite de déceptions, ça suffit.

ah bah j'avais repondu sur l'autre post mais voila ton histoire ^^
je vais essayer de repondre ici alors !!
tu cite avoir été adopté , tu parle de la mechanceté de ton pere adoptif , mais tu ne dit rien par rapport a ta mer adoptive t'as t'elle aimée??

ensuite tu cite ton ami le "plus dur" de l'ecole , mais qui te rabaissait , je pense que tu n'as pas reellement ete son amis , plutot tu la garder et a accepter ses remarques car il te protegeais !!

pour tes maladies il faut aller voir un medecin , sinon ca pourrait bien empirer !!
tu devrais arreter de voir des escorte des prostitué !! ou au moin si tu eprouve encore le besoin de le faire alors protege toi !!!

les livre et les pied je sais pas trop jai traduit ca ca ferai un truc style 1m70 pour 52 kilos c'est ca ??
ca fait effectivement du sous poids , ca peu etre causé par la drogue , jai connu nombre de toxico que jai vu deperir au fil du temps il devenai tous tout maigre !!

donc il semblerais que finalement tu est deja ete aimé par cette fille avec qui ca a durer 5 ans !! seulement c'est toi qui a fui l'engagement cette fois ci !!

le succes peut apporter un amour faux comme tu la cité , mais ca c'est aussi car ta personnalité actuelle n'a rien a offrir !!

actuellement tu est deprimé , drogué , alcoolique , tu semble travailler dans un domaine "pour prouver" quelque chose et non pour toi meme , tu veux de lamour mais quand on ten donne tu le rejette !!

c'est un bon resumé je trouve

j'aimerais si tu le veux bien que tu dises ce que tu aimerais TOI , si il n'y avait aps tes parent adoptif aurait tu choisi la meme voie ???
et cette fille poruquoi l'avoir fui ,pourquoi avoir peur de l'engagement ??
et aussi parler de tes rapports en cours , tu dois avoir des amis avec qui tu parle ???

voila repond deja a tout ca si tu peu ^^
j'espere de ne pas etre trop direct avec toi !!
et tinkiete pas ici on ecoute on essaira de taider autant que faire se peu !!

Les pensées suicidaires sont pour moi une sorte de système d'alarme... une façon pour son esprit de signifier à la conscience que quelque chose doit changer, que la situation n'est plus tolérable et que l'individu doit mobiliser ses forces pour franchir cet obstacle.

Malheureusement, il est parfois extrèmement complexe cet obstacle en question et généralement impossible à franchir en une seule nuit ou en une seule décision. Pourtant, on ressent au fond des trippes une sorte de fébrilité, d'impatience, d'inconfort qui nous impose un changement de positionnement, mais en même temps une incapacité de réaliser ou même d'envisager la possibilité que ce changement peut survenir. C'est justement au moment ou tout semble perdu que l'espoir nous manque le plus. La tête semble vouloir nous exploser, la rage, la peur, le découragement nous envahissent et se mèlent de façon confuse. Rien n'a plus de sens, on devient ivre de l'intensité des émotions et on ne désire qu'une seule chose... d'être enfin heureux (les comportements compulsifs nous en donne l'illusion) ou que tout s'arrête. Pour avoir ressenti ces crises, je sais à quel point elles peuvent être intenses et à quel point le vertige est déstabilisant. Je sais aussi qu'elles sont passagères et que la tolérance d'un individu à ce type de pression est généralement limité.

On en sort épuisé, lorsqu'on finit par sortir de la tempête, mais on en sort justement parce que la fatigue nous y oblige. Ceci dit, ce qui compte à ce moment est justement de survivre à tout prix, de passer à travers la tempête et de faire tout ce qu'on estime nécessaire pour y arriver. Ce n'est qu'au prix de cette survie que le travail d'exploration pour trouver une voie alternative peut se faire... mais il DOIT se faire, même lentement, même laborieusement. Sinon, c'est de passer d'une tempête à l'autre en espérant naïvement que le climat s'améliore de lui-même sans se soucier des vents qui se lèvent. Quand la tempête se lève, il n'est plus temps de se préparer, de réfléchir ou de planifier... C'est quand la mer est calme qu'on peut le faire. Quand la tempête est là, il faut seulement la laisser passer en s'aggripant de toutes nos forces... saches que tu n'as pas à être seul quand ça arrive.