Bonjour,
Pour reprendre sur cette partie il a commencer à me dire que j'avais été adopté quand un jour ( vers 7/8 ans) j'ai demandé à ma mere si je pouvais me marier avec mon frere et avoir des enfants. Réponse: non c'est interdit tu ne peux pas on ne se marie pas avec son frere. Quand j'ai dit ça à mon frère il m'a dit que j'étais adopté et que si je disais quoique se soit de plus je ferai exploser la famille et que je retournerai à la DASS.
Tout c'est arrêté quand j'avais 11 ans quand la maladie s'est elle aussi arrêtée. Il continuait à me taper de temps en temps (nez cassé, doigt cassé, plève décollée). Mes parents ont vu à ce moment là que ça dégénérait mais plus d'attouchement.
Mais la violence de mon frère s'est encsuite propagée à ma mère qu'il a souvent insulté et même giflé une fois. Puis à mon père à qui il a cassé des côtes.... Ils étaient un peu plus vigilent vis à vis de ses actes envers moi et de sa violence.
Ensuite mon frere s'est calmé en grandissant il a eu une période où il était très protecteur vers mes 16 ans donc lui avait 18/19 ans comme s'il avait pris conscience de la gravité de ses actes passés.
Jusqu'à ce qu'il rencontre son amie où il a fait du chantage à nouveau avec sa fille et la fréquence de ses visites. La moindre contrariété et il faisait du chantage. Mot d'ordre ne pas le contrarier même sur un petit sujet sinon on ne le voyait plus....
Il a reprochhé une fois à mes parents de ne jamais avoir été là pour lui sauf que durant ma maladie moi je n'avais que ma mere et lui mon pere donc l'un et l'autre étions privés d'un parent pour autant rien ne nous obligait à être aussi violent qu'il n'a pu l'etre....
Une dernière chose, il mentait tout le temps et encore aujourd'hui, il cassait la voiture de ma mere et disait que c'était elle alors qu'il savait que je savais mais il savait que je ne dirai rien de peur qu'il me fasse à nouveau du mal. Il a été jusqu'à dire lorsque nous etions au lycée que c'était lui qui avait payé une grande partie de la maison de mes parents... Nous avions la meme bande de copain qui sont venus me voir en me disant que là il allait trop loin dans ses mensonges et qu'ils ne voulaient plus le voir. C'était pour tout et n'importe quoi: secher les cours il disait qu'il avait mal à ses dents de sagesse alors qu'il se les etait faite enlever 6 mois avant... Qu'il se sentait mal après le don du sang sauf qu'une fois arrivé chez le medecin bizarrement l'endroit de la piqure avait disparu de ses bras....
Tout etait bon et sujet à creer un mensonge ou une grosse discorde..
A cette époque je me suis éloignée de lui en me disant que je ne savais pas jusqu'où il était capable d'aller.
C'était une vrai petite ordure avec mes parents et ça n'a pas beaucoup changé de ce point de vue là. Ceci c'est renforcé avec la rencontre de sa petite amie donc je ne souhaite pas spécialement renouer avec mon frère nous n'avons plus qu'une relation de surface à se dire bonjour et au revoir.
Loirsque je me suis sortie de la relation avec viol et violence conjugale j'ai vu mon frere lui ai expliqué dans les grandes lignes et réponse: ba c'est bien qu'est ce que tu veux que je te dise? tu l'avais peut etre cherché.... J'étais éffondrée
Lorsque maman est tombée malade et a fini en réa car arrêt cardiaque je l'ai appelé en lui disant que maman n'allait pas bien et que ça serait bien qu'il passe la voir; réponse: Tucrois que j'ai que ça à foutre je vais au restau avec des copains......
Depuis ce jour je me suis dit c'es fini je n'ai plus de frere...
Alors je ne pense pas qu'il ai été plus déléssé que moi pendant ma maladie mais comme le sujet de la maladie était taboo il n'a probablement pas compris ce qui m'est arrivé et a pensé que j'en faisais exprès pour "garder" maman pour moi. Un jour je lui ai dit qu'à cette période ma crainte était de mourrir tous les jours sa réponse fut sans appel : arrete d'exagèrer jamais tu n'as failli mourrir .... Il n'a donc jamais eu conscience que mon pronostic vital etait engagé. Il n'est jamais venu dans le service himunologie où j'allais (trop choquant pour lui estimaient mes parents). Il n'a jamais attendu comme moi dans le couloir face à la salle des ponctions lombaires que jappelais salle de torture (les enfants étaient tenu par 6/8 adultes car non sédatés à l'époque pour pratiquer cet acte médicale).... Bref aucune conscience de ce que je vivais.....
Je me demande quand même comment j'ai p par la suite me laisser avoir par un type violent??? Au vu de ce que j'avais déjà encaissé par le passé.
Sujet: Re: besoin que l'on m'aide 
Dim 9 Déc 2012 - 13:20
