pour vous faire un résumer de mon histoire:

celà fait que depuis peu que j'arrive à mettre un therme médicale sur un mal dont je souffre depuis des années puisqu'il vient d'un défault dans l'enfance, c'est de la dépendance affective infantile.

et long fut le chemin pour en arriver là. en fait, comme beaucoup de gens, je ne vois d'abord que la surface et après une dépresion que j'ai faite il y a quelques années de ça (je ne l'ai compte plus, car ça me déprime), je me sui mise à avoir peur de sortir de chez moi, en l'occurence la maison familliale qui depuis la séparation de mes parents est celle de mon père. même si maintenant je vous rassure j'arrive à resortir, même si ça reste à courte distancee, c'est déjà ça et partant de ce sympthome là, j'en ai déduit à une agoraphobie que j'essaye en vain de vaincre, car il s'avère qu'il y a un probème en-dessous et pourtant je croyais depuis longtemps avoir fait le tour de tout les problème qui me freinais et c'est justement cette dépendance.

alors, pour vite fait planté le décor, j'ai eu vers l'âge de 7 ans un petit frère handicapé moteur et cérébrale, mes parents ne l'ont suent qu'après l'accouchement et après ça, mon père c'est mis à devenir alcoolique et à me batttre, ma mère ne disait rien, j'était devenu le souffre douleur de la famille, mes parents passaient leurs nerf sur moi, au passage en m'indiquant bien que mon frère était handicapée, et qu'il était normale qu'il s'occupe plus de lui que de moi. lui a eu tout, cadeau et jouet et moi rien, si ce n'est devenir la petite bonne de la famille et ne jamais bien rien faire à leurs yeux, il ne manquait pas de ma le signaler.

aujourd'hui, même si l'eau à passer sous les ponts (mon père n'est plus alcoolique), il y a encore peu j'était constamment descendu par eux "tu es une bonne à rien, tu ne feras jamais rien de ta vie", pourtant c'est pas faute de me donner à fond pour vouloir m'en sortir. je vie donc chez mon père, car mon agoraphobie m'empêche de sortir trop loin, dans ma tête il faut constamment que je revienne dans cette maison. j'essaye toujours que mes parents soit une fois pour toute fière de moi et m'apprécie, évidemment ce manque affectif ne se ressent pas qu'avec mes parents, mais aussi dans le reste de ma vie, mais je sais que le probème vient d'eux à l'origine.

ne voulant jamais déplaire, puisque toujours en manqe d'amour, je n'arrive pas à dire non à mon père, dès qu'il fait un plat que je ne vais pas aimer et qu'il me demande si je voudrait bien en manger, je dit toujours oui et au final je m'oublie toujour (pas que dans ce cas, mais dans pleins d'autres aussi) au profit de mes parents.

je viens donc sur ce forum, pour en finir une bonne fois pour toute avec cette maladie qui me fait souffrir tout les jours, j'attend vos conseils

Bonjour Fishi

Je m'aperçois ce soir que ton topic est resté sans réponse, cela arrive de temps en temps que certains sujets ont été omis, j'en suis donc désolée.

Citation :

je viens donc sur ce forum, pour en finir une bonne fois pour toute avec cette maladie qui me fait souffrir tout les jours, j'attend vos conseils

Je ne veux pas te paraître négative, mais ce forum ne pourra pas en lui seul te "guérir" de ton agoraphobie, d'abord parce qu'il n'est pas tenu par des professionnels mais uniquement pas des bénévoles et ensuite, parce qu'on ne soigne pas une phobie sociale uniquement par le biais d'internet.

Déjà, tu fais un premier constat qui est logique, tu souffres indéniablement d'un manque de confiance dû à des parents qui n'ont pas cessé de te dire que tu étais incapable de gérer ta vie, de parvenir à faire quelque chose par toi-même.
C'est là, que tu t'es enracinée dans cette idée, tu le sais mais tu n'arrives pas à t'extirper de ce constat parental.

Citation :

j'essaye toujours que mes parents soit une fois pour toute fière de moi et m'apprécie, évidemment ce manque affectif ne se ressent pas qu'avec mes parents, mais aussi dans le reste de ma vie, mais je sais que le probème vient d'eux à l'origine.

Je pense qu'il est temps que tu prennes la bonne déicision, celle de faire les choses pour toi-même, pour que tu sois fière de toi-même avant tout et non pour que tes parents "deviennent" enfin fiers de Toi.
Lorsqu'enfant nous n'avons pas été aimé à notre juste valeur, il existe des manques, des abandons, as-tu déjà consulté des psychologues pour évoquer ces problèmes, puisque tu expliques avoir vécu plusieurs dépressions ?

Vers quel âge as-tu ressenti cette peur ?
Lorsque tu es entourée de personnes inconnues, que ressens-tu exactement ?
Maintenant que ton père est seul et qu'il n'est plus dépendant de l'alcool, comment sont vos relations, a-t-il déjà évoqué ce passé douloureux pour lui comme pour toi, car avoir un enfant handicapé est certes très fatiguant et stressant et peut également amener un sentiment de honte et de culpabilité.
Ton jeune frère vit-il chez ton père ou chez ta mère ?

Citation :

c'est mis à devenir alcoolique et à me batttre, ma mère ne disait rien, j'était devenu le souffre douleur de la famille, mes parents passaient leurs nerf sur moi, au passage en m'indiquant bien que mon frère était handicapée, et qu'il était normale qu'il s'occupe plus de lui que de moi. lui a eu tout, cadeau et jouet et moi rien, si ce n'est devenir la petite bonne de la famille

Si tu souhaites évoquer cette période douloureuse de ta vie....je te lirai ensuite.

As-tu réussi à suivre des études, as-tu un travail ou pas ?
Pourquoi es-tu restée avec ton père ?
Comment as-tu vécu la sépération de tes parents, as-tu vu régulièrement ta maman ?

Clair de lune.